Stimulus

consommateur 1-Le concept de situation d’achat? La situation d'achat est définie comme étant l'ensemble des facteurs particuliers à un lieu et à une période d’observation qui ne découle pas de connaissances personnelles ou de réactions face à un stimulus et qui a un effet systématique et démontrable sur le comportement habituel du consommateur. (Belk, 1974). Ce -si dit les facteurs situationnels sont liés aux caractéristique d’un lieu d’un lieu d’achat particulier ainsi qu’au moment ou l’achat

la confrontation en cas de peur est-il juste ? La trilogie anglosaxone fright/flight/fight que l’on pourrait transcrire en français par frayeur/fuite/affrontement serait l’unique réaction biologique de l’animal en situation de stress ou devant un stimulus menaçant. Comme son nom semble l’y prédestiner, Laborit fut avant tout un génie de Laboratoire. Son expérimentation se réalise avec des rats d’élevage enfermés dans des cages, ce qui est loin de la condition de l’animal sauvage dans la nature. Si

sont en liaison avec une terminaison nerveuse sensitive qui va véhiculer le message sensitif jusqu’au centre nerveux où il sera traité. Il y aura alors une réponse induite par le centre nerveux, c’est le message nerveux moteur. (Voir Chapitre 6) Le stimulus auquel réagissent les cellules de Merkel est mécanique (sens du toucher). E) Fonction d’échange La couche cornée est la couche qui fait office de barrière mais non infranchissable laissant passer l’eau, c’est donc un lieu d’échange entre le milieu

pré-ganglionnaires qui acheminent les informations jusqu'à l'organe cible pour contrôler l'activité. 2.2. Le système somatique Il est associé au contrôle volontaire des mouvements du corps via l'action des muscles squelettiques et à la perception des stimulus externes via des récepteurs spécifiques. Il est constitué de fibres efférentes (= contraction musculaire) et de fibres afférentes (= réception des informations de l'extérieur). 3 types de neurones : sensitifs/afférents, moteurs/efférents et interneurones

partie du savoir (plutôt que de l’existence affective quotidienne) Et où les communications passent par des intermédiaires Exemple : Je sais que je travaille pour telle entreprise, que j’habite telle ville Conclusion : la théorie cognitive A un stimulus, il peut y avoir une pluralité de réponses Dans les années 1970, la cognition sociale évolue. Elle est la façon dont l’individu traite les informations fournies par son environnement sociale Ces informations proviennent : des personnes, y compris

auxquelles nous tenterons de vous répondre. Avant de vous parler de l’amnésie infantile, nous allons tout d’abord vous expliquer les différents types de mémoires. Mémoire sensorielle : Elle est très brève, elle correspond au temps de perception d’un stimulus par un organe sensoriel. La combinaison des différentes informations permet l’identification de l’information. Cette mémoire est efficace dès la tendre enfance. Mémoire à court terme : c’est la mémoire de « travail ». Elle est immédiate. Elle correspond

| |Sensation |Forme la plus élémentaire de la conscience qui consiste en la simple réaction immédiate et intériorisée de notre | | |esprit face à un stimulus (une stimulation des sens). | |Perception |Deuxième stade de la pensée qui inclut une notion d’attention, d’intérêt, de jugement au regard de la sensation, | |

- la théorie topologique : de Kurt LEWIN Il a travaillé sur l’enrichiessement des taches et la dynamique de groupe ainsi que la topologie, les relations sociales > la personnalité se developpe par rapport aux relations sociales. - la théorie stimulus : MILLER et DOLLAR : pour eux elle est fondée sur les processus d’apprentissage et l’élément principal de cette théorie sont les habitudes. 2. La structuration de la personnalité A. G. MEAD Pour lui la personnalité se construit en 3 temps

comportements moteurs (conatif : activité intentionnelle) des individus sont influencés par un autrui réel, imaginaire ou implicite ». Théorie du Behaviorisme : action déterminée par des évènements extérieurs, « stimuli »,de l’individu dans un milieu. Stimulus : élément mobilisant un individu qui l’amène à agir. Théorie cognitive : montre comment la perception que les individus ont de leur environnement détermine leurs comportements. Théorie psychanalytique : met en évidence le fait que les structures

Le quatrième mécanisme est celui des stimuli, c’est l’ensemble des choses qui vont pousser l’individu à modifier son choix, son comportement, qui va déclencher chez lui une habitude. Plus on fera preuve d’attention plus l’on sera réceptifs au stimulus. Ces stimuli peuvent avoir un impact direct sur le choix final. L’environnement psychologique est le cinquième mécanisme définis la manière dont on va utiliser ou être sensibiliser à ses stimuli, cela évolue avec le temps et la situation dans laquelle