Solide de Platon

A côté de cela, il y a bien des histoires d’amour qui réussissent. Que l’on constate, même si l’on ne les rencontre pas si souvent que cela et que l’on s’explique mal. Or ce sont des réussites ( que ce soit des couples unis, des amitiés solides et durables, des relations affectives entre parents et enfants ), des réussites qu’il faut essayer pourtant de comprendre. Comment ont-ils, parents, amants, amis, surmonté les difficultés qui se présentent presque toujours dans l’amour ? Quels sont

discussion, la péroraison, et peut-être de la notion de vraisemblance, dont les Sophistes et les rhéteurs feront grand usage. Puis l'éloquence gagne la Grèce continentale, notamment grâce à deux personnages surtout connus au travers des œuvres de Platon : Protagoras (486-410) et Gorgias (485-374). Protagoras aurait codifié les règles de la dialectique, c'est à dire l'art d'opposer deux thèses. Disciple de Démocrite, et abdéritain comme lui, il aurait aussi distingué les types de discours (vœu, interrogation

non suffisante ( comme sur les théorie et les expériences ). Ne faut-il pas, à sa suite, reconnaître "à chacun sa vérité". Contre le relativisme, s'affirme l'exigence d'une vérité universelle. C'est cette requête qui opposait Platon déjà aux Sophistes de son temps. Platon, déjà, dans le Cratyle, disait que, quand nous disons la vérité, nous exprimons les choses qui sont de la manière où elles le sont. Le critère objectif de vérité c'est ce qui se rapporte à l'objet de la connaissance. Un jugement

de tous les dieux qui, d'après lui, ont puni les athéniens qui furent fait prisonniers pendant la guerre de Sicile. 4. 4 Socrate et Platon s'oublient même eux aussi de temps en temps. Ils laissent ainsi s'échapper de leurs récits des choses basses et puériles. 4. 5 Timée revendique les froides pensées de Xénophon. Il n'est vraiment pas un bon orateur. 4. 6 Platon parle de façon trop grandilocante dans certaines de ses oeuvres ce qui rend son style compléteetn froid. Ainsi, lorsqu'il parle de "monuments

interprétation, plus solide, est que le lectorat idéal pour Rabelais est constitué de bons vivants. Dans les lignes qui suivent apparait un dernier aspect étrange voir oxymorique. Dès après cette adresse négative aux lecteurs, Rabelais enchaîne sur une référence à Platon, « Alcibiade dans un dialogue intitulé le Banquet » cette référence ne se marie pas à priori à la catégorie de lecteurs concernés par le livre si ce n’est pas le choix du titre de l’œuvre « le Banquet » mais l’œuvre de Platon ne traite pas

de donner aux autres ce qu’ils attendent pour avoir un pouvoir sur eux. Mais c’est aussi une leçon que donnera Diogène, ce philosophe cynique contemporain (et critique !) de Platon dont on sait qu’il avait pour règle de vie de satisfaire immédiatement tout manque dès qu’il commençait à se manifester, à tel point qu’une solide réputation d’onaniste public est définitivement attachée à son nom. L’argument est plaisant : la soif disparaît en buvant, la faim fait de même quand on mange. Cependant, il

la nature. Ils veulent expliquer les phénomènes cosmogonistes), car il est le premier à s’être tourné vers l’homme. Socrate n’a rien écrit, mais on va trouver tout son enseignement dans des dialogues conciliés par son disciple Platon. Dans l’apologie de Socrate, Platon va comparer son maître à un taon et au poisson-torpille, car ce sont des bêtes qui piquent, voire paralysent. Ceci montre que la fonction de Socrate est de « réveiller » la conscience de ses contemporains. Il ne transmet pas le

est important de voir qu'elle relève également en partie de l’adhésion. Partant de l’idée première, de l'opinion, le fait de penser induit nécessairement un refus, mais ce refus, il est important de le préciser, est temporaire et garantit des bases solides dans l'élaboration de la pensée en ceci qu'il la préserve des préjugés arbitraires susceptibles de l’induire en erreur. Ceci souligne de nouveau l'importance d'un recul critique rendu possible par la réflexion. Nous pouvons d'ailleurs, à la lumière

théorie platonicienne des Idées. Celle-ci stipule en effet qu’au monde sensible formé des objets de la réalité qui ne sont que des apparences, s’oppose le monde des idées formé des formes intelligibles, modèles de ces apparences sensibles. Aussi pour Platon, la connaissance véritable, la vérité des constituants du monde réside dans ces formes intelligibles qu’il s’agit de retrouver. A la fausseté de nos opinions quant au monde sensible comme apparence, il faut ainsi viser ces formes idéelles comme

Type de travail [Dissertation] Titre [La politique est-elle une affaire de morale ?] Nom du cours [L’histoire des idées politiques] Date : [01 Mars 2012] Dans le célèbre Livre « la République », le philosophe grec  Platon  (428-427 av. J.-C. -  348-347 av. J.-C.) dit que : « entre un homme juste et un  Etat  juste, il n’y aura aucune différence par-rapport à la forme elle-même de la justice … », c'est-à-dire qu’il y a une relation directe entre « le gouverneur » et le peuple dans un Etat