Sommes Nous Conscients De Nos Désirs

Peut-on contrôler ses désirs et accéder à une « tension » entre souffrance et jouissance de ses désirs ? Parler du désir, c’est parler d’un manque visant à être naturellement comblé. Chacun de nos désirs exprime un désir plus essentiel, celui de reconnaissance ; mais aussi celui de l’état on nous serions parfaitement comblé, donc on nous aurions atteint un état de bonheur parfait. Or, en libérant nos désirs, nous sommes loin d’atteindre cet état de bonheur total car nous sommes confrontés à des échecs

LE DESIR Nos désirs sont ils toujours ceux des autres ? Introduction Le désir est l’expression d’un manque mais aussi le pressentiment d’un bien susceptible de nous combler. C’est un mouvement, une tendance, qui au-delà du besoin en tant que tel nous porte vers une réalité que l’on se représente comme une source de satisfaction. Cette tendance est consciente, c'est-à-dire que « je sais que je désir ». Notre civilisation fait l’apologie de la consommation et de l’obtention du bonheur par

celui-ci n’est pas accessible directement. La volonté est cependant immédiatement connu le moment venu et nous expose nos désirs les plus profonds. En d’autres mots, la volonté est inconsciente pour Schopenhauer. Celle-ci s’expose avec le monde qui nous entoure, car en voyant et en réalisant des choses, notre inconscient vient a se connaître et expose ses désirs au conscient. Il a aussi fait de nombreuses recherches sur ce qu’est vraiment l’inconscient chez l’être humain. Dans chaque Homme, il existe

conscience de ce que nous sommes. Toi tu te dis franc n’oublies tu pas certains mensonges sous couvert de toutes les bonnes raisons du monde : pour ne pas faire de peine, t’éviter des reproches ou par simple arrangement celles la mêmes que tu nommes trahison quand tu en es la victime. Tu te dis honnête et pourtant tu te vantes d’avoir fait telle ou telle belle opération aux dépends d’un autre , tu te dis tolérant ne caches tu pas au fond de toi quelques fois certains désirs ou pensées peu honorables

de pensées. Ainsi, le désir humain est conscient de lui-même. On peut même dire que c'est à travers ses désirs que l'homme prend conscience de son existence. Le désir nous donne l'idée du caractère temporel : on envisage une satisfaction dans le futur. => Le fait que le désir soit accompagné de conscience implique-t-il que le désir soit soumis à la conscience ? => Quel est le rapport du désir à la volonté ? => Est-il possible de vouloir contre nos désirs, ou bien la volonté n'est-elle que le

sous-entend, à savoir que la réalité pourrait bien décevoir tous les appétits que l'homme porte en lui. II - LA PROBLEMATIQUE Elle découle de l'analyse. "Le désir" renvoie à l'étude de l'homme, habité, toujours, pasune multiplicité foisonnante de désirs, c'est-à-dire d'appétits, c'est-à-dire de manques. Ces manques, l'homme est poussé par des appétits qui sont en lui et dont il ne décide pas, à les combler. S'il n'y parvient pas, le sentiment de manque, l'absence de satisfaction, le fait nécessairement

l’idée du Freudisme et la pensée de Alain, la seconde allant de «  Seulement » à « principe du scrupule » traite du Moi et de la pensée, et la dernière de « l’inconscient » à « une faute » est l’étape traitant des actes de notre inconscient dont nous sommes prétendument responsables. Dans un premier temps, Alain parle du Freudisme qui est un terme à la fois commode et ambigu utilisé afin de désigner l'ensemble des théories élaborées par Sigmund Freud au seuil du XXe siècle. Ainsi dès les premiers

parfois, certains de nos actes nous échappent et on peut ainsi percevoir des zones d'ombres en soi-même (bien). Autrui peut aussi nous faire remarquer l'apparente irrationalité de nos actes. En effet, tout comme moi, il lui est possible d'être conscient de soi et il peut donc également me penser. Il est donc légitime de se demander si je suis le mieux placé pour savoir ce que je suis, donc de savoir si je suis ce que j'ai conscience d'être. La question se base sur le moi, la conscience, l'inconscience

tout ce que l'on admet de conscient. S'il s'agissait de demander à un groupe d'individus quelconques si notre volonté consciente nous suffit pour êtreconscient d'un désir éprouvé, la plupart répondraient raisonnablement oui. Que ce soit un objet ou une personne ou un statut, ce but semble être en lien direct avec notre volonté. Eneffet, nous envisageons plus à ce que la volonté soit le moteur de nos agissementspar un décret de l'esprit. Nous sommes donc conscients de notre désir que grâce au

Cela signifie qu’être conscient, c’est comprendre ce qui existe en dehors de nous. La conscience est donc une forme d’attention au monde, elle est commune aux êtres humains mais aussi aux animaux. Pour Descartes, elle est l’attribut essentiel de la pensée. L’inconscient quant à lui correspond à l’absence de conscience, c’est une forme d’irresponsabilité de la conscience. Il est considéré comme une réalité psychique profonde de la conscience qui constitue le réservoir de nos désirs et de nos pulsions