Sources Pouvoir Imperial

Introduction historique au droit Le droit : Saisir sa définition, son utilité, et ses sources Quatre sources essentielles du droit : – La loi : les règles posées par l'autorité publique, les règles de l'État. – La coutume : correspond aux usages qui sont répétés, acceptés par tous, et internes à un milieu professionnel bien souvent (c'est le cas par exemple pour les usages bancaires). On trouve aussi ces usages en droit international. Ces coutumes existent en droit international

certes ce propos est quelque peu exagéré mais il prouve bien la place à part qu’occupa cette cité dans l’Empire sur tous les plans, qu’ils soient politiques (l’empereur siégeait à Constantinople ce qui montre que la capitale détenait la légitimité impériale), économiques (grâce au dynamisme du commerce, à sa situation géographique et à son site), militaires (murailles impressionnantes), et enfin, démographiques (elle fut une des cités les plus peuplées de l’époque). De plus le compromis entre les deux

Essentiel: retenir que l'origine divine des ces commandements les rend à jms immuables, et sature l'espace juridique: il n'y a plus de place, à coté de la loi de Dieu, pour une loi humaine. Implique: les anciens rois d'Israël st dépourvus de tt pouvoir législatifs. Ils doivent connaître par coeur la loi divine. Idem à Rome, VIII_VIIème S. avt JC, le droit n'est pas encore distinct de la religion (au tps des 1ers rois). Légende: le roi Numa aurait reçu ses « lois » de la nymphe Egérie, qu'il

composant le Corpus Juris Civilis, le Code, publié en 529, et le Digest en 530. Les Novelles sont des œuvres postérieures. Le Code, également appelé Code Justinien, est un recueil de constitutions impériales, et le Digest est un recueil de jurisprudence. Les Institutes, n'apportent donc pas de sources du droit nouvelles par rapport aux deux autres, mais ont une visée complémentaire. Elles achèvent un travail déjà entrepris avec les deux autres compilations « nous avons maintenant achevé par une faveur

droit romain est-il organisé ? Nous tenterons de répondre à cette problèmatique à l’aide d’un plan structuré. Dans un premier temps nous exposerons le droit des personnes à Rome : une distinction entre deux droits (I) et dans un second temps les sources du droit romain (II). I) Le droit des personnes à Rome : une distinction entre deux droits Gaius évoque deux droits différents à travers son texte ; le droit civil et le droit des gens A] le droit civil L’auteur du texte

deuxième femme, réclame une part pour son rejeton (Charles). S’en suivit une série de guerres et querelles, allant même jusqu’à la déposition temporaire de Louis Le Pieux par ses fils le 30 juin 833. A sa mort en 840, Lothaire (l’aîné) s’empare du titre impérial, en face, il y a le jeune Charles allié à Louis le Germanique par les Serments de Strasbourg. Le 25 juin 842, Lothaire est renversé par ses frères lors de la bataille de Fontenay en Puisaye. De-là, Lothaire traite avec eux, ce qui résulte du Traité

changement est que le procès va être confié à un juge unique qui ne sera plus liée par la formule ni par le principe de la condamnation pécuniaire. Le juge va pouvoir condamner à la restitution de la chose par exemple. Ce juge est une sorte de juge fonctionnaire, c’est un employé de la nouvelle administration de l’Empire et parfois ce juge va pouvoir être remplacé par l’Empereur lui-même faisant fonction de juge. La justice devient progressivement un service public et place les moyens de la contrainte

Platon affine la description d’Hérodote. Le pouvoir d’un seul, la monarchie dans ses termes, a deux formes. Une forme moralement positive qui est la sophocratie qui est la pouvoir d’un seul roi, mais un roi philosophe et quand ce pouvoir est mal exercé, c’est la tyrannie. L’oligarchie a elle aussi deux formes. Une forme positive, la timocratie (petit groupe au pouvoir dirige en fonction de l’honneur) et au sens strict est lorsque le petit groupe au pouvoir gouverne dans son seul intérêt. Enfin d’après

polythéiste Syncrétisme religieux ● mélange = entre cultes ro et gaulois = adoption des dieux du panthéon romain par les gaulois = « interpretatio romana »→ assimilation des Dieux gaulois aux dieux gallo-romains (Lug/ Mercure) = soumission au culte impérial = honorer emp comme Dieu = conservation des dieux gaulois =apport du temple par les ro = pr gaulois = édifice sacré ● ajout de manière occasionnelle d’autres religions venues d’Orient (ex = culte de Mithra, de Cybèle) + contact avec les juifs

persécutions. Dès le début du II° siècle, le simple fait d'être chrétien mérite la mort. Les conséquences effectives de cette certitude officielle varient beaucoup selon les moments ou les endroits. Ainsi, les craintes causées par les échecs des armées impériales ou des difficultés économiques locales s'accompagnent souvent de persécutions officielles ou d'émeutes antichrétiennes. 2.2 Les persécutions La première persécution des chrétiens a lieu à Rome en 64 sous le règne de Néron. Ce dernier, soupçonné