Social-libéralisme

incapacité de réformer pragmatiquement n’est pas génétique, elle tient à la négation de l’opposition. Au niveau social : refus du dialogue, historiquement le patronnât ne dialogue pas avec les syndicats. 3) Un model politique, social et culturel En France il existe une importance de la valeur égalité ce qui explique cette réticence historique de la France au libéralisme et en particulier économique. La France est la dernière a faire une relance keynésienne en 1981, elle s’aligne sur

l'interventionnisme par AMASSIAMA WERNER   I. L'Interventionnisme 1   1. L'interventionnisme comme système économique Depuis que les bolcheviques ont abandonné leur tentative de réaliser d'un seul coup en Russie l'idéal socialiste d'un ordre social, et qu'ils ont adopté à la place la Nouvelle Politique Économique, ou N.E.P. [Novaja Ekonomitcheskaja Politika], le monde entier n'a plus connu qu'un seul véritable système de politique économique : l'interventionnisme. Certains de ses partisans et

si fortement dominé par la personne du roi est compatible avec les attentes révolutionnaires de l’époque. Dans un premier temps, nous étudierons cette question sur le plan du conservatisme (le roi désire conserver ses privilèges) et sur celui du libéralisme (les acquis révolutionnaires). L’article 13 restitue parfaitement la volonté du roi de conserver un pouvoir important, en adéquation avec les « origines divines » de ses prérogatives. I. Conservatisme 1) Sur la personne même du roi -

conserver l‘ordre établi et ceux sous de multiples aspects : social, économique et politique. Il s’instrit dans un système de tradition et s’oppose d’une part aux réactionnaires cherchant à revenir à un ordre antérieure, mais aussi aux progressistes, qui recherchent la transformation transformer l’ordre en place. Cette citation montre les cycles evolutifs du conservatisme : l'acquisition de buts politiques, économiques et/ou sociaux (services), la mise en place de bénéficiaires (les privilèges)

l’opposition paternelle, il s’inscrit à l’école de droit et continue de fréquenter les libertins du Temple, prenant des goûts de luxe et de débauche.  3) Ses points de vue sur la société a) Le libéralisme John Locke apparaît comme le défenseur du libéralisme en affirmant que le pacte social ne supprime pas les droits naturels des individus. En outre, c'est l'expérience seule qui nous instruit Voltaire tire de cette doctrine la ligne directrice de sa morale : la tâche de l'homme est de prendre

pouvoir dans ce domaine. Liberté économique et conservatisme social. Libéralisme Son premier fondement, c’est la liberté. * Intérêt personnel Les philosophes des lumières reprochent le manque de liberté, la concentration des trois pouvoirs, manque de choix religieux, … La société est divisé en 3 ordres (tiers-état, clergé, noblesse). Ils suppriment des avantages en supprimant les corporations, au nom de la liberté. Le libéralisme est apparu en Angleterre. Ils s’opposent à l’absolutisme.

Concevoir = * faire * penser * utopie * distopie * libéralisme * socialisme Réduction des inégalités ? Acceptabilité des inégalités ? * conception de Hobbes * conception de Rousseau DOXA : Deux conceptions de l’état de nature de l’homme existent, et aucune d’elles ne tend à dire, pour diverses raisons, qu’une société sans conflits est possible. PARADOXE : Une société n’est pas juste un agrégat d’individus. Il existe un lien social qui va nouer ces individus pour former la société. Les individus

républicains : le cas français propagation des évènements parisiens à l’échelle européenne - la crise économique et sociale (1846-47) et crise politique qui bouleversent les Etats de l’Europe occidentale et centrale en 1846 - La diffusion des nouvelles idées (socialisme, démocratie, libéralisme, nationalisme): les banquets républicains. Volonté de création de régimes politiques libéraux - Le profil social des insurgés (revendications) : insurrection à Paris 23,24, 25 févriers 1848 B- La seconde république

au meilleur emploi. Adam Smith : « l’individu en cherchant son intérêt propre cherche le meilleur pour la société On passe de l’individualisme à l’harmonie collective et sociale. L’intervention de l’État est jugée inutile et inefficace. Le commerce est bénéfique pour tous les agents économiques. -le libre-échange -le libéralisme -la valeur d’un produit 2) La non-intervention de l’État. Smith : « Tant qu’il ne viole pas les lois, chaque Homme est parfaitement libre de poursuivre à sa façon ses propres

L’homme n’a pas attendu qu’un système économique soit créé pour assouvir ses besoins primaires. Cependant, nous pouvons classifier les besoins de l’homme selon leur but : les besoins économiques (besoin d’argent pour vivre, d’une maison,…), besoins sociaux et relationnels (reconnaissances de nos pairs, création de relation,…), besoins de sécurité. Pour certains de ceux-ci, un système économique est nécessaire. Le capitalisme est devenu un système hybride. En effet lors de son évolution ce système a