Serments Vassaliques Prêtés Au Nouveau Comte De Flandre Guillaume

sujets s'exprime de manière concrète par un serment de fidélité qu'on appelle le leudesamium, c'est un engagement personnel, d'homme à homme. On appelle celui qui fait ce serment le leude. Les sujets ne se sentent tenus à fidélité qu'à partir du moment où ils ont prêté serment, donc les rois mérovingiens vont parcourir le territoire pour recueillir les serments de fidélité. Vu la grandeur de la tâche, le roi va exiger le serment uniquement de la part des grands, les aristocrates

Gefolgschaft, mot qui vient de l’allemand folgen (suivre). Par conséquent la Gefolgschaft est constituée des personnes qui suivent le roi en permanence. Ils constituent la « suite du roi ». Ces proches doivent prêter un serment particulier qui les oblige à la fidélité la plus stricte à la personne du roi. Serment qui les voue au service quotidien du roi. Parmi eux se trouve les officiers du palais (où le roi réside et exerce son autorité). A l’origine ce sont souvent de simples domestiques mais leur proximité

maintien de la pratique des partages à la mort du roi II. L’épuisement des richesses royales §2 – Les causes extérieures I. L’action de l’Eglise II. Le choc des invasions Section II – L’atomisation de l’espace politique §1 – L’autonomie du comté I. L’irrévocabilité de la fonction comtale II. L’hérédité de la fonction comtale §2 – Le grand domaine immuniste et l’immunité I. La nature du privilège de l’immunité II. La portée de ce privilège - DEUXIÈME PARTIE - Le Moyen Age : du pouvoir

du fait que la Grèce est partagée sa culture aux celtes, les celtes ce sont déjà adapté plus ou moins au même système que les romains. Donc ils n’y a pas eu de problèmes d’intégrations et d’adaptations. Sur le plan social, les celtes avaient à peu prêt le même fonctionnement. : La Noblesse = l’aristocratie Les Clients = acteurs économiques (artisans, marchands, agriculteurs…) Druides = gestion de la religion et de la société. Chez les gaulois, l’unité de base au sein de la société est la famille 

célébrations religieuses et nominait les prêtres. De plus en plus de fonctionnaire sont chrétiens. Parmi les aristocrates romains certain son resté dans les cultures païennes. b. Les doctrines chrétiennes sur la relation entre les deux pouvoirs : De nouveau rapport entre l’église et l’empire. Eusèbe de césareée il un évêque de l’entourage impérial c un des principaux théoriciens sous Constantin selon lui dieu est à l’origine du pouvoir impériale et vertu divine. Dieu a transmit à l’empereur une royauté

entre le Rhin et la mer du Nord. Ils se subdivisent en deux branches : les Francs Ripuaires qui sont plutôt situés sur les rives du Rhin et sont très nombreux et les Francs Saliens qui sont moins nombreux et se situent en Wallonie et en Flandre. Parmi ces Francs Saliens, on peut citer Mérové qui est venu porter secoure a Aetius en 451. Il a un fils qui va devenir le Roi de Tournai, Childéric et meurt en 491. C'est son fils, Clodowich qui l'on connait sous le nom de Clovis qui va lui succéder

vont contester la religion traditionnelle et vont refuser de participer au culte de l’empereur car selon eux, ils n’ont juré fidélité qu’à un seul maître: Dieu. Les chretiens refusent les charges publiques tel l’armée car celle ci necessite de prêter un serment à l’empereur. Cette attitude ne pouvait qu’inquieter les empereurs qui de ce fait décident de persecuter les chretiens. De plus, l’attitude de ces chretiens attise la haine des citoyens romains qui lorsque les romains voit les premières defaites

rétribués par la jouissance de domaines impériaux, à titre de beneficium. Obtenir un comitatus signifie donc obtenir une charge de comte, et en même temps un bénéfice. Or celui-ci, comme tous les « bénéfices », tend à devenir viager et, en conséquence, la fonction le devient aussi. En 843, Charles le Chauve doit admettre que seul un plaid général peut révoquer un comte, or, le plaide général rassemble les pairs de celui-ci. Pour s’attacher la fidélité des « grands », les carolingiens leur donne

préexistait par la coutume. délimitation chronologique 1 °) fin V°s/X° : installation des Francs, rencontre entre les traditions germaniques et Gallo-Romaines, création d’institution proprement française mais l'État finit par se disloquer et un nouveau système se met en place. 2°)Le Moyen Age avec la féodalité qui débute avec l’avènement d’Hugues Capet en 987 et se termine milieu XV°. On distingue deux périodes : jusqu’au XII° où la société est constituée de petits groupes unis par la féodalité

millénaire, on remarque la colonisation d’une peuplade germanique : les francs. * Comment se fait il qu’un seul peuple n’ai réussi à s’implanter dans ce royaume ? * Comment les francs se sont ils organisés dans ce nouveau royaume ? * Comment ont-ils pu garder leurs traditions ? Une troisième période : Ancien Régime, l’Etat s’affirme irrésistiblement, période de la monarchie absolue. CHAPITRE 1: