Spinoza Traite De

Le collectif prime sur l’individuel, l’individu à de valeur qu’au service qu’il rend à la société. Chacun est utilise à tous , c’est la société heureuse « Toutes choses s’efforcent autant qu’il est dans son pouvoir de persévérer dans son être » Spinoza. : les être naturel ne sont pas des être moraux L’inégalité : dégradation imperceptible de la solidarité à cause du progrès. Qu’Est-ce qu’une citée injuste? Société vient du latin « socius » signifiant compagnon. C’est donc une collectivité

« Qu'une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose » : Freud, Essai de psychanalyse appliquée. « Les hommes ont conscience de leurs désirs mais non des causes qui les déterminent à désirer » : Spinoza. LE DÉSIR : « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort » : Nietzsche. « Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! » : Rousseau. « Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir » : Épictète

furent marqués , en Europe, par les guerres de religion. Après la paix de Westphalie (1648) et la fin de la première révolution anglaise, s’instaura une période de stabilité qui engendra un brusque détournement du dogme religieux. Après le traité des Pyrénées (1659), la France rayonna en Europe dans de nombreux domaines. La navigation et l’exploration géographique maritime se développèrentvers l’Océan Pacifique et l’Extrême-Orient. L’Angleterre (James Cook) et la France (Jean-François de

tendance qui nous pousse vers un objet espéré source de plaisir. C’est un élan qui nous anime. Au sens plus essentiel, le désir est une puissance d'exister, de ressentir et d'agir. C’est l'essence même de l'homme. C’est en ce sens que, dans les mots de Spinoza, le désir est la forme humaine et consciente du conatus. Le conatus étant l'effort d'un être pour persévérer dans son être : sa puissance d’exister, de résister et d’agir (voir Éthique, posthume 1677, III, 6 et démonstration). Désir et besoin

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de

des sujets gouvernés dans un telos indéterminé, sont particulièrement vulnérables à une instrumentalisation autoritariste dans laquelle la domination ne serait plus le seul moyen mais véritablement la fin dernière du politique. Spinoza a souligné avec acuité, dans son Traité politique, la distance qu’il prenait vis-à-vis de ces conceptions de la maîtrise et des risques qu’elle comportaient. Il distingue, dans le chapitre V, à la fin du paragraphe 6, deux types d’États, qui répondent à deux types de

Voltaire, qui croyait à la défaite de son ancien protecteur, prend alors conscience de sa naïveté. Le conte serait donc une revanche sur l’humiliation infligée par Frédéric II, suite à la brouille qui a fâché le philosophe avec le roi de Prusse en 1753. Traiter Frédéric II de « roi des Bulgares » est une façon indirecte de rappeler son orientation sexuelle, le terme de « bougre » (lui-même dérivé de « bulgare ») signifiant « homosexuel » au XVIIIe siècle. Voici un extrait d’une lettre de Voltaire à Madame

critiques, railleries depuis la nuit des temps qui ne servent à rien(Corneille, pastiche, parodie, Molière, Beaumarchais(Figaro)) : hypocrisie qui se poursuit, si la Rochefoucauld est apprécié de notre époque c’est qu’on reconnait dans notre société les traits critiqués au sein de la sienne) D’où vient le fait que nous exposions ainsi à la frustration en poursuivant le représentation d’une vie bonne et heureuse dont l’expérience montre qu’elle n’aura guère d’effet apaisant sur nos m urs ? b) Sombrer

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

dire que le désir est l’essence de l’Homme induit qu’il lui soit propre, cela différencie l’Homme de l’animal. Cela suppose également que ce soit le désir et non la raison qui constitue la nature de l’Homme. Cette thèse est notamment défendue par Spinoza : « Le Désir est l'essence même de l'homme, c'est-à-dire l'effort par lequel l'homme s'efforce de persévérer dans son être. » Avec cette phrase il explique que c’est le désir qui fait notre individualité ainsi que notre subjectivité, on peut dégager