Silence Et Lumiére

Le Pavé Mosaïque 15 avril 2009 C’est la première fois que je m’exprime devant vous dans cette loge après plusieurs mois de silence et d’observations qui m’ont permis d’écouter et d’observer pour apprendre et cheminer intérieurement. Le chemin parcouru est-il suffisant pour quitter le grade d’Apprenti ? Peut-être est-il trop tôt ! Je suis bien consciente de n’être qu’au début de mon chantier sur la pierre brute. Il me faudra beaucoup travailler pour faire progresser mon état, et arrondir mes

Verlaine - Metz Année académique 2007-08 Mémoire de Bachelor MUSIQUE ET SILENCE CHEZ JANKELEVITCH Présenté sous la direction de Benoit Goetz Sallerin Nicolas 18, Place des Roches 57160 Rozérieulles s.nicolas86@hotmail.fr TABLE DES MATIERES : INTRODUCTION………………………………….……………....…3 1. ESCHATOLOGIE………………………….………………6 2. MUSICALITE DU SILENCE…………………...……….14 3. UN SILENCE LIBERATEUR……….……………….…..22 ANNEXES……………………………………….………………..….28 BIBLIOGRAPHIE………………………

et 16. l'enfant tombèrent au bas du bois. 17. Au réveil il était midi. Arthur Rimbaud Annonce des axes I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III - La course après le jour (l.10 à 13). IV - L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). Etude I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). - 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri

nombre de cinq ; il s'agit de l’oral (le vocal-auditif )auquel on ajoute la musique , le geste ( à la fois geste d’accompagnement de l’oral mais aussi geste signifiant constituant le visuel-gestuel ) , l’écrit , l’image et le silence ( là aussi silence d’accompagnement et silence signifiant ) . Cette parole maçonnique , ici , devient un acte global  car l’élan d’une parole prise en loge mobilise l’être dans sa totalité nécessitant une coordination d’à peu prés tout ce que chacun d’entre nous compte

I.L'aveu théâtral A.Par l'enchaînement des répliques (structures) B.Une scène musicale, une ' symphonie ' (Barrault) C.Un corps parlant II.L'aveu tragique A.La tragédie familiale B.La tragédie divine C.La passion fatale III.Le silence et l'aveu ( dire et ne pas dire ) A.L'aveu arraché B.Le dilemme de l'aveu Résumé de l'exposé La scène 3 du premier acte est marquée par l’entrée en scène de Phèdre. Cette entrée a largement été préparée durant les scènes précédentes. On la

sollicitation des sens 1) La vue (v.1 et v.7, la lumière éblouissante + « nous avons aperçu ») 2) Le toucher : « l’humide gazon », « la bruyère épaisse » 3) L’ouie : sans parler, nous avons écouté, ne poussaient pas un soupir, criait. 3. Un tableau inquiétant : le fantastique *Personnification de la nature De nombreux exemples v.1 et v.10 à 15 : « Les nuages couraient » … « Les chênes (…) endormis et couchés ». * Le silence (voir ci-dessus) ( Silence troublé uniquement par « la girouette en deuil

J'aime passionnellement les sonorités du silence. J'aime passionnellement les sonorités du silence et le dynamisme de cette quiétude profonde. J'aime le calme d'une grotte avec le son de ces perles de pluie enfouie dans sa roche et qui, une à une, s'échappe, au goutte à goutte, et ruisselle le long de la paroi, c'est quand, arrivé à son terme, quand elle fusionne avec le vide, dans leur course intrépide elle gagne en finesse de tel sorte à ce que leur chute, leur fin brutale, le son produit par

de disparaître ou de s’envoler en l’interpellant par « camarade » ou « vieux », comme pour s’assurer aussi à lui-même que quelqu’un est à l’écoute. Le recours continuel du narrateur à la fonction phatique du langage illustre donc son angoisse du silence et de la solitude et dénote par le fait même le désir de garder près de lui une présence fragile menaçant de tomber à tout moment dans l’absence et la mort. Tout au long du monologue, le narrateur revient toujours au leitmotiv de sa rencontre avec

qui signifie blanche, et qui rappelle l'innocence, la pureté et l'enfance. I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri de victoire après l’exploit du poète.- Le récit commence à la l.2. La vision du poète s’ouvre à une vie somptueuse : « palais », « pierreries », mais « morte ».- On sent un calme et un silence omniprésents dans le poème :           • sons : beaucoup de « é », de « ié » ->

immense corps. L'aube et 16. l'enfant tombèrent au bas du bois. 17. Au réveil il était midi. Arthur Rimbaud Annonce des axes I ­ Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). II ­ L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III ­ La course après le jour (l.10 à 13). IV ­ L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). Etude I ­ Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). ­ 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri de