Stimulus

intrapsychique entre désir et interdit. Quand l'angoisse est trop intense, on va l'extérioriser. Ex : une phobie est un mécanisme de défense. Projection de l'angoisse sur un objet extérieur | Watson (1920) : expérience du doudou sur les bébés Lien entre 1 stimulus neutre (ex : le bain) et qq chose qui créer de l'anxiété (ex : cri de la mère) Renforcement de la phobie : répétition, évitement → réduction de l'anxiété + ↑ intolérance à la situation = maintien de phobie | Prise en compte de plusieurs éléments

elles sont capables de recevoir des informations d'origine différentes. Une seule image gardée en mémoire associée à : « c'est bon » ou « c'est pas bon » perception de la flaveur à court terme l'alliesthesie alimentaire ( Cabanac , 1971) un stimulus externe peut etrte percu comme aréable ou dé sagréable en fonction des signaux internes de faim et de satiété ex : odeur de friture selon le niveau de faim . valeur adaptative : ca participe a réguler notre faim & notre satiété le rassasiement

-subjective (dépend de la vision et du recul du récepteur) et sélective (rôle de filtre, prend en compte que ce qui intéresse. Par ex sur 100pub il y a que 10pub de retenu) -simplificatrice (on prend en compte l’ensemble des éléments qui composent le stimulus -limitée dans le temps (elles ne sont pas retenu sauf si il y a le processus de mémorisation) -cumulative (C’est une impression d’ensemble : c’est la somme de plusieurs perceptions. Exemple : On regarde un produit, on voit la publicité le concernant

la volonté, de la mentalisation psychique sans penser aux conséquences de ces paroles ou de ces actes à type d’auto ou d’hétéro agression Persévération : inertie mentale qui se caractérise par le maintien d’une forme d’activité après l’arrêt du stimulus (ex : répéter une réponse adaptée à la question précédente mais qui ne l’ai plus au moment où elle est formulée) Peur : réaction émotionnelle induite par un danger réel et objectif qui entraîne une réaction de fuite ou d’affrontement. Elle peut devenir

par exemple pour faire un choix. Exemple. Une fois que j’ai choisi le film que je veux aller voir, j’oublie ceux qui sont projetés dans les autres salles de la ville. Processus de perception en quatre étapes : L'ATTENTION / réaction à un stimulus provoqué par un objet. L’attention consiste en la focalisation sur un objet, une image, un son… et peut distraire d’autres stimulations. L'INTERPRETATION / Le cerveau cherche un sens face aux signaux qui lui parviennent (un visage, une odeur,

consommateur sont d’ordre affectif, cognitif et ou comportementale. « Si les cinq sens renseignent le consommateur sur son environnement ; les mécanismes perceptuels vont au delà de la simple reconnaissance de la couleur, de la musique ou de l’odeur. Un stimulus fait aussi bien réagir qu’il fait réfléchir, car le consommateur interprète et analyse. Les stimuli sensoriels ont un double impact sur le consommateur : ils induisent une réaction première (« cela sent bon »), et participent à la construction de

ouverture / imagination) – Tests d’intelligence (QI) – Tests de recrutement, d’évaluation, d’orientation… • Les tests psychométriques: définition de Pierre Pichot (1949) – "On appelle test mental une situation expérimentale standardisée servant de stimulus à un comportement. – Ce comportement est évalué par une comparaison statistique avec celui d'autres individus placés dans la même situation, – permettant ainsi de classer le sujet examiné, soit quantitativement, soit typologiquement". Résultats de

unitaristes : elle sont appelées unitaristes parce qu’elles réduisent le processus d’apprentissage à une seule chaîne quels que soient l’apprenant et le matière apprise. a) Théories associationnistes : leurs principes de base est l’hypothèse du lien stimulus-réponse : si deux situations, deux faits, deux idées sont associés dans leur présentation, tout rappel ultérieur d’une des deux situations, de l’un des deux faits, de l’une des deux idées invoquera l’autre. Ex. : associer une série de mots à une

explique assez clairement pourquoi les modèles théoriques dominants de l’apprentissage ont longtemps ignoré la perception et la décision, pour ne retenir que l’action. Selon le béhaviorisme en effet, apprendre consiste à stabiliser la relation entre un stimulus et une réponse, grâce à la répétition (loi de l’exercice) et grâce à un système récompense/punition (loi de l’effet). Dans cette perspective, percevoir et décider, en tant que phénomènes non directement observables, relèvent du domaine de la « boîte

cependant que les procédures imaginaires avaient en général de moins bons résultats que l’exposition in vivo (cf. par exemple Barlow, Leitenberg, Agras & Wincze, 1969). L’exposition in vivo, c'est-à-dire l’exposition progressive et prolongée au stimulus phobogène, est le traitement de choix des phobies particulières ; c’est là une opinion largement acceptée (cf. par exemple Emmelkamp, Bouman & Scholing, 1989). Le traitement de la phobie des araignées est un exemple typique de la procédure d’exposition