Sommes Nous Libre De Nos Opinions

Objet d’étude n°4 : La littérature d'idées du XVIè siècle au XVIIIè siècleParcours : Ecrire et combattre pour l’égalitéCombat pour l’émancipation féminineXIXe siècle : S'émanciper de la tutelle du mari1) Extrait du Code civil sous Napoléon, 18042) Extrait d’Indiana (III, 11) de George Sand, 18323) Henrik Ibsen, Une maison de poupée, 1879.Questions :1. De quels genres ces trois documents relèvent-ils ?Ces trois documents sont des plaidoyers engagés. 2. En quoi les textes 2 et 3 illustrent-ils le

même chose, qui est certaine et dont l'épanouissement nous permet de bien conduire notre vie. Pourtant Sartre à la suite de Husserl découvre que la conscience est toujours conscience de quelque chose. Cela fait d'elle une conscience subjective et libre. Or cette liberté est le coeur même de la réussite de nos vies. En effet bien conduire sa vie consiste à assumer sa liberté. Bien conduire sa vie consiste-t-il d'abord à bien se connaître soi-même, ou à vivre de sa liberté? La conscience objective

l'homo sapiens-sapiens juge avant de juger, et le paradoxe entre la nuisibilité des préjugés et l'incapacité de l'homme à s'en défaire. Il est possible de penser sans préjugés en pensant par soi même. Il faut avoir un point de vue détaché de toutes opinions. Les philosophes le font déjà en réflechissant sur la vie. Les hommes apprendraient à se connaitre les uns les autres, il n'y aurait pas de fausses idées donc moins de haine et donc de guerres, monde serait porté vers la culture, Il n'y aurait pas

les premières explications de la permanence du vote ont été développées par le géographe André Siegfried sous la IIIème République, dans " Le tableau politique électoral de la France de l’Ouest " en 1913. Il apparaît que la répartition spatiale des opinions est comparable aux régions géologiques et économiques, « les climats naturels recouvrent les climats politiques » écrit-il. Mais cette approche ne permet pas de saisir les comportements des individus au sein des collectifs. C'est grâce au développement

chose que s’entretenir avec elle-même, s’interrogeant et répondant, affirmant et niant. Quand elle est arrivée à une décision, soit lentement, soit d’un élan rapide, que dès lors elle est fixée et ne doute plus, c’est cela que nous prenons pour une opinion » Cette définition platonicienne fait apparaître la dimension critique de la pensée. Penser n’est pas adhérer à ce qu’on croit mais se critiquer soi-même dans un dialogue intérieur, s’entretenir avec soi même : affirmant, niant, dépassant ce qu’on

est-il conscient ? Ce sont les questions auxquelles l'auteur va répondre. En effet, il montre que la conscience nécessite une activité libre, se fondant sur des mouvements spontanés et sur des décisions à rendre. Ainsi, la conscience serait une aptitude qui s'acquiert dans certaines conditions que ne peuvent pas respecter certains êtres vivants dépourvus d'activité libre. Dans un premier temps, nous développerons la thèse générale de Henri Bergson dans laquelle il définit la conscience et ses limites

n’importe quel sujet. Dans ces nouveaux intérêts aux sciences et aux arts, chacun peut s’affirmer et offrir ses connaissances du monde sans aucun artifice. Dans ce Nouveau Monde où chacun dévoile son opinion et commente les positions des autres, les pensées qui maintenant permettent de sociabiliser ne sont qu’une nouvelle passerelle pour bien paraître envers les gens qui nous écoutent. Avec tous ces spectateurs qui jours et nuits s’empressent de répliquer

deux autres des accidents, c’est-à-dire des choses instinctives et non déterminées. Un chien ou un objet n’ont pas conscience que ce qu’ils font est bien ou mal alors que, l’homme est doué de conscience sait ce qui est bien ou pas. Il est soumis au libre arbitre c’est-à-dire au pouvoir de choisir. On juge et on condamne un criminel alors qu'on exécute sommairement un chien qui a défiguré ou tué une personne. Parce qu'on pense que l'homme est responsable de ses actes car il est doué d'une conscience

Résiste à la vérité, illudere se jouer de. L'illusion tourne le dos au réel et renonce à être vérifiée et réfutée car elle obéit à un désir. Connaissance objective = universel > général Vérité subjective = singulier : un sujet unicité Opinion = Particulier : partie Kierkegaard = vérité = certitude vécue qu'on doit éprouver au plus profond de son être même si aucune argumentation ne serait nécessaire B) La croyance, force ou faiblesse de l'esprit Vrai pêché = perte de la foi Croyance

assujettir le peuple ? S'il se soumet à une autorité, n'est-il pas nécessairement aussitôt privé de liberté ? La liberté et l'autorité du maître, en effet, semblent bien peu compatibles. Autorité et liberté semblent antagonistes. C'est du moins une opinion commune. Si la liberté consiste dans le pouvoir d'accomplir tous mes désirs, ou dans l'absence d'aucun empêchement, alors tout pouvoir politique me réduit forcément à la servitude. Le seul fait de l'existence d'un Etat réduit ma liberté. L'individu