Situation Non éthique

avec lesquelles j’ai eu la chance de partager du temps, les personnes que j’ai accompagné, mes collègues de formation, les partenaires d’activité, les personnes que j’ai interrogées pour mener à bout ce mémoire, ceux qui l’on relu… (cette liste est non exhaustive).Sommaire Introduction_____________________________________________________________ 1 Question de départ et description du plan de ce mémoire________________________4 Démarche méthodologique_________________________________________________

société, autant, dans dix ans, c'est une morale de groupe qui apparaîtra, assortie d'une responsabilité et d'une rétribution collectives» (Thévenet, 1985, p. 20). Dix ans plus tard, cette prédiction de Maurice Thévenet semble se réaliser : la question éthique est entrée, depuis la fin des années 80, dans le champ de l'actualité. Dans les discours sur la conduite des entreprises, elle accède au statut ambigu de nouvel art de management («art» entendu ici en son sens opératoire), comme l'avait fait avant

UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL Laboratoire : Lettres, idées, savoir (Lis) - EA 4395 DOCTORAT DE PHILOSOPHIE François VALLAEYS Les fondements éthiques de la Responsabilité Sociale Thèse dirigée par : Monique CASTILLO Professeur de Philosophie à l’Université Paris Est Créteil Soutenue le 5 décembre 2011 Jury : Michel CAPRON Professeur émérite en Sciences de Gestion à l’Université Paris VIII Michaël FOESSEL Maître de Conférences de Philosophie à l’Université de Bourgogne Frédéric

U.E 1.1 les différentes formes d'éthique Le 06/11/09 LES ETHIQUES Les éthiques concrètes: Aristote: éthique du juste milieu Épicure : éthique de hédonisme Diderot et Locke : éthique sensualiste Bentham et mill : éthique du l'utilitarisme L'éthique du juste milieu de Aristote : La théorie du juste milieu, pour lui, la vertu est toujours un milieu entre 2 contraires, l'un par excès l'autre par défaut. Il se rapproche de la doctrine Confucéène de Confucius. Le courage est

développement durable dans les pays en développement et en transition Module : Ethique et Développement durable – François-Régis MAHIEU ETHIQUE ET MICROFINANCE Julie ENJALBERT Audrey MOULIERAC Hassiatou SALE Roger SOUBEIGA Février 2009 1 SOMMAIRE Nous nous proposons d’étudier dans ce dossier les différents aspects de la relation entre éthique et microfinance : ce sont des considérations éthiques qui sont venues justifier l’apparition et le développement du secteur ; les organisations

Développement durable dans les pays en développement et en transition » Module : éthique et développement durable L’éthique et l’entreprise BACHA Thomas BELHAKEM Nadia DUCROT Anne-Lise FETUE NDEFO Franck MONNERY Julien François-Régis MAHIEU Mars 2009 Introduction ........................................................................................................................ 3 1 Une éthique d’entreprise réelle et pragmatique ............................................. 5

contexte subjectif dans lequel s’inscrit cette action. Autrement dit, le sujet selon son expérience et sa capacité à reconnaître la situation dans laquelle il se trouve, sélectionne un type d’action qu’il juge comme la plus favorable vis-à-vis de sa situation parmi les éventuelles options. Ainsi la préférence s’opère par un sujet par rapport à un objet choisi dans une situation donnée qui entraine le choix d’un certain type d’action. Ces remarques montrent un lien direct entre la décision et le domaine

Ethique et investissement social 1928: Exclure les titres de certaines sociétés pour purifier les portefeuilles Les années 90 : La lutte contre la guerre de Vietnam. Un fonds socialement responsable a été créé par deux protestants 1983 : application les principes de la catholique. Les critères (environnement social et gouvernance) issus du principe de développement durable. + J’ai de l’argent pour investir. Je contacte la banque pour qu’elle gère mon portefeuille. J’ai de l’argent à placer

la relation entre un jugement et la réalité. La phrase « il neige » est vraie si et seulement si il neige effectivement. Vérité et fausseté se rapportent donc non à des éléments constitutifs du réel lui-même, mais de façon privilégiée, à des représentations mentales et à des représentations linguistiques de ce réel. La vérité n’est pas non plus synonyme d’opinion. L’opinion se présente comme vraie à celui qui l’énonce, mais peut s’avérer erronée. L’opinion est ce qu’on affirme pour la seule raison

préservées et/ ou des limitations fonctionnelles -Surveillance et suivi des effets, de l'observance et de la tolérance des traitements et des techniques thérapeutiques non médicamenteuses -Repérage des éléments cliniques et contextuels constituant un risque pour la sécurité du patient et/ ou de son entourage -Repérage des situations nécessitant une concertation pluri professionnelle et un partage approprié d'informations relatives à l'évolution des troubles, -Aide au repérage de l'évolution des troubles