Stackelberg

réciproque de lʼoffre et de la demande (fluidité ou viscosité), la mobilité des facteurs de productions et la qualité de lʼinformation dont disposent les intervenants sur les paramètres du marché( transparence ou opacité). Page 235 Le tableau de Stackelberg résume les différentes structures sur la base du critère du nombre dʼagents pour la forme et pour la demande, sachant que les produits sont homogènes, lʼoffre et la demande fluides, lʼinformation et la mobilité parfaites. offreurs(en haut) demandeur(en

celui qui s’´tablirait en situation de concurrence parfaite. e a e Dans le cas des oligopoles, le mˆme comportement va conduire, que les entreprises e soient en situation sym´trique (Cas Cournot) ou qu’il existe une firme leader sur le e march´ (Cas Stackelberg), ` des prix de vente compris entre celui de la concurrence e a parfaite et celui du monopole. En particulier, le prix du monopole peut ˆtre atteint si e les oligopoleurs forment une entente (cartel par exemple) leur permettant de maximiser le profit

et politique commerciale stratégique : les firmes price-makers élaborent leurs stratégies sans passer par les Etats. Mais si le pouvoir de marché s’équilibre, l’Etat doit intervenir pour permettre à sa firme d’obtenir une position de leader à la Stackelberg par une subvention (mais une taxe à l’X pour Eaton et Grossman). L’UD peut permettre cette PCS, inaccessible aux petits pays dont les secteurs industriels sont moins concentrés. Régionalisme et multilatéralisme  Les accords de préférence : exception

duopole, toute décision d'une entreprise a des conséquences sur les autres. Il est donc possible d'étendre à l'oligopole les analyses faites à propos du duopole. Les entreprises peuvent adopter un comportement selon les analyses de Cournot ou de Stackelberg. Elles peuvent se livrer à une guerre des prix pour conquérir le marché ou s'entendre entre elles et former un cartel. Lorsque les entreprises ne coopèrent pas entre elles, les décisions permettent rarement de parvenir à une situation optimale.

Toutefois, il n’est pas raisonnable de la part de 1 d’esp´rer un tel e e comportement une fois que 1 a jou´ B et que ce choix est observ´ par 2. ` e e Un exemple de jeu dynamique bien connu en ´conomie industrielle est constitu´ e e par le duopole de Stackelberg. On consid`re un environnement ´conomique e e similaire a celui du duopole de Cournot mais on suppose maintenant que 1, disons, ` choisit sa quantit´ ` la premi`re ´tape et que, cette quantit´ ´tant observ´e, 2 choisit ea e e ee e la sienne. En

structure oligopolistique du marché de la biscuiterie La structure du marché est donc bien évidemment oligopolistique, avec une entreprise qui a une position largement dominante (LU). On peut rapprocher cette situation à celle d’un oligopole de Stackelberg avec la présence d’un leader, LU et d’un follower, BN. BN ne peut pas inquiéter son concurrent qui bénéficie d’une trop grande avance. Cette entreprise cherche donc probablement à maximiser son profit en s’adaptant à la situation établie par le

par plusieurs entreprises, les entreprises s’alignent sur l’entreprise leader b) Accord explicite : le cartel 3) Le cas particulier du duopole a) Le duopole de Bertrand et d’Edgeworth b) Le duopole de Cournot c) Le duopole de Von Stackelberg CONCLUSION

production qui maximiserait son profit étant donné le volume de production de son concurrent. De proche en proche (processus de cheminement par adaptations successives), on s’acheminerait vers un point d’équilibre stable. L’économiste allemand Stackelberg a supposé quant à lui que l’une des deux entreprises mettait en place une stratégie de domination tandis que l’autre cherchait toujours à s’adapter. Il s’agit d’un duopole asymétrique de maîtrise simple. Dès lors, si l’entreprise I domine et fixe

banques et la grande distribution. Bien sûr, ces quatre situations ne sont pas toutes les situations possibles sur le marché. Dans son œuvre principale « Marché et équilibre » (Marktform und Gleichgewicht) publiée en 1934, Heinrich Freiherr von STACKELBERG classifie les marchés dans un tableau. Ce dernier permet de recenser de manière fiable les différents modèles de la concurrence sur un marché en fonction du nombre d’acheteurs et du nombre de vendeurs. Source : CAPUL J., GARNIER O., « Dictionnaire

entravés par une réglementation étatique ou corporative. La concurrence est donc imparfaite. Les firmes ont le pouvoir de fixer les prix (elles sont « “Price-maker” = faiseur de prix» et NON “Price-Taker” preneur de prix). Le tableau de Stackelberg : La structure du marché Demande\Offre Un vendeur Quelques vendeurs Nombreux vendeurs Un acheteur monopole bilatéral monopsone contrarié monopsone Quelques acheteurs monopole contrarié oligopole bilatéral oligopsone Nombreux