Sommes Nous Conscients De Nos Désirs

« Sommes-nous prisonniers de nos désirs ? » A travers cette question, il semble qu’on oppose la notion de liberté et de désir. Etre prisonnier c’est tout simplement par définition être privé de cette liberté, on considère d’ailleurs l’emprisonnement comme la punition ultime quand un individu n’est pas dans le droit chemin. Dans ce cas comment définir ces désirs ? Avant tout, il est bien nécessaire de les citer, à la manière d’Epicure qui classe tout d’abord les désirs comme ‘’naturels’’

selon la théorie freudienne. Pour Descartes, il existe deux modalités du Sujet : la pensée, res cogitans, qui par le biais du cogito (prise de conscience d'une pensée qui se pense elle-même comme être de pensée) fait de l'individu un être conscient, et l'étendue ou construction, res extensa, qui est son enveloppe matérielle dans l'espace. C'est le dualisme substantiel qui dissocie l'Âme et le Corps. Cependant, le principe du cogito, « Je doute donc je pense, je pense donc je suis, si j'existe »

n’est pas sous l’emprise de notre conscient et qui enferme toutes les pulsions, lésions, souvenirs inavouables au traumatiques. Notre inconscient échapperait donc à notre conscience. Nous ne pouvons, en conscience, que concevoir son existence, voire l’admettre. Cela impliquerait des conséquences considérables car il déterminerait nos actes sans que nous en ayons conscience. Concevoir l’idée de l’existence de l’inconscient nous amène à la question suivante : sommes nous sous l’emprise de l’inconscient

Dépend-il de nous d'être heureux ? Peut-on faire son bonheur soi-même ? Avons-nous une part de responsabilité dans le fait d'être heureux ? Sommes-nous condamner à subir les autres ? Comment atteindre le bonheur ? Dans un premier temps, nous verrons que le bonheur dépend de nous, dans la mesure où l'homme, à l'état conscient cherche à satisfaire ses désirs. Ensuite, nous montrerons que le bonheur dépend des conditions extérieures et que l'homme ne peut l'atteindre que par le hasard. Et pour terminer

compréhension du sens de nos désirs (« rendre conscient l’inconscient »). L’auteur veut montrer ici l’existence de l’inconscient par l’exemple d’un acte manqué. Selon lui, les oublis de noms, distractions, pertes d’objets, lapsus, etc., ne se produisent pas par hasard, comme on le croit souvent : on ne peut les expliquer que par la présence de désirs inconscients en conflit avec la volonté consciente. Il s’agit donc de faire comprendre au lecteur la puissance des désirs inconscients et la notion

1ère partie : Être sujet Introduction : -la conscience : On pense généralement qu’on se connaît mieux que quiconque, en effet je suis conscient de mes pensées. Ë Pourtant la conscience de soi ne serait-elle pas illusoire ? -La matière et l’esprit : On pense généralement l’esprit est immatériel, en effet l’esprit et les pensées ne sont pas perceptibles par les sens. Ë pourtant qu’est-ce que la matière ? est-ce que la matière se définit comme ce qui est perceptible par les sens ? -La liberté

Conscient ou inconscient les désirs font qu’une vie vaut la peine d’être vécue . Sans désirs , nous perdons le gout de vivre , nous somme condamnés a l’ennuie ou à la mort .Pourtant , la raisons mais en garde contre les désirs fous et leurs illusions. La morale s’engage donc a maitriser ses désirs pour ne pas en devenir l’esclave . Le désirs caractérise le rapport de l’homme au monde , aux autres et a lui-même . Nous éprouvons sans cesse des désirs : que le désir vise un objet déterminé (une belle

liberté », nous pouvons l'adapter en disant que si l’ignorance est le plus bas degré dans l’échelle du savoir humain c’est encore du savoir. La difficulté est justement de savoir si un ignorant est conscient de son ignorance, à savoir s'il est responsable des ses actes et conscient de son libre choix, conscient de son état d’homme libre ou pas, car à priori selon le sens commun le sage est libre car il détient la connaissance alors que la liberté est impossible à l’ignorant. A posteriori l’homme peut

la mémoire qui lie entre elles les expériences vécues et qui me permet de savoir. Être soi-même, c'est faire des choix et les assumer. Se montrer comme l'on est, sans chercher à se cacher derrière un aspect superficiel. Nous avons tous en nous des désirs, des besoins et des passions. Arriver à les exprimer représente un épanouissement et une ouverture d'esprit rare, et que beaucoup n'atteignent malheureusement pas. Puisque comme le dit Hume « n’existe réellement que ce qui peut-être rapporté, référé

compromettre le bonheur: penser au futur provoque de l'angoisse; penser au passé de la nostalgie et des regrets. Non : le bonheur est lié a la pensée, premièrement l'homme est conscient donc il pense c'est a dire que l'homme ne peut pas s'empêcher de penser deuxièmement pour être heureux il faut être conscient qu'on est heureux donc il faut penser car si on ne pense pas, le bonheur que l'on ressent n'est que plaisir non durable équivalent aux plaisirs que ressentent les animaux. Par conséquent