Silence Et Lumiére

il y a une grande armoire de teinte foncée. La lumière: On observe un ovale de lumière dans l’obscurité de la pièce qui correspond au faisceau de la lampe tenue par le personnage de droite. Les cheveux blonds de l’enfant et son torse captent cette lumière. L’encadrement de la porte délimite une zone de clair-obscur : la nuit tombe sur la rue. Les lignes: L’enfant : Sa tête est au centre du tableau et de l'ovale formé par la lumière de la lampe. Les diagonales de la toile passent

les amours monstrueuses de sa mère. Par ailleurs, elle craint le jugement de son propre père, Minos, juge infernal. Ce faisant, le vers oppose la lumière (Pasiphaé, fille du Soleil) aux ténèbres (Minos, les Enfers) et situe Phèdre dans une descendance contrastée, contradictoire. Roland Barthes, dans Sur Racine, corrèle cette opposition entre ombre et lumière à celle du secret et de l’aveu, la parole laissée dans l’ombre ou mise au jour : trois aveux d’Hippolyte (à T., à A., à Thésée), trois aveux de

tantôt des éléments de décors, de gestes, de jeux de lumières ou d’accessoires qui jouent un rôle important. La pièce s’ouvre en fait sur trois pages de didascalies. La volonté d’intégrer les personnages dans un décor extrêmement pauvre : on sait que ce petit nombre d’accessoire a une signification. Accessoires : Puisqu’il n’y a pas de paroles, celles-ci sont remplacées par le pantomime : des gestes, les objets, des bruits, des jeux de lumières dans quelque chose qui relève de l’ecriture théâtrale

pesante d’effroi et d’horreur. Notamment par le silence muet et assourdissant que dégage la scène. Ce silence est énoncé dès le début avec la première phrase de l’extrait : « Les hommes entassés sur les haquets se laissaient cahoter en silence. » (l1) cette phrase indique un silence de la part des hommes également évoqué plus tard dans le texte : « les enchaînés ne soufflaient pas » (l13). On peut alors se poser des questions sur la raison du silence de ces hommes. Ces derniers sont peut-être épuisés

Cet effet n’est pas possible pour le lecteur de la pièce, même si une didascalie précise la musique à jouer. Mais les temps de silence sont aussi très importants mais ne peuvent être vraiment ressenti que dans la représentation de la pièce. Le lecteur lira la didascalie, mais ne marquera pas le silence. Sur scène, le silence est ressenti par le spectateur. Ce silence peut faire naître l’angoisse ou simplement créer un temps d’attente, de suspens, qui rendra le spectateur plus attentif à la suite

dans tout son être… d’un insaisissable désir… d’entendre le silence… goûter le spacieux… sentir le lumineux... A tout instant… cette sensation de volume spacieux… peut naître… de votre plexus solaire… ou bien… au centre de votre ventre… puis s’étendre… au cœur même de votre matière… de vos cellules… vos molécules… vos atomes… pour s’expendre à l’infini… De ce volume spacieux… qui vous porte… vous transporte… apparaît le silence… ce silence vous berce… vous balance… calme l’inquiétude… apaise le doute…

la vie. « Aube » vient du mot latin « Alba » qui signifie blanche, et qui rappelle l'innocence, la pureté et l'enfance. Plan : I - Le silence, pas de mouvements (l.1 à 3). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III - La course après le jour (l.10 à 13). IV - L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). I - Le silence, pas de mouvements (l.1 à 3). - 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri de

et blanc comme tu es, tu ne dois pas te salir souvent ? » la réponse de mon tablier fut immédiate. - Sachez mes amis, que je suis un moyen de reconnaissance à une appartenance, à un groupe social, que je protège l’apprenti, que je lui impose le silence en tenue, et que je lui permets l’introspection nécessaire à sa propre remise en cause. De plus, la peau dont je suis fait est à la fois souple et imperméable elle le protège contre tout ce qui pourrait venir altérer son travail et enfin, chers amis

souris »… B) La scène est construite sur une opposition lumière/obscurité. Ainsi la chambre est plongée dans le noir comme l’est le monde à cet instant-là : « clarté du soir, l’intérieur du baraquement était sombre, le clair-obscur, les coins de la chambre restèrent sombres ». C’est exactement l’heure que l’on nomme dans la tradition populaire « entre chien et loup » ! La lumière est représentée par « l’ampoule électrique » mais c’est une lumière diffuse, « atténuée par un abat-jour de fer blanc »,

le même jour qui déferlait dans ma cellule et la même tache que je poursuivais ». La violence vient de a lumière. La seule explication qu’il puisse donner est que « c’était à cause du soleil » . Comme dans les tableaux d’Hopper, la lumière construit l’espace, isole les personnages dans une atmosphère inquiétante. Ce qui domine le roman, surtout dans la première partie, c’est la lumière aveuglante (l’éclatante blancheur du jour, de l’enterrement) . Tout est ben arrivé à cause du soleil comme le