Sibylle de Cumes

Haruspices : Ce sont des prêtres qui examinent les entrailles des victimes sacrifiées.86 Le collège des 2 interprètes des Livres sibyllins : Les Livres Sibyllins sont un recueil d'oracles conservés à Rome. Selon la légende, ils furent achetés à la sibylle  de Cumes par le roi Tarquin le Superbe. Ils ne sont consultés qu'à la suite d'un événement grave pour savoir quel dieu apaiser et par quels rites  pour préserver Rome.87 VII. Les sept rois 1. Le roi latin 1. Romulus : (754-715 av. J-C) Romulus

sempiternelles récriminations Sénile : propre à la vieillesse. Tremblement sénile Seoir : convenir. Cette robe vous sied à merveille =seyant Sépia : matière colorante d’un brun très foncé Séraphin : angélique Sibylle : devineresse dans l’Antiquité. Les oracles de la sibylle de Cumes Sibyllin : dont le sens est caché = énigmatique, mystérieux Sidéral : qui a rapport aux astres Sierra : montagne à relief allongé Signataire : personne, autorité qui a signé. Les signataires d’un pacte Singer :

les fleuves de cet enfer visité par Enée. “ Le feu, cette vie dévorante qui crée le monde et le consume, épouvantait d'autant plus que ses lois étaient moins connues. La nature jadis ne révélait ses secrets qu'à la poésie. “ La ville de Cumes, l'antre de la Sibylle, le temple d'Apollon, étaient sur cette hauteur. Voici le bois où fut cueilli le rameau d'or. La terre de l'Enéide vous entoure, et les fictions consacrées par le génie sont devenues des souvenirs dont on cherche encore les traces. “ Un

ont un corps de poisson. f) Le chien Argos meurt en reconnaissant Ulysse. g) Ulysse tue les prétendants à l’épée. h) Énée est le fils de la déesse Vénus. i) Les Pénates sont les divinités des Ancêtres. j) Énée se rend aux Enfers avec la Sibylle. k) Méduse a des serpents pour cheveux. l) Ovide a écrit l’Énéide. m) L’Iliade précède l’Odyssée. n) L’Ancien Testament raconte l’histoire des Hébreux. o) Auguste est le premier empereur romain. n n n n n n n n n n n n

rivage et errent dans les hautes montagnes ». Enéide, III, 610 sq Le pieux Enée, bien différent d’Ulysse «  aux mille ruses », s’esquive avant leur arrivée ; On peut enfin coir comment Enée lui aussi va consulter les morts, conduit par la Sibylle de Cumes, en procédant à un sacrifice analogue à celui que Circé recommande à Ulysse ; à l’entrée des enfers, le spectacle des morts restés sans sépulture le trouble profondément : «  Toute une foule répandue se précipitait vers la rive : des mères,

vivants  où  il  a  vécu  quelques  jours.  Accompagné  d’Héraclès, Thésée a pu, lui aussi ressortir du royaume des morts et retourner chez  les vivants pour le temps qui lui restait de vivre. Énée a également pu entrer et sortir  des  enfers  avec  la  Sibylle  (une  prêtresse)  grâce  au  rameau  d’or  magique  qu’il  a  été  chercher  et  recueillir  selon  son  conseil,  ainsi  qu’Ulysse,  descendu  aux  enfers  pour  interroger le devin Tirésias au sujet de son retour à Ithaque. Orphée a enfin charmé 

une nekuia, terme qui signifie « sacrifice pour l'évocation des morts », d'où le nom de nekuia donné par les anciens au chant XI de l'Odyssée. b) La rencontre des morts Contrairement à Enée qui les parcourt véritablement en compagnie de la Sibylle de Cumes, Ulysse, lui, ne chemine guère à l'intérieur des Enfers. Il semble s'y tenir immobile et attendre que les âmes viennent à lui. C'est pourquoi, dans l'Odyssée, les Enfers ne sont guère décrits en tant qu'espace. Ulysse assiste à un défilé d'ombres

leur semblait favorable à la religion ; l’ardeur avec laquelle ils combattaient pour une si bonne cause ne leur laissait pas toujours la liberté de choisir assez bien leurs armes. C’est ainsi qu’il leur arrive quelquefois de se servir des livres des sibylles, ou de ceux d’Hermès Trismégiste, roi d’Égypte. On ne prétend point par là affaiblir l’autorité, ni attaquer le mérite de ces grands hommes. Après qu’on aura remarqué toutes les méprises où ils peuvent être tombés sur un certain nombre de faits,

l’imbrication entre ordre du récit et ordre du destin. Le premier extrait instaure un lien entre l’ordre d’un récit et l’ordre des destins : au chant III, le prophète Hélénus conseille à Énée de se rendre auprès d’une prophétesse d’Apollon, la Sibylle de Cumes. Les oracles rendus par cette dernière sont inscrits sur des feuilles dont il est dit qu’elles sont disposées en ordre. Hélénus explique : illa manent immota locis neque ab ordine cedunt Ces oracles restent en leur place tels quels et sans se

il charme par ses harmonieux accords les festins et les réunions des dieux. Il jouit d'une jeunesse éternelle, possède le don des oracles et inspire les Pythonisses, ou ses prêtresses, à Délos, Ténédos, Claros, Patare, surtout à Delphes, et aussi à Cumes en Italie. Son temple de Delphes était incontestablement le plus beau, le plus riche et le plus renommé. On y accourait de toutes parts afin de consulter l'oracle. À Rome, l'empereur Auguste, qui croyait être redevable de sa victoire d'Actium