Sommes Nous Tous Encore Keynésien

monnaie. 14 Section 2 : Le principe de dichotomie et l'équilibre général sur le marché des biens. 17 Section 3 : Théorie quantitative et encaisse réelle. 21 Chapitre 3 : Monnaie et activité réelle, l'approche keynésienne. 23 Section 1 : La demande de monnaie keynésienne. 24 Section 2 : le mécanisme de transmission d'un choc monétaire à l'économie réelle. 27 Section 3 : Le modèle ISLM : 28 Section 4 : La courbe de Philliips. 30 Chapitre 1 : monnaie et banque. Section

patrimoine financier des ménages canadiens qui présente des liquidités suffisantes pour être considérée comme de l'argent. Elle comprend au bas mot des pièces de monnaie, des billets de banque et des actifs aux comptes-chèques des banques à charte, qui sont tous monnayables au pair puisqu'ils permettent de régler des achats sur-le-champ. Certains économistes élargissent la définition de la masse monétaire en y greffant d'autres formes d'actifs aux comptes des banques à charte, comme les soldes des comptes

est la finance, qui a connu un vrai boom dans les années 1980. Celle-ci se retrouve au coeur de vives controverses où s'opposent deux conceptions : la conception libérale qui défend une auto-régulation du système financier et une conception plus keynésienne qui prône la nécessaire intervention des instituions pour réguler la finance. A- Une finance théoriquement vertueuse : la thèse libérale ... Pour comprendre la thèse libérale il suffit de penser aux trois principes fondateurs du libéralisme

Résumé Marginalisme: balancer les avantages et inconvénients pour chaque action Rationalisme: Maximiser, optimiser (homo œconomicus) Anticipation: Prévision de prix en hausse --> demande actuelle en hausse + offre actuelle en baisse --> Prix encore plus haut. Besoins et consommation Besoin: état de manque face à ce qui est nécessaire ou ressenti comme tel. (1. avoir 2. être) Biens: libres/économiques, matériels/immatériels, durables/non durables, de consommation/de production. Courants

Chapitre 3 : le modèle Keynésien I- Le contexte historique Keynes écrit son principal ouvrage en 1936 « La théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie ». A cette époque, le monde occidental se remet lentement de la crise de 1929. Il s’agissait d’une crise de surproduction, d’une crise déflationniste. De 1929 à 1932, la production industrielle chute de 36% et les prix, sur la même période, de 30%. La surproduction amène les entreprises à réduire leur fabrication. En même temps,

compte non seulement des situations d'équilibre de sous-emploi, mais aussi de plein emploi de toutes les forces de travail et de capital, alors que l'existence d'au moins un équilibre général est l'unique résultat démontré par la théorie néoclassique (encore aujourd'hui !). Son approche théorique est considérée comme la première théorie macroéconomique, qui remet en question plusieurs des principes néoclassiques : la monnaie n'est pas un voile des échanges, le montant de l'épargne n'est pas déterminé

1,7% en 2001) grâce au recul des prix du pétrole, selon les chiffres de l’Insee. Or depuis depuis la crise de 2008 , on nous explique que le grand danger qui nous menaçait, c’était la déflation, d’où la nécessité absolue des plans de relance keynésiens par la demande. Cela a été fait. Aujourd’hui, il est tentant de nous vanter l’utilité de l’inflation pour sortir de la crise. En effet pour rembourser leur dette à moindre frais, les Etats pourraient, à l'horizon de trois ans, laisser filer l'inflation

notre actif en actif immobilier ou financier. Actif patrimoniaux (non liquide) Actif immobilier / actif financier Utilisation future, il y a un rendement La monnaie c’est un bien d’échange qui sert de moyen de paiement et est accepté par tous, ce qui est important ce sont ses fonctions. L’évolution de la monnaie Les formes évoluent mais les fonctions restent constantes. Troc  Monnaie marchandise : apparait au niveau de l’antiquité et va exister jusqu’au moyen âge.  Monnaie

être nécessairement un processus de service de répartition. Il n’y a pas de capitalisme sans respect de la propriété privée. Malthus (libéral) : la population croit à un rythme supérieur à la croissance de la production. Il pense que nous sommes dans l’hypothèse des rendements décroissants. Il est donc vigilent dans les questions de croissance démographique. Par rapport aux classiques libéraux, il y a d’autres classiques socialistes : Karl Marx : le système capitaliste ne peut pas

Pourquoi le taux de change de l’Euro est il si variable ? Qu’est ce qui détermine la croissance d’un pays ? La macroéconomie additionne les comportements économiques de tous les agents. On va s’appliquer à expliquer les raisons des performances d’un pays, à comprendre l’origine des cycles économiques. Nous sommes donc encore proches du raisonnement IS/LM mais ce qui va nous intéresser ne sera pas de comprendre la croissance mais de comprendre les fluctuations, le fait qu’autour d’un Trade de croissance