Stichomythie

Angélique est désormais d'obéir à son père ou d'être enfermée dans un couvent, lieu d'éducation des filles privilégié au XVIIème siècle (terme répété à quatre reprises). ■ Accélération des échanges : Stichomythies. L'affrontement entre le maître et la servante se fait plus frontal et le spectateur assiste à une inversion des rôles. Opposition entre les phrases négative et affirmative : « Elle ne le fera pas / Elle le fera». Un temps, Toinette fait mine d'acquiescer

celle-ci est révélatrice de la psychologie du personnage. II. Le rôle du valet : la stratégie de Scapin A. La dramatisation de la situation Scapin crée tout d'abord une situation alarmiste au début de la scène. Le rythme haletant (ponctuation), les stichomythies s'enchaînent et Géronte est finalement touché par l’agitation feinte de Scapin : « - Mais dis à ce Turc que c'est un scélérat. - Oui. - Un infâme. - Oui. - Un homme sans foi, un voleur. (…) - Va, va vite requérir mon fils. - Holà ! Monsieur

 : « poème strophique utilisé en situation de monologue (les stances de Rodrigue dans Le Cid ) pour exprimer les tensions internes au personnage ou sa plainte (les stances de Polyeucte condamné à mourir) ». B. L. Stichomythie  : « dialogue rapide (vers à vers ou hémistiche contre hémistiche) propre au situation de conflit ou à l’échange amoureux ». B. L. Tirade  : « Désigne toute réplique dans laquelle une ou plusieurs idées sont développées

homme, je le resterai jusqu'au bout ! Je ne capitule pas ! » C'est l'auteur aussi qui écrit les dialogues, en vers ou en prose, dans un style qui lui est propre, qui impulse un rythme aux échanges en alternant longues tirades, courtes répliques, stichomythies ou qui choisit d'y insérer des monologues permettant aux personnages d'exprimer leurs sentiments, leurs conflits intérieurs. Certains sont restés célèbres, comme celui de Figaro à la fin de la pièce de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, un des

rupture instantanée entre ce que rapporte le narrateur au début et les infirmations qu’il nous donne sur les personnages. Le rythme change significativement entre le début de l’extrait et les interventions enchaînées -comme s’il s’agissait de stichomythies, renforçant ainsi l’idée de « théâtralité » dans le texte, comme si les personnages jouaient une pièce théâtre- des personnages. Il n’y pas de discours rapporté par le narrateur, il y a en majorité du discours direct libre, ce qui donne une certaine

la bagarre. Les répliques (dialogue de combat, vivacité et dynamisme de la scène ) jouent un rôle important dans une scène d'affrontement: dans « Art » ( Texte D ) la vivacité et le dynamisme de la scène accélère jusqu'à l'usage proche de la stichomythie . Pour le dynamisme et le rythme de la scène lors du spectacle, il est nécessaire d'adapter les didascalies pour rendre la scène plus attractive, comme pendant la bagarre grotesque entre Yvan et Marc ( Texte D ) plus comique sur scène

qui la constituent. Scène de badinage amoureux mais c’est également le premier coup de théâtre de l’œuvre. Cette scène est déjà illustrée dans le choix des répliques, de l’échange reposant sur l’alternance de répliques brèves, proches de la stichomythie ; « Dans cette chambre ? (…) On dit une raison ») ; permettant d’introduire une vivacité dans la scène. Dans cette scène il est déjà question d’amour, d’où le vocabulaire associé. Le terme « serviteur » utilisé par Suzanne, désignant son amant

dissimule aussi ses sentiments envers Valère auprès de Harpagon qui ne pourrait pas accepter le mariage avec Valère qui est un parti beaucoup moins considérable à ses yeux. Toutes ses informations nous sont données, la plupart du temps par un jeu de stichomythies dans le premier acte et par des comiques de répétitions comme celle du « sans dot ». L’argent qui est un thème de la comédie va être le principal moteur de la pièce par l’intermédiaire du personnage d’Harpagon. Cette comédie ne nous apprend pas

caractère et leur rôle dans l’action. Il existe plusieurs formes de dialogues. 1) Le dialogue théâtral à l’oral Ce type de dialogue regroupe : - La réplique: on appelle réplique chaque intervention d'un personnage dans le dialogue. - La stichomythie: Dans une pièce en vers, il s'agit de la succession rapide de brèves répliques d'égale longueur où les interlocuteurs se répondent vers pour vers. Dans un texte en prose, des répliques courtes, hachées, des phrases inachevées produisent sensiblement

le malentendu sur l'identité du personnage héponyme -RB s'exclame a de nombreuses reprise car celui-ci est boulversé par la situation et qu'il ne comprend pas bien ce qu'il lui arrive "De moi!""Oh! Quelle trahison! Ce billet!" -De plus les stichomythies sont la preuvre d'un athomsphère qui relève de la panique"Don césar / elle est prise Madame/ et bien ! Quel cri d'effroi " -Face a cette situation la reine ne comprend pas bien c'est pour cela qu'elle s'interoge "Qu'ai-je donc fait" Elle croit