Silice

deuxième chromatographie sur couche mince qui va nous permettre d’identifier les lipides du jaune d’œuf par un solvant polaire Pour réaliser la chromatographie sur couche mince, nous déposons le surnageant de notre extraction sur une plaque de gel de silice. Ces dépôts seront analysés et identifiés grâce à des dépôts de lipides qui nous serviront de témoin. Pour identifier les dépôts, on calcule les rapports frontaux. Principe des manipulations du TP Pour débuter ce TP, il faut commencer par une

une méthode de séparation physique qui utilise l’affinité des substances étudiées afin de provoquer leur séparation (Voet et Voet, 2005). Il est ici question de déposer quelques gouttes d’une matrice à séparer sur une phase stationnaire (couche de silice polaire) et de faire migrer une phase apolaire ou éluant (polaire) sur le chromatogramme afin d’entraîner les composants de la matrice en fonction de leur affinité avec l’éluant. L’éluant migre sur la phase stationnaire par capillarité et entraîne

mélange liquide ou gazeux par passage dans une matière poreuse ou divisée. On distingue une phase stationnaire ( le gel de silice déposé en couche d’épaisseur uniforme sur un support rigide ) et une phase mobile ( un solvant appelé éluant dont la nature dépend des constituants à séparer ). On dépose un échantillon du produit à analyser sur la plaque recouverte de gel de silice puis on place la plaque dans une cuve contenant l’éluant. Celui-ci progresse dans la phase stationnaire ( essentiellement

deuxième chromatographie sur couche mince qui va nous permettre d’identifier les lipides du jaune d’œuf par un solvant polaire Pour réaliser la chromatographie sur couche mince, nous déposons le surnageant de notre extraction sur une plaque de gel de silice. Ces dépôts seront analysés et identifiés grâce à des dépôts de lipides qui nous serviront de témoin. Pour identifier les dépôts, on calcule les rapports frontaux. Principe des manipulations du TP Pour débuter ce TP, il faut commencer par une

deuxième chromatographie sur couche mince qui va nous permettre d’identifier les lipides du jaune d’œuf par un solvant polaire Pour réaliser la chromatographie sur couche mince, nous déposons le surnageant de notre extraction sur une plaque de gel de silice. Ces dépôts seront analysés et identifiés grâce à des dépôts de lipides qui nous serviront de témoin. Pour identifier les dépôts, on calcule les rapports frontaux. 2) Principe des manipulations du TP Pour débuter ce TP, il faut commencer par une

lement présentes dans la phase  organique 3. Identification 3.1/ front du solvant A ligne de dépôt L H C B 3.2/ Protocole de la chromatographie sur couche mince : Sur le bas d’une plaque d’aluminium recouverte de gel de silice, on trace au crayon à papier une ligne. On dépose à l’aide de têtes d’épingles, quelques gouttelettes des différentes espèces chimiques sur la ligne. Éventuellement, on sèche les dépôts au sèche­cheveux. On effectue à nouveau une série de dépôts.

gel de silice) les retient. Les corps purs migrent plus ou moins vite, ce qui permet leur séparation. I. Réalisation de la chromatographie : 1. Préparation de la cuve • Si besoin, préparer le mélange de solvants qui constituera l’éluant, puis en verser dans la cuve à chromatographie afin d'obtenir une hauteur de liquide d'environ 1 cm. • Boucher la cuve afin d'éviter l'évaporation des solvants. 2. Préparation de la plaque Attention ! Si la plaque utilisée est une plaque de silice, elle

importante en fonction de celle de l'éluant. Nous allons ici utiliser une plaque de silice (qui a plus d’affinités avec les composés polaires et va donc avoir plus tendance à les retenir). L'éluant utilisé ici est un mélange de d'hexane/éther et acide acétique (proportion 80:20:2), il est disposé dans une cuve hermétique pour éviter l'évaporation, il est à une hauteur de 0,5 cm dans celle-ci. On dispose la plaque de silice dans la cuve. Une fois la montée de l'éluant effectuée, on sort la chromatoplaque

différence de migration en créant un champ de polarité au moyen de deux phases : la phase solide polaire (gel de silice) qui est le support de la migration, et la phase liquide plus ou moins apolaire qui est le vecteur de la migration. Dans ce cas on parle de chromatographie d’adsorption. Nous déposons donc les différents témoins et le surnageant liquide extrait du jaune d’œuf sur la plaque de silice, puis après migration et révélation par le bleu de Coomassie nous pouvons donc interpréter les résultats

couche mince La chromatographie sur couche mince est un procédé permettant la séparation des divers composés chimiques d’un mélange. Elle repose sur un système à deux phases : * Phase fixe (ou stationnaire), absorbante, ici composée de gel de silice * Phase mobile, solvant que l’on va faire progresser par capillarité dans la phase fixe, entrainant les différents composés en présence. La séparation des composés repose sur leur affinité variable pour l’une ou l’autre des deux phases. Lors