Style De Direction

constater que la division du travail s’applique à plusieurs niveaux. Tout d’abord, l’entrepise Assurances Sécuriplus comporte trois divisions : la division vie, la division industrielle et la division médicale. Chacune d’entre elles a « sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau2 ». Ceci démontre donc un début de division du travail; chaque branche de services de la compagnie regroupe une seule catégorie d’assurance. D’ailleurs, la branche de la

DOSSIER D'ECONOMIE-DROIT LES PRINCIPAUX STYLE DE DIRECTION Quels sont les principaux styles de direction d’une entreprise ? Dans un premier temps je vais vous définir le principe de management d’une entreprise. Ensuite les principaux styles de direction avec quelques exemples d’entreprises. Principe du management d’une entreprise : Le style avec lequel un dirigeant exerce son pouvoir dans l’organisation va déterminer la motivation

affecte souvent le fonctionnement du groupe et son rendement. 4- Le conflit intergroupes : C’est le conflit entre deux ou plusieurs groupes, le type le plus connu, est celui qui se produit souvent dans les relations entre les syndicats et la direction. 5- Le conflit intra organisationnel : Le conflit vertical : il survient souvent lorsque des supérieurs tentent de diriger trop étroitement les subordonnés, lesquels opposent une résistance à cette domination. Il peut surgir aussi, en raison

relations de groupe et au style de commandement. Il définit trois styles de commandement : - Leadership autoritaire Les supérieurs commandent en donnant des ordres à leurs subordonnés. - leadership « laisser-faire » Il s’agit d’une direction de groupe sans implication personnelle du supérieur. C’est le cas du manager qui participe au strict minimum des activités du groupe et n’a aucune relation avec le groupe. - leadership démocratique C’est un style de direction dans lequel le dirigeant

Prévoir Organiser Commander Coordonner Contrôler Il a également édicté des principes de gestion : La division du travail Le principe d’autorité La discipline L’unité de commandement (chaque employé n’a qu’un seul chef) L’unité de direction L’intérêt général qui prime La rémunération proportionnelle aux efforts La centralisation (l’information doit être centralisée) La hiérarchie (très claire pour tout le monde) L’ordre, une place pour chaque chose et chaque chose à sa place.

Test Room (suite) • l'individu ne réagit pas aux conditions physiques de l'environnement telles qu'elles sont, mais telles qu'il les ressent. • La direction doit penser moins à ce qu' elle veut faire passer comme un message pour leur plaire qu'à écouter ce qu’ils veulent savoir et à quoi ils seraient réceptifs. • Ces rapports interpelaient la direction au sujet des qualités nécessaires à un bon contremaître (bon contremaître = bon auditeur). 11 Expérience des interviews (Enquêtes complémentaires)

distingue 4 styles de direction dans l'entreprise : | | |- le style despotique : il est caractérisé par une forte centralisation, une communication hiérarchique. Les sanctions y jouent un | | |rôle important. | | |- le style bienveillant

stratégie ? ...................................................................................... 4 d) Qu’est-ce que l’organisation ? .............................................................................................. 5 e) Qu’est-ce que la direction ? ................................................................................................... 6 f) Comment motiver ? ................................................................................................................. 6 g)

d’autre soit par un supérieur hiérarchique soit par les collatéraux soit les collaborateurs soit l’environnement extérieure à l’entreprise. Il concerne tous les organes de l’entreprise (conseil d’administration, conseil technique, subalternes, direction générale). C’est pourquoi sa mise en œuvre exige un dispositif particulier et des principes rigoureux. NB : remise : diminution en fonction de la quantité du produit Ristourne : quantité de produits achetés à une période bien donnée. La mise en

était difficile de prévoir quelle proportion de clients serait captée par ce nouveau canal de distribution. Lachard-Vincent devait donc rester très attentif, afin de pouvoir réagir en conséquence. Cependant, la plupart des membres de l’équipe de direction étaient convaincus que les petits magasins resteraient largement dominants, comme ils l’avaient toujours été. Au milieu des années 1990, soucieux de se préparer à l’éventualité d’un changement stratégique, Jacques Lachard mena une série d’actions