Serments Vassaliques Prêtés Au Nouveau Comte De Flandre Guillaume

des inermes (ce qui ne sont pas armé, les gens d'eglise, paysan, marchand...). Ils vont soutenir la paix de Dieu et aidé l'eglise a la mettre ne place. Il vont se placé comme etant abbé laic, il la dirige recupere les revenus mas n'ont jamais preté serment. Recupurer les biens foncier. Hughes Capt est l'une des personnalité qui c'est le mieux joué a ce jeux. Capet : car st martin coupe sa cape pour la donner a un pauvre. Il a recuperer ce surnnom. Notritous, faire elevé son fils (aristocrate) par

choisit comme capitale Aix la Chapelle. Il organise son empire en 300 comtés de taille différentes, les comtes qui dirigent le comté sont choisis parmi l’aristocratie du Palais, ils sont délégué par l’empereur pour assurer la justice, pour lever l’armée, et pour la fiscalité (percevoir les taxes) et recevoir les serments, début de la société vassalique surtout pour la guerre. Le comte peut être assisté par des vicomtes, et certains conté sont des duchés ou des marches, ils sont installés le long des frontières

Publica. A ses origines, la monarchie des Francs repose sur « la société des suivants », c'est à dire une royauté dans laquelle les compagnons directs du roi forment une véritable « suite », un véritable comité, qui donnera par la suite le titre de comte. L'autorité semble quelque peu partagée (loin d'être une royauté absolue). B) Le pouvoir des rois francs Le chef doit être charismatique puisqu'un chef qui ne gagne pas ne mérite pas de régner. Le roi est donc le meilleur des guerriers dans ce

héritage. C’est l’argument massif des historiens du 19e s. Il faut cependant nuancer cette image caricaturale. En réalité, la conception du pouvoir chez les Francs est un mélange des traditions franques et romaines. (1) Les traditions franques : Le serment de fidélité personnelle. Chacun s’engage individuellement à ne pas porter atteinte au roi et à l’aider au combat. Le pouvoir est donc une chose concrète, d’homme à homme, au cas par cas. Ces rapports de proximité sont très puissants, presque sacrés

héritage. C’est l’argument massif des historiens du 19e s. Il faut cependant nuancer cette image caricaturale. En réalité, la conception du pouvoir chez les Francs est un mélange des traditions franques et romaines. (1) Les traditions franques : Le serment de fidélité personnelle. Chacun s’engage individuellement à ne pas porter atteinte au roi et à l’aider au combat. Le pouvoir est donc une chose concrète, d’homme à homme, au cas par cas. Ces rapports de proximité sont très puissants, presque sacrés

droit, c’est d’abord du droit et non de l’histoire. Il aura pour but de voir comment on résonne en juriste, comment on comprend des notions juridique, comment on les manipule. 2eme remarque : C’est une matière qui peut paraitre difficile (monde nouveau…) Difficulté supplémentaire : il faut faire un effort de découverte mais il s’agit de choses anciennes). 3eme remarque : C’est une matière inutile. L’histoire du droit devrait nous permettre de mieux comprendre le monde juridique et politique

romains. Syncrétisme : mélange des cultures Le titre de roi a donc lui aussi un grand prestige, donc pourquoi vouloir devenir empereurs? 1- Le roi C'est un titre héréditaire, acquis à la naissance. Dans l'histoire chrétienne, ceux-ci sont le nouveau peuple élu. Pour les Francs, ils sont quant à eux le troisième peuple élu. Longanimité : être généreux et doux envers autrui. On peut faire un parallèle entre Charles et les rois de l'ancien testament (David, Salomon, Josué...) (référence vétérotestamentaire)

Guyenne demeure anglaise, cependant le roi d'Angleterre reste le vassal du roi de France. Il doit alors prêter serment de fidélité au nouveau roi. C'est une acceptation difficile à admettre en tant que roi, d'où des querelles constantes entre Philippe VI et Édouard III. Les conflits entre la France et l'Angleterre ont des retentissements économiques. Aussi l'Angleterre s'allie avec la Flandre. La guerre n'est pas en faveur du royaume de France, qui chaque fois est battu par l'Angleterre. Le gouverneur

à la mort de Louis le Pieux (840), des guerres entre ses trois fils : Lothaire, Charles et Louis (bataille de Fontenay (oy)en Puisaye, le 25 juin 841). À l’issue de cette boucherie, les rois comprennent la nécessité d’un accord : c’est l’objet du serment de Strasbourg, acte de naissance de la langue française [première attestation de la différenciation linguistique entre le « roman » (qui a donné le français) et la langue germanique (qui donnera l’allemand)], qui réconcilie Charles et Louis (contre

privilégiés que l'on retrouvera plus tard sous le nom de noblesse.   Entre eux les seigneurs tissent des liens de dépendance qui forment la féodalité. • Par la cérémonie de l'hommage, un homme devient le vassal d'un seigneur auquel il prête serment de fidélité, promet de le conseiller et de lui servir de juge, de payer la rançon en cas de guerre, la dot de la fille du seigneur, l'adoubement du fils qui deviendra chevalier, et de le servir 40 jours consécutifs par an sous la forme de l'ost. En