Sommes Nous Libre De Nos Opinions

ce que je veux ? Dans notre société actuelle, démocratique et occidentale, on a tendance à valoriser notre capacité et notre liberté de penser. Un adolescent, par exemple, croit être libre de s’habiller, de se comporter, et de penser de façon indépendante ; un syndicaliste est libre de ses opinions même s’il n’arrive pas à les faire entendre. Ainsi, chacun est persuadé de penser ce qu’il veut ; mais n’est ce pas une illusion ? Cette question,  « puis-je penser ce que je veux ? », basée

l’influence doit être maîtrisée. Il affirme que l’on ne peut pas parler d’influence si l’on n’est pas certain de tout contrôler, c’est à dire de pouvoir reproduire l’effet quand on le veut, et non plus une fois de temps en temps. En validant la notion du “libre choix”, LEWIN a donc démontré les limites de la psychologie sociale consacrée aux processus d’influence, en démontrant que même si les techniques d’influence sont efficaces pour convaincre, elles n’entraînent pas de véritables changements comportementaux

peut être désagréable pour certains savants recherche fondement certain qui est à la base de toutes les autres sciences Fondement = point de départ, vérité première, principe prend distance de philosophie pratique (mœurs) → faut suivre parfois des opinions incertains (→ pas de fondement certain) 2.2 La fonction du doute • • • Descartes = à la recherche de vérité première (principe absolument certain)→point de départ : doute But du doute : trouver premier principe à la base de toute connaissance

aucune persuasion au contraire de la rhétorique. Il est possible de voir là un problème dans le rapport du langage à la vérité pour les hommes. Le langage est en effet perçu comme moyen d’émettre et de transmettre une opinion. Le langage est donc un outil. Ainsi, la vérité d’une opinion ne tient qu’à son désir, et là où la dialectique voit quelque chose à réfuter, les gens voient seulement « un jeu sur les mots » (comme Calliclès qui accuse Socrate de jouer sur les mots). Dans le Gorgias, Calliclès

Intro Le fait de penser est ce qui sépare l'homme de l'animal, une chose qui nous fait être ce que nous sommes aujourd'hui. La pensée peut etre représenter de différentes façons. Il y a tout d'abord la prise de conscience. Dans ce cas, je m'imagine la chose comme par exemple une pomme, soit en image, soit en idée. Il y a le fait de consceptualiser, lorsque nous raisonnons de façon rationnelle. Enfin et surtout, la pensée est le fait de juger, prendre position, faire des choix sur ce que l'on n'est

rencontré sa limite), un esprit libre. Il fut libre avec Platon (à qui, sauf le jour, il devait tout), au point de se dire son ami, mais davantage encore celui de la vérité. Il fut libre avec lui-même au point de faire, le premier parmi les grecs, de l’observation et de l’expérience, la démarche première d’une intelligence seulement avide d’épouser tout le réel, d’en rechercher les causes les plus prochaines, puis les causes les plus universelles. Il fut libre au point de découvrir, autant que

chrétienne. Au siècle des Lumières, il est rare voire pratiquement impossible de trouver un(e) croyant(e) et un(e) athée discuter paisiblement de leurs opinions respectives qui vont à l'encontre l'une de l'autre. Dans le cas où une conversation serait tenue entre ces différentes personnes cela se ferait uniquement dans le but de prôner son opinion tout en essayant de convertir l'autre personne à notre foi (prosélytisme),mais ici il n'en est rien. Un athée étant perçu comme quelqu'un d'immoral par

Par conséquent, nous, qui sommes une certaine opinion… cela est le fruit de nos pensées. Notre pensée est propre à nous même, aucun être peut créer vos pensées, on est les seules auteurs de nos pensées. En considérant l’idée de Michel Serre, on peut alors affirmer que nous sommes les artisans qui façonnent nos vies, par le fait que nous sommes les auteurs de nos pensées, par conséquent façonner nos vies d’après nos pensées car lorsqu’on

temps en une personne que certains qualifieraient de ‘passif’ mais que je décrirais plutôt comme ‘qui prend le temps de vivre’. Ce changement subit me causa tout d’abord un certain ennui. Je ne savais que faire de cette abondance soudaine de temps libre. Je faisais les cent-pas dans mon appartement, j’ai arrêté lorsque je me suis rendu compte que j’étais en train d’y creuser des sillons. Je ne savais que faire. J’ai tout essayé : clic, double-clic et re-clic sur la toile, écraser les touches de la

Que les être humains doutent paraît incontestable,car dans notre vie quotidienne, nous sommes souvent amenés à douter, aussi bien dans nos actes que concernant nos idées. Douter, c’est ne pas être certains de ce que nous affirmons ou disons. Or dans certain cas nous ne pouvons pas nous permettre d'être indécis, comme dans la situation du randonneur égaré en forêt.Dans ce cas le doute renvoi à l'incapacité à formuler une décision sur une situation donnée. Mais le sentiment de doute, peut-il permettre