Structure du pouvoir

l'Economie Politique Internationale Résumé. Cet article expose, analyse et compare entre eux les deux principaux courants (orthodoxe et hétérodoxe) qui composent l'Economie Politique Internationale (EPI). Sept critères servent à la comparaison : le pouvoir, l'hégémonie, l'instabilité du système mondial, l'existence de régimes internationaux, l'Etat, la rationalité des acteurs et la régulation du système mondial. Nous confrontons aussi, à l'intérieur de chaque courant, les analyses résultantes des différentes

comme un ensemble de mécanismes réducteurs qui restreignent considérablement les possibilités de négociation des acteurs, et qui permettent ainsi de résoudre les problèmes de coopération. L’organisation est vue comme « le royaume des relations de pouvoir, de l’influence, du marchandage et du calcul » et comme « un construit humain qui n’a pas de sens en dehors des rapports de ses membres ». L’organisation n’est donc pas une donnée naturelle mais un construit social ; il faut en étudier les enjeux

MANAGEMENT ­ Chapitre 2 :  Le choix d’une structure d’entreprise    1. Les modalités de structuration de l’entreprise  1.1 Comment concevoir une structure d’entreprise ?  La  conception  d’une  structure  d’entreprise  impose  des  choix  en  matière  de  spécialisation  du  travail  et  de  centralisation/décentralisation des décisions.    A. Le degré de spécialisation du travail  Lorsque  les  tâches  se  répètent  et  qu’une  seule  personne ne  suffit  pas à  les assumer toutes,  il est nécessaire d’effectuer 

sociologue et avocat allemand) Les sources du pouvoir dans trois types d’organisations Le fondement de l’autorité dépend du type d’organisation : L’organisation traditionnelle : le pouvoir est dû au statut (propriété de l’entreprise). La succession est souvent familiale L’organisation charismatique : l’autorité provient des qualités du dirigeant. Elle n’est pas transmissible. L’organisation rationnelle : la fonction exercée confère le pouvoir. Weber considère ce type d’organisation comme

Mintzberg Les Éditions d’organisation, Paris. 1994, Structure et dynamique des organisations, Les Éditions d’organisation, Paris H. Mintzberg définit la structure d’une organisation comme : "la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches". Henri Mintzberg • 1986, Le pouvoir dans les organisations, Les Éditions d’organisation, Paris. • 1994, Structure et dynamique des organisations, Les Éditions d’organisation

dissertation juridique. Travailler sur l’organisation de l’Etat. SO OM MM MA AIIR RE E I.   DECENTRALISATION ET FEDERALISME : UNE STRUCTURE ET DES PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT A PRIORI SIMILAIRES 4   A.   L’EXISTENCE D’UNE STRUCTURE SUPERPOSEE ET HIERARCHISEE 4   B.   L’AFFIRMATION DU PRINCIPE D’AUTONOMIE 5   II.   DECENTRALISATION ET FEDERALISME : UNE STRUCTURE ET DES PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT APPLIQUES SELON UNE INTENSITE DIFFERENTE Date de création du document : année universitaire

politico-économique. Mais lorsqu’on parle de forme d’état, on parle de sa structure derrière l’entité juridique, il peut y avoir différentes entités, il y a 2 catégories principales : les états unitaires et les états composés. Cette division entre unitaire et fédéral est artificielle, mais dans la conception de l’état, il y a aura coïncidence entre les deux. Dans les relations internationales, il y a un état, il peut y avoir des structures ou l’autonomie est poussée pour qu’il y ait à l’intérieur de l’état

avec la rémunération « participation aux résultats » Administration : (prélèvements obligatoires de l’Etat, impôts sur société) Les apporteurs de capitaux (actionnaires lors d’une SA, associés, prêteurs de capitaux (banques)…) L’entreprise qui va pouvoir se reverser une partie de la valeur créée pour financer ses futurs investissements (l’autofinancement). L’entreprise va s’efforcer de combiner l’ensemble des ressources le mieux possible, pour dégager des bénéfices ou un résultat positif et souvent

des entreprises Fondement de la structure : diviser et coordonner (action complexe ou de groupe) Structure : l’ensemble des fonctions et des relations déterminant formellement les missions que chaque entité de l’organisation doit accomplir et les modes de collaboration entre les entités Organiser : consiste à agencer la répartition des tâches dans le but d’assurer les différentes fonctions qui permettront à l’entreprise de fonctionner. 3 types de structures : matriciel, divisionnel et fonctionnel

Chapitre 11 la structure d’une entreprise II: les éléments de la structure A: les éléments de Mintzberg B: les modes de coordination : Mintzberg C : la répartition du pouvoir: centralisation ou décentralisation : AOKI Quel modèle structurel peut conduire à l’incorporation des intérêts des travailleurs? La production en grande quantité est-elle réalisable seulement dans une structure hiérarchisée? Modèle H : séparation hiérarchique entre opérationnel et conception – accent mis sur