Service d'intérêt général

| | |En plus des marchandises (biens| | | |et services), les capitaux et | | | |les travailleurs peuvent | |

économistes néo-classiques sont le Français Réon Walras (1834-1910), le Britannique William Stanley JEVONS (1835-1884), l'Autrichien Carl MENGER (1840-1923) et l'Italien Vilfredo PARETO (1848-1923). Ces auteurs ont analysés la formation de l'équilibre général en s'inspirant des travaux du français Jean Batiste Say (1767-1832) qui était contemporain aux classiques mais qui a préfiguré l'apport de néo-classique. Le principal apport de Say est la loi des débouchés "L'offre crée sa propre demande" V.aj = ∑Revenus

Chapitre 1 – le service public ------------------------------------------------- Fiche de TD 1: la notion de service public et la distinction SPA et SPIC Section I : le concept : Pour les tenants du critère du service public : * le droit administratif était le droit applicable aux services publics * le juge administratif était le juge des activités de service public * l’État était une coopération de services publics Il n’existait donc qu’un seul type d’activité qualifiable

biais du prix. Si le prix est flexible alors tous les marchés sont interdépendants et donc d’un marché à un autre on a un prix relatif (je peux définir le prix d’un bien par rapport au prix d’un autre). Cette interdépendance garantie l’équilibre général des marchés. Quelles sont les conditions de l’équilibre macroéconomique ? Pour comprendre cet équilibre les classiques partent du partage de l’offre. Pour eux la condition du partage du prix c’est l’identité I (investissement) = S (épargne). Toute

requis d’une mesure de la grandeur ciblée, il est souvent fait recours à des objectifs intermédiaires présentant un lien stable avec l’objectif final, contrôlables par l’autorité monétaire et rapidement mesurables. Il s’agit en général de variables de prix (taux d’intérêt ou de taux de change) ou de quantité (agrégat de monnaie ou de crédit). Les objectifs opérationnels sont ceux sur lesquels l’autorité monétaire agissent au quotidien afin d’atteindre les objectifs intermédiaires et finals. Ils

Les finalités de l’administration La finalité est de satisfaire l’intérêt général. Au XIXe cela se résumait à l’application des lois en les accompagnant de règlement qui les concrétisaient. Puis au XX ème la société, évoluant du fait de l’interventionnisme de l'État, l’administration va prendre en charge de plus en plus de besoins des administrés. Elle va dorénavant assurer des prestations, exécuter de nouveaux services publics et du coup concrétiser les droits créances (santé, loisirs,…). A côté

réelle. Encaisse monétaire Encaisse monétaire nominale Encaisse monétaire réelle Par définition, l’encaisse réelle = 𝑀𝑑 𝑴𝒅 𝑷 avec P = le niveau général des prix ou 𝑴𝒅*𝟏𝑷 avec P : prix de la monnaie qui renvoie à la quantité de biens et services que l’on peut acheter avec une unité monétaire. NB : Si les agents ne sont pas victimes d’illusion monétaire, leur demande de monnaie est une demande de monnaie réelle La demande de

Transposition de la directive MIF : Prestataires de services d’investissement (autres que les SGP) 13 février 2007 1 Transposition de la directive MIF Présentation du Règlement général de l’AMF Hubert Reynier, Secrétaire général adjoint Direction de la régulation et des affaires Internationales 13 février 2007 2 Transposition de la directive MIF Présentation du Règlement général de l’AMF 1. La finalisation du dispositif de transposition et la poursuite des travaux européens

Introduction « La monnaie est un voile derrière lequel l’action des forces réelles est cachée », (Pigou, 1949). Cette citation de l’économiste classique Pigou décrit bien le sentiment général de ses contemporains quant au rôle de la monnaie dans l’économie. La monnaie pour eux est un bien résiduel. Sa détention est sans coût et son incidence sur les transactions sans effet. Elle est même au sens de Sidrauski (1967) « super neutre ». Elle n’a d’incidence ni à court

le rôle de la monnaie dans les économies modernes. L'inflation s'interprète en effet comme la perte de pouvoir d'achat de la monnaie sur les biens et services. Comment cette perte de valeur survient-elle ? Une réponse possible est que la valeur de la monnaie a chuté parce que le stock de monnaie a augmenté plus vite que l'offre de biens et services qu'elle permet d'acheter. Selon ce mécanisme, c’est donc l'augmentation de la masse monétaire qui crée l'inflation. Cette idée n'est pas sans fondement