Slow Food

.................................... 13 Food pétitions ...............................................................................................................13 Procédures ....................................................................................................................14 Approval process ..........................................................................................................15 Rôle du CFSAN (Center for Food Safety and Applied Nutrition) ..........

des pouvoirs régulateurs locaux III. Cinq exemples d’analyses d’impact 3.1 Réglementation de l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA) sur les conditions de travail dans l’industrie de l'exploitation forestière 3.2 Réglementation de la Food and Drug Administration (FDA) sur les acides gras « trans » 3.3 Réglementation de l'Environmental Protection Agency (EPA) sur le montant maximal d’arsenic autorisé dans l’eau potable 3.4 Réglementation de la Securities and Exchange Commission (SEC)

Journalière Admissible DSH E A: Dietary Supplement Health and Education Act E FSA: European Food Safety Authority E PA: Environmental Protection Agency F A O: Food and Agricultural administration   F C C: Food Chemicals Codex F D A: Food and Drug Administration G R AS: Generally Reconized As Safe J E C F A: Joint FAO (Food and Agricultural administration)/WHO (World Health Organization) Expert Committee on Food Additives J O R F: Journal Officiel de la République Française J O U E -RXUQDO2IILFLHOGHO¶8QLRQ(XURSpHQQH

contrôles. Selon l’auteur, « il y aurait une contraction entre une recherche à la fois créative et osant prendre des risques et des procédures institutionnalisées ». En effet, la première vraie régulation est apparue aux États-Unis en 1938 avec la FDA (Food and Drug Administration). En France, il faudra attendre 1972 pour que la AMM (Autorisation de mise sur le marché) soit créée. Les critères de contrôles de ces organismes vont se durcir progressivement augmentant le coût de développement ainsi que les

PROCÉDURES D'IMPORTATION DE LA FDA 28/04/08 09:10 U.S. Food and Drug Administration Center for Food Safety and Applied Nutrition Industry Affairs Staff Flyer: 1996 Secrétariat Américain aux produits alimentaires et pharmaceutiques Centre pour la sécurité alimentaire et la nutrition appliquée Feuillet pour le personnel des affaires industrielles: 1996 (This document in English) PROCÉDURES D'IMPORTATION DE LA FDA This document was published in 1996. It is currently being reviewed in light

Les effets de la caféine et de la théine sur l'organisme. Chez l'homme, la caféine et la théine agissent comme stimulant du système nerveux central. Prenons pour exemple la caféine : La Food and Drug Administration liste la caféine parmi les « substances alimentaires à buts multiples généralement reconnue comme sans danger». L'effet stimulant du café vient de son action sur nos récepteurs membranaires à l'adénosine. L'adénosine - molécule indispensable à la synthèse de l'ATP, principale

médicaments. Cet additif alimentaire est utilisé dans un grand nombre de produits et autorisé dans de nombreux pays, il est référencé dans l'Union européenne par le code E951. Depuis sa première autorisation de mise sur le marché aux États-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) en 1974, l'aspartame a fait l'objet de polémiques sur ses possibles effets nocifs sur la santé. Les organismes de santé publique (FDA, EFSA, etc.) confirment son innocuité dans les doses d'utilisation autorisées chez l'Homme

10 Même si cela semble très mauvais, le système digestif des rats sont très différents de celui des humains et la quantité d’aspartame consommée correspond à une quantité qui est non réaliste pour la consommation journalière des humains.11 Le « U.S. Food and Drug Administration (FDA) » ont même dit ceci par rapport à l’édulcorant: « Quelques composés ont résisté à les tests détaillés et répétés, un examen minutieux, et le processus par lequel l'aspartame est allé devraient fournir au public la confiance

zirconium et du chlorofluorocarbure propergols. Leurs succès furent impressionnants ; ils engageaient à eux seuls, plus de 80% des ventes de déodorants. Cependant, les composants de ces produits n’étaient pas sans risques. C’est pourquoi, en 1977, la FDA (Food and Drug Administration) a interdit l’utilisation du composant : zirconium d’aluminium dans les anti-transpirants, jugé dangereux pour celui qui l’inhalait. Enfin, ces produits ont des caractéristiques spécifiques. Le déodorant et l’anti-transpirant

«Bonnes pratiques de distribution» formalisées dans le bulletin officiel N° 2000/9 bis. Ce document est valable pour la France. Les laboratoires qui traitent avec les Etats Unis (et d’autres pays) utilisent le document équivalent américain édité par la Food and Drug Administration (FDA). Pour l’industrie alimentaire, l’arrêté du 3 avril 1996 fixe les «Conditions d’agrément des établissements d’entreposage des denrées animales et d’origine animale». Certaines professions ont commencé à rédiger des «Bonnes