Sommes Nous Tous égaux Devant La Justice

à douleur Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri Et pas plus que de toi l'amour de la patrie Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs Il n'y a pas d'amour heureux Mais c'est notre amour à tous les deux Sénèque, Lettres à Lucilius, lettre 71 Tu ne cesses de me consulter sur tel ou tel détail de conduite, oubliant que la vaste mer nous sépare. Comme le grand mérite d’un conseil est d’être donné à temps, il doit arriver que sur certains

Mon Anthologie Tout au long de notre histoire de grand homme sont nés. Ces hommes désiraient tous faire changer le monde. À différente époque de nombreux conflits sont apparues à cause de désaccords. C'est pourquoi tous grand homme politique pour accéder au pouvoir, rendre hommage à un autre grand homme, faire passer ses idées ou encore mettre en marche une révolte utilise le discours qui est une manière forte d'exprimer ses idées. Selon moi pour qu'un discour marque et donc fait effet

droit romain. ( L’empire romain, Rome et les francs. L’empire romain à créer autour de la méditerranée une structure de vie commune : l’empire cosmopolite. L’empire cosmopolite repose sur le fait de vivre ensemble, d’accepter que les gens ne sont pas tous les mêmes. Les francs sont les deux grandes dynasties françaises. Les francs sont composés des mérovingiens (476-751/754) et les carolingiens (751-754-987). Chapitre I : Rome Rome a été fondé en 753 ou 754 avant JC. C’est une royauté

ce qui leur est commun, avec puissance souveraine […] Tout ainsi que le navire n’est plus que bois sans forme de vaisseau, quand la quille, la poupe et le tillac sont ôtés, aussi la République sans puissance souveraine qui unit tous les membres et partie d’icelle et tous les ménages et collèges en un corps n’est plus République […]. — 9. La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d’une République […], elle n’a d’autre condition que la loi de Dieu et de la nature ne commande. Il faut

LOIS. Selon les différentes cultures, lois ou religions, la notion de fidélité et la répression de l’infidélité varient complètement. Que risquait-on à être infidèle dans l’Egypte ancienne ? Et dans la Rome antique ? Aujourd’hui, sommes-nous égaux devant ce devoir de fidélité au sein du couple, quels que soient la culture, la religion ou le sexe? (A). La France a su évoluer sur sa conception de la fidélité sans, toutefois, remettre totalement en cause se principe emprunt d’une forte morale

la cause indienne, cela ne fait aucun doute: les Espagnols, avides de conquête, ont nié l'évidence, assujettissant et massacrant les indigènes par millions. Face à lui, le philosophe Sépulvéda affirme que certains peuples sont nés pour être dominés. Tous deux s'entendent sur un point: le nécessaire salut des âmes. L'issue de ce débat passionné, déterminante pour des millions d'hommes, pourrait bien être surprenante ... Dans ce livre, Jean-Claude Carrière raconte un fait historique se déroulant

consistent à maintenir les lois, à faire exactement observer la justice, à s'opposer de toutes ses forces à la corruption des moeurs, à défendre l'État contre ses ennemis... Les princes, les souverains, les rois ne sont donc pas revêtus de l'autorité suprême pour se plonger impunément dans la débauche et dans le luxe (...). Le souverain est attaché par des liens indissolubles au corps de l'État ; par conséquent, il ressent par répercussion tous les maux qui affligent ses sujets, et la société souffre également

vie sociale à un Maître polymorphe. Cette entité supérieure à nôtre personne par sa sagesse ou son pouvoir, est tantôt le parent puis le professeur, mais aussi un chef, l’État ou encore la société ; avant, pour son ultime ordre, d’empoigner la faux. Sommes-nous pour autant condamnés à courber l’échine sous le poids du cours de la vie ? Une telle pensée fataliste feint de dégager des barrières plus qu’étroites au chemin de nôtre existence, et occulte ainsi le moindre espace pour la liberté. Pourtant

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l'ensemble des institutions de l'état, mis en place par la constitution et des ordonnances et décrets même si depuis il y a eu des réformes. La justice est une fonction que l'état fait sous forme de monopole, le service public doit concilier la protection et intérêt de chacun (accès à un juge...) Dans une société civilisée, nul ne doit se faire justice par lui-même. Il est donc essentiel que le pouvoir de trancher les litiges revienne à une autorité indépendante. Indépendance sous trois points