Spécialisation

que les exportations de biens et services en pourcentage du PIB passent de 32 à 50% de 1990 à 2005, la croissance économique du pays baisse de 0.5% sur la même période en moyenne par an. La nature de la spécialisation dans le commerce international semble être un élément essentiel. La spécialisation (et l’exportation) dans les produits manufacturés et plus spécialement dans les produits de haute technologie (cas de la Chine) est plus porteuse que celle dans les produits primaires (cas de la Côte d’Ivoire)

les dirigeants sont amenés à faire des choix entre plusieurs orientations qu’il conviendrait de définir dans cette première section avant d’examiner les problèmes de mise en œuvre dans une seconde section. § I La stratégie de spécialisation A) Notion La spécialisation est l’option qui consiste à maintenir l’entreprise dans

avantages comparatifs, l’ouverture apporte des gains à tous les pays, quel que soit leur niveau de développement. Cette analyse repose sur le coûts en travail, mais sa portée dépasse ce cadre strict. Les diverse méthodes statistiques de repérage des spécialisation permettent de caractériser les avantages à l’échange des nations. La concrétisation de ces avantages par le commerce suppose une capacité d’adaptation que certains pays ne possèdent insuffisamment. CHAPITRE 1- Le principe des avantages comparatifs

d’activité A) La stratégie de spécialisation Qu’est- ce- qu’une stratégie de spécialisation ? - consiste à se concentrer sur un seul domaine d’activité afin d’en avoir la maîtrise et de profiter d’un effet d’expérience sur ce dernier - permet de se spécialiser où l’endroit à un bon niveau de compétence qui lui confère un avantage concurrentiel fort La spécialisation peut se mener en proposant différents produits ou en se concentrant sur un produit La spécialisation permet : ● De profiter

avantages comparatifs Le principe des avantages comparatifs A. Coûts en travail et spécialisations B. Le prix de l’échange dans le modèle des avantages comparatifs II. Salaires, productivités et spécialisations A. Le cas de deux pays et de deux biens B. Le cas de deux pays et d’un nombre quelconque de biens C. Les tests empiriques III. Structures des spécialisations et avantages comparatifs IV. Les risques des spécialisations A. La nécessaire flexibilité de l’appareil productif B. Concentration des exportations

transport (-50% depuis 1970) Des économies d’échelle (faire a grande échelle pour réduire les couts fixe) La libéralisation des échanges commerciaux (baisse des droits de douanes, GATT puis OMC) La spécialisation 1) le libre échange Les avantages du libre échanges sont la spécialisation (hausse de la productivité, hausse de la qualité) élargissement des marches (hausse des parts de marches et production d’échelle) et accessibilité (hausse de qualité, diversité de production et

coéchangistes. | |l’échange |Les fondements de l’échange international peuvent s’expliquer par la complémentarité des| |1.2. La dimension internationale de l’échange |économies et la logique de spécialisation (commerce interbranches). Ils reposent | |– Les fondements de l’échange international |également sur une logique de similitude telle qu’on la retrouve dans le commerce | | |intrabranche

lequel l’entreprise entend agir. Ensuite la question de la spécialisation ou de la diversification se pose, puis le choix du Faire ou Faire-Faire et donc de l’intégration ou de l’externalisation. Les stratégies de domaines s’appliquent pour chacun des DAS (domination par les couts, focalisation et différenciation) 3. Les deux options stratégiques proposées par Igor ANSOFF pour assurer le développement de l’entreprise sont la spécialisation et la diversification. Ces stratégies correspondent à

la spécialisation à l'intégration Sommaire 1. L'ère de la spécialisation (1860-1913) La concurrence s'intensifie Les hommes circulent comme les capitaux Le protectionnismen'empêche pas la croissance 2. L'ère de la multinationalisation (1950-1980) Contournerles barrières Une concurrence imparfaite 3. L'ère de l'intégration (depuis 1980) Gérer les risques Un triple défi par Denis Clerc. Depuis le XIXe siècle, la mondialisation du capitalisme a successivement pris la forme de la spécialisation, puis

la division du travail au commerce international. Mais cette présentation entretient une confusion entre deux concepts qui ne sont pas encore précisés, la compétitivité et la spécialisation. Un pays peut bénéficier d’un avantage absolu, c’est-à-dire être plus compétitif, sans que cela commande forcément la spécialisation, c’est-à-dire l’affectation des ressources productives à une activité particulière. En d’autres termes, et c’est la contribution de David Ricardo, un pays qui n’est pas compétitif