Sous-espace vectoriel engendré

Sciences Cognitives e Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Ecole Polytechnique, Universit´ de Paris VI, Ecole Normale Sup´rieure e e Dynamique et viabilit´ d’un r´seau adaptatif e e Cas des r´seaux neuronaux et sociaux e Camille Roth sous la direction de Paul Bourgine Centre de Recherche en Epist´mologie Appliqu´e, Ecole Polytechnique, Paris e e 2002 2 R´sum´ e e Ce m´moire propose d’´tudier l’apport de la th´orie de la viabilit´ ` la compr´hension de e e e e a e la dynamique

par : 1 - une définition, précisant l’esprit dans lequel doit être abordé l’enseignement, 2 - un horaire, ventilé en Cours/TD/TP, 3 - des objectifs spécifiques exprimés en termes de compétences. Pour chaque objectif, le niveau à atteindre est précisé sous forme d’une échelle : informer, comprendre, maîtriser. • Au niveau « informer » l’étudiant doit connaître l’existence d’un outil scientifique, les principes généraux d’une méthode, les caractéristiques générales d’un processus ou d’un procédé. Il doit

et U un sous-groupe de G, alors |U | divise |G|. Preuve. Considérons la relation binaire : a ∼ b : ⇐⇒ ba−1 ∈ U On déduit des axiomes de groupe que ∼ est une relation d’équivalence. La classe d’équivalence qui contient l’élément a est exactement la classe : U a = {xa : x ∈ U } Puisque l’on a clairement |U a| = |U |, on en déduit que G se décompose en classes d’équivalence ayant toutes le même cardinal |U |, et que, par conséquent, |U | divise |G|. Dans le cas particulier où U est un sous-groupe cyclique

fouille de données, qui ne se limite pas au traitement des données structurées sous forme de tables numériques mais offre des moyens d’investigation des corpus en langage naturel. Les données issues des entrepôts de données ne sont pas nécessairement toutes exploitables par des techniques de fouille de données. En effet, la plupart des techniques utilisées ne traitent que des tableaux de données numériques rangées sous forme lignes/colonnes. Certaines méthodes sont plus contraignantes que d’autres

sur un membre humain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 Formulation du problème . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.2 Conditions nécessaires et suffisantes pour prévenir l’hyperstaticité (conditions sur le rang des espaces des torseurs cinématiques) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.3 Démonstration de la propriété d’isostaticité globale . . . . . . 3.2.4 Conditions sur les connectivités . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.5 Analyse

Mathieu Heistercamp Laurence Mehaudens Renaud Maes Séverine Robert PRINTEMPS DES SCIENCES 2002 L’Energie Sous Toutes Ses Formes Les Micro-ondes Travail réalisé sous la direction de Jean-Louis Colot Tous nos remerciements à Josette Dauchot, Pierre Gaspard, Claudine Buess, Pasquale Nardone, Pascal Pirotte et Christiane Schomblond pour leur aide et leurs conseils ainsi qu’à Jean-Louis Colot pour sa supervision attentive, dans la joie comme dans la douleur ! 2 Introduction

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 11 11 13 14 15 15 16 16 17 17 21 21 22 22 24 24 25 25 25 27 27 28 30 32 32 34 34 35 36 36 36 37 40 40 41 43 43 43 44 45 47 49 49 50 2 Ensembles, nombres et calcul algébrique 2.1 Ensembles et sous-ensembles . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Opérations sur les ensembles . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Les ensembles de nombres . . . . . . . . . . . . . . . 2.4 La droite réelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.1 Les intervalles . .

gauche ou inversible à droite. – Si (M, ⊥) est un monoïde, N ⊂ M en est un sous-monoïde si 1M ∈ N et ∀(x, y) ∈ N 2 , x⊥y ∈ N . – Si (M, ⊥) et (M , ∗) sont deux monoïdes, f : M → M est un morphisme de monoïdes si f (1M ) = 1M et ∀(x, y) ∈ M 2 , f (x⊥y) = f (x) ∗ f (y). – Si M et N sont deux monoïdes, M ⊂ M et N ⊂ N deux sous-monoïdes et f : M → N un morphisme de monoïdes, f (M ) est un sous-monoïde de N et f (N ) est un sous-monoïde de M . – Le principe des bergers : si E est fini et f : E → F , |E|

propagation de l'onde sismique, appelées « ondes transversales ». Les ondes S ne se propagent pas dans les fluides, elles sont en particulier arrêtées par le noyau externe de la Terre. Lorsqu'elles atteignent la surface, les ondes de volume peuvent engendrer des ondes de surface, qui sont guidées par la surface terrestre. Elles sont moins rapides que les ondes de volume, mais leur amplitude est généralement plus forte. Les ondes L (ondes de Love) sont des ondes de cisaillement oscillant dans un plan

|Utilisation judicieuse des sources de référence | |Sélectionner l’information géographique et territoriale pour |Sélection et actualisation de l’information pertinente | |caractériser les espaces touristiques réceptifs du Maroc |Interprétation juste des plans de ville et des cartes thématiques | | |et topographiques