Stichomythie

langage que chacun y prend. Ils se dévoilent l’un à/et l’autre. Ils communiquent, ce qui évince de facto Cœlio du cœur de leurs préoccupations. * -  Les autres tableaux sont l’occasion de dialogues rapides ou vifs, voisins parfois des stichomythies de la versification classique. * -  Ces différences de rythme caractérisent les dialogues chez Musset. Réflexion Des dialogues variés * -  Octave et Claudio se répondent « du tac au tac » : reprise de mots et d’expressions («À

anaphore de « os de …os de » Ce discours persuasif porte le Loup est touché « pleurer » « tendresse » il voit une longue et heureuse vie de félicité Cependant argument d’autorité du Loup « col du chien pelé »  accélération du rythme avec des stichomythies le Loup veut savoir et insiste (6 interrogatives) contraint le chien a exposer les inconvénients de sa servitude  le Loup voit ce qui est peu pour le Chien : renoncer a sa liberté quelque chose d’intolérable « attaché ? » + polyptote du verbe

Le texte de théâtre relève donc du discours direct, en vers ou en prose, destiné à la communication orale. L'échange à travers le dialogue est fait de répliques de tailles diverses, de l'échange vif par vers ou courtes phrases qui se répondent (stichomythie) aux répliques longues et élaborées qui constituent des tirades (exemple : le récit de Théramène à la fin de Phèdre de Racine). Quand le personnage est seul sur scène (ou se croit seul) et s’exprime, il s’agit d’un monologue. Celui-ci a pour

parlent beaucoup sans se répondre véritablement, chacun poursuivant son idée en dialogues parallèle (Lonesco, La Cantatrice chauve). Dans le langage, actes et scènes ont souvent disparu : le texte se déroule continûment avec alternances entre stichomythie et tirade parfois inattendus (monologue de Lucky dans En attendant Godot, de Beckett, 1952). Tous les registres de langue sont utilisés (parfois d’une langue à l’autre) et tous les jeux de mots sont permis. Pour accompagner cette dynamique du

narrative de la description Fonction esthétique de la description Fonction référentielle de la description Portrait physique/moral/social/en action Théâtre Didascalies expressives Didascalies fonctionnelles Quiproquo Répliques Tirade Stichomythies Monologue Aparté Répartition volumétrique de la parole Rupture de la loi de coopération Rupture de la loi de sincérité Rupture de la loi d’information Sous-entendu Présupposé Argumentation Connecteurs logiques Raisonnement par

Hippolyte répond par un aveu, mais qui n’est pas celui qu’attend Thésée : l’aveu de son amour pour Aricie (v. 1119-1126). Dans la quatrième partie du dialogue, la plus vive, puisque les tirades cèdent la place à des répliques brèves proches de la stichomythie, Thésée refuse de croire son fils et renouvelle ses imprécations (v. 1127-1148). Enfin, à partir du vers 1149, Hippolyte ébauche pour la première fois une allusive accusation contre Phèdre, et Thésée le contraint à fuir. ♣ Les arguments employés

perturbateur. Figaro ne compte pas se laisser faire et on aura donc au coeur de la pièce le thème de l’amour et de l’argent. 2. Le rythme est très rapide, la scène commence par un badinage amoureux puis que le rythme s’accélère avec un effet de stichomythie avec la reprise des pronoms qui désignent la chambre. 3. L’ironie dans les paroles de Suzanne l33-35 dans lesquelles elle reprend les termes de figaro et les détournent. Egalement l’effet comique aux lignes 46-47 ou elle souligne la naïveté de

« mes ennuis » (vers 13), « ma douleur extrême » (vers 15), « Que de maux et de pleurs » (vers 28). Cette douleur est accentuée par l’utilisation de l’hyperbole « mortelles douleurs » (vers 33) Les sentiments sont intensifiés par l’utilisation de stichomythies du vers 27 à 33 auxquels s’ajoutent une succession de phrases interrogatives et exclamatives « Ô miracle d’amour ! » (vers 27) « Ô comble de misères ! » (vers 27) où les alexandrins sont partagés entre Chimène et Don Rodrigue et où la construction

réplique d’un personnage adressée à un autre sur scène. - Monologue : discours d’un personnage seul sur scène qui feint de se parler à lui-même. - Stichomythies : brèves répliques échangées par plusieurs personnages qui provoquent une accélération du rythme de la scène. 3) C  herchez dans la pièce d’autres exemples de tirade, de monologue et de stichomythies. Caligula / Albert Camus 5 Séance 5 Classe de Troisième Une scène de confrontation Objectifs : › Étudier une scène de conflit au théâtre

3) Comique de mots dans Dom Juan. a) Scènes 1, 2 et 3 de l'acte II - déformation du langage qui suscite le rire. Le patois des paysans de Dom Juan produit des effets comiques de langage décalé. b) La scène de M. Dimanche - stichomythie, interruptions de phrases : M. Dimanche n'arrive pas à terminer une phrase sans se faire interrompre par Dom Juan qui monopolise la parole. -présence de l'ironie dans les paroles de Dom Juan. 4) Comique de gestes dans Dom Juan. - A