Soutenabilité de la dette

monnaie, dès lors qu'ils l'auront, à leur tour, ratifié. Sa mise en œuvre est prévue pour le 1er janvier 2013. Il doit permettre d'enrayer la crise des dettes souveraines. En effet, la zone euro qui partage la même monnaie n'a pas réussi à réduire la dette publique de chacun de ses membres, alors même que les taux d'intérêt de ces dettes n'ont cessé de grimper à cause de la crise financière mondiale. Une situation qui a fait plonger la Grèce et menace désormais le Portugal, l'Espagne et l'Italie, fragilisant

déficit/dette publique Lorsqu’une personne morale ne peut pas équilibrer ses ressources définitives et l’ensemble de ses dépenses, elle se trouve en situation de déficit. Elle devra alors avoir recours à des ressources temporaires: l’emprunt. Le montant de l’emprunt est le capital de la dette. A cette dette, vont s’ajouter les intérêts (rémunération de la banque appelé parfois la charge de la dette) et les annuités qui sont le paiement annuels au moyen duquel l’emprunteur éteint sa dette (dette+charge=

serait de 1,1 % en 2014, elle serait en Allemagne de 1,9 %, mais de 0,7 % en France et de 0,3 % en l’Italie. Soigneusement esquivée, sauf lorsqu’il s’agit de la Grèce où le moment fatidique est le plus possible retardé, la question de la soutenabilité de la dette publique n’en est pas moins posée. En effet, quelle niveau de croissance devrait être atteint, et pendant combien d’années, pour dégager un excédent primaire budgétaire qui l’accréditerait ? Barry Eichengreen, professeur à l’université de

sauvegardant des ressources naturelles et un environnement en bonne « santé » pour répondre au besoins des générations futures. TRANSITION : Mais les économistes libéraux, partisans de cette soutenabilité faible sont souvent jugés comme trop optimistes et pas assez réalistes par les partisans de la soutenabilité forte, qui estiment que la croissance s'oppose au développement durable. II- Mais cette vision est trop optimiste : la croissance soutenue n’assure pas automatiquement le développement durable

courant/PIB (%) | 18,0 | 7,7 | 5,2 | 7,0 | Dette extérieure/PIB (%) | 16,6 | 20,5 | 20,8 | 21,0 | Réserves en mois d'importations | 3,2 | 4,4 | 3,9 | 4,1 |   | (e) Estimations (p) Prévisions POINTS FORTS * Richesses pétrolières, forestières et minières (manganèse, minerai de fer, or) * Niveau de développement économique élevé, comparé à la moyenne régionale. * Forte réduction du niveau d’endettement suite au rachat en 2008 de la dette contractée auprès du Club de Paris.  

Etat-investisseur n’est basée sur aucune incitation juridique, car il est difficile de mettre en place une sanction pénale contre un Etat lorsque celui-ci est en cessation de paiement. L’existence de ce marché de la dette souveraine repose donc sur le fait que l’Etat est incité à rembourser sa dette, car il sait qu’un financement de déficit dans le futur n’est pas impossible. L’investisseur sait cela et c’est pour cette raison qu’il prête ses fonds à l’Etat. Néanmoins, nous savons que si ce qui sanctionne

L’accroissement de la dette publique en France 1) Décrire l’évolution récente de la dette publique en France, en la comparant aux principaux pays de la zone euro, puis présenter les différents facteurs expliquant cette évolution. * Evolution France et Zone euro : * La dette publique, qui correspond à l’endettement des administrations publiques (État, Sécurité sociale et collectivités territoriales), représente 84 % en 2010 contre 64 % en 2007. * Cet emballement de la dette n’est pas

(février 2015) L’ACCROISSEMENT DE LA DETTE PUBLIQUE DE LA FRANCE 1. Présenter les principaux facteurs expliquant l’évolution de la dette publique en France, en montrant notamment le lien avec la politique économique menée par le gouvernement (documents 1, 2 et 3). La dette publique, qui correspond à l’endettement des administrations publiques (Etat, Sécurité sociale et collectivités territoriales), représente 84 % en 2010 contre 64 % en 2007. Cet emballement de la dette s’explique par différents facteurs

révélés fondamentaux à cet égard : d’abord, l’attitude bienveillante des partenaires européens vis-à-vis des déséquilibres macroéconomiques dans certains Etats membres. Ensuite, l’échec du Pacte de stabilité et de croissance (PSC) à promouvoir la soutenabilité budgétaire. Enfin, l’absence dans le traité de Maastricht d’un dispositif relatif aux défauts souverains. Les auteurs du traité avaient bien compris que l’insolvabilité d’un Etat membre pouvait mettre en danger l’Union monétaire dès lors que les

long-terme les variations de la demande vont influer sur les prix, donc conclusions libérales sur le long-terme Autre consensus sur l'importance des anticipations dans l'analyse du système économique. Chapitre 2 – Politique budgétaire et soutenabilité de la dette publique Introduction Les gouvernements interviennent pour avoir le carré magique. Ils disposent de certains instruments : micro et macro. Définition de PB selon Samuelson (53) : « jouer sur les impôts et les dépenses publiques