Solide géométrique

résistance des matériaux (R.D.M.) va nous permettre d'aborder la mécanique des solides déformables, suite naturelle de la mécanique du solide supposé indéformable lorsque nous étudions la statique, la cinématique, et la dynamique. Contrairement à la mécanique rationnelle, la RDM étudie le comportement des corps solides déformables. D'autre part les lois du mouvement passent au second plan. La mécanique des corps solides déformables comprend aussi la théorie de l'élasticité qui examine les mêmes questions

Identification des fonctions………………………………........................…….. Diagramme FAST………………………………………………………..…….. Diagramme SADT……………………………………………………….…….. Dessin technique……………………………………………………………..…….. Modélisation géométrique des liaisons……………………………………..…….. Nature des contacts entre solides………………………………………...…….. Graphe des liaisons…………………………………………………………….. Schéma cinématique……………………………………………………..…….. Symboles normalisés des liaisons.. ……………………………………...…….. Calcul vectoriel - rappels mathématiques…………………………………

correspondent aux sommets A, B, C, tandis que l'arête D est cachée par le solide, car l'observateur est en avant du cube. La face supérieure et la face placée sur le plan PaP' se projettent verticalement suivant des droites visibles. En projection horizontale, on voit la face supérieure du cube et deux faces latérales. Les arêtes issues du point a sont cachées, car le sommet (a, a') est invisible pour l'observateur placé au-dessus du solide. Problème. 232. Tracer les projections d'un prisme droit dont on

1 - Propagation rectiligne de la lumière : Dans un milieu homogène la lumière se propage en ligne droite ; un faisceau lumineux peut être décomposé en rayons 2 - Lentille convergente : vue de profil vue de face schématisation d’une lentille convergente Une lentille convergente est constituée le point O est le centre optique de la lentille d’un bloc transparent au bord

Mais quel en est le principe ? Part III Suites géométriques et intérêts composés. 6 Définition. Une suite de nombres réels (an )n∈N est dite géométrique si chaque terme est la moyenne géométrique du terme précédent et du terme suivant ( sauf le premier évidemment ). On écrit alors: a2 = an−1 × an+1 pour n = 0 n Il existe alors un nombre réel q appelé raison tel que an+1 = q × an pour tout n de N 7 Sens de variation d’une suite géométrique. En conséquence de la définition, il existe un nombre

1S1 Exercice DM2 pour le samedi 8 octobre 2011 On appelle format f d'un rectangle le quotient de la longueur L par la largeur . ( f  L /  ) 1. Quel est le format d'un rectangle de longueur L  5 cm et de largeur   2 cm ? 2. On considère un rectangle ABCD de largeur   1 cm et de longueur L  x cm. (1 < x < 2) x a) Exprimer (en fonction de x) le format f du rectangle ABCD. b) On découpe dans le rectangle ABCD un carré ABOR. 1 Exprimer (en fonction de x) le format f' du rectangle

[pic]et [pic] (r représente la raison de la suite arithmétique) Annuités en progression géométrique : [pic] et [pic] avec g ≠ i (g est le taux de croissance de l’annuité et (1+g) la raison de la suite géométrique) Si g = i → [pic] Annuités perpétuelles constantes : Annuités perpétuelles en progression arithmétique : Annuités perpétuelles en progression géométrique : Rentes : Rentes temporaires : Rente immédiate : [pic]

A- La moyenne arithmétique : A-1 Définition Etant donnée n observations qu’on va appeler X1,X2 ,X3,……Xi,…Xn on appelle une moyenne arithmétique simple le nombre Χ. B- La moyenne géométrique : b-1 Définition Étant donnée n observations connues individuellement (x1,x2,x3,,,,,,,,,,, xn) on appelle moyenne géométrique simple de ces n observations la grandeur G t.p. C-la moyenne harmonique : c-1 Définition Étant donnée n observations connues individuellement x1,x2,x3 …..xn on appelle moyenne

global t est alors égal à t = c - 1. 5 - Taux d’évolution moyen La moyenne géométrique de deux nombres positifs a1 et a2 est le nombre k = a1 x a2. On considère une quantité qui subit deux évolutions successives de taux t1 et t2. Le taux d’évolution moyen t est alors le taux unique qui, répété deux fois, fournirait le même taux global d’évolution. Le cœfficient multiplicateur moyen est égal à la moyenne géométrique des cœfficients multiplicateurs des deux évolutions successives. Autrement dit

Objectifs : - Différencier lentilles divergentes et lentilles convergentes. - Construire l’image d’un objet au travers d’une lentille convergente. - Mesurer et calculer le distance focale f d’une lentille convergente. Activité 1 : Les différentes lentilles et leurs propriétés. ➢ Définition : Une lentille mince est un milieu transparent limité par deux surfaces lisses. (L’une des deux surfaces peut être plane.) Elle