Suffit Il D être Dans Le Présent Pour Vivre Le Présent

«  Je ne sais comment je dure » Rondeaux (1390) Biographie : Analyse : Ce texte, écrit entre 1390 et 1400, est l’un des nombreux poèmes qui constituent l’œuvre foisonnante de Christine de Pisan. Cette poétesse fut l’une des premières femmes à vivre de sa plume et son génie a marqué la littérature du Moyen-Age. Il se déploie ici dans un court poème, qui a été édité dans un recueil intitulé « Rondeaux », ce qui nous donne une première indication sur

a connaissance de soi semble être une évidence au premier abord. En effet, je suis la personne que je connais depuis le plus longtemps et celle qui m'est la plus familière. Cependant, parfois, certains de nos actes nous échappent et on peut ainsi percevoir des zones d'ombres en soi-même (bien). Autrui peut aussi nous faire remarquer l'apparente irrationalité de nos actes. En effet, tout comme moi, il lui est possible d'être conscient de soi et il peut donc également me penser. Il est donc légitime

Etre raisonnable est-ce renoncer à ses désirs ? L’homme de par sa nature est un être de manque, il peut se définir par ses besoins primaires, naturels auxquels il ne peut échapper (se nourrir, manger, dormir) mais il se distingue des animaux par ses désirs spirituels. En effet en plus de vouloir combler ses besoins l’homme à cette capacité à désirer ce qui est superflu et inutile à sa survie. Il transforme ses besoins en désirs (se nourrir & gastronomie ; le sexe & l’érotisme etc.) ou désire ce

thème ici présent est le thème du double , c'est a dire « de n'en jamais croire ses yeux , car rien de ce qu'ils sauraient voir ne participe du réel. » La problématique que nous pouvons poser est : Le cinéma reflette t-il la vérité ou simplement ce que l'on aimerait vivre , ou au contraire , ce que l'on aimerait jamais vivre ? Dans ce texte , et ce depuis 30 ans , développe une même thèse qui est celle-ci : la difficulté de penser le réel tient a ce qu’il ne manque de rien, qu’il se suffit à lui-même

Philosophie Autrui peut-il être autre chose pour moi qu’un moyen ou qu’un obstacle ? Si l’on se repose sur nos relations avec les autres, il est évident qu’ils représentent un obstacle à mes désirs et à mes volontés. Mais les autres peuvent aussi m’être utiles par rapport à mon bonheur et mon bien-être personnel. Dans les deux cas, autrui est un élément qui sera toujours présent dans ma vie. Il s’agit maintenant de voire sous quelle forme il apparaitra

faut-il oublier le passé pour avoir un bon avenir ? 2 idées quasiment opposées seront développées : vivre le passé nous détourne de l’avenir et ignorer le passé nous en détourne aussi. S’en suit le développement de la troisième idée : avenir et futur sont-ils des synonymes ? Prendre conscience du passé nous permet-il d’avoir un bon avenir ? Tout d’abord, commençons par la vie centrée sur le passé. Il suffit d’un mauvais moment, une mauvaise passe dans notre vie pour se tourner vers le passé et nos heures

qu’il développe ensuite. Sa thèse est la suivante : « nous ne nous tenons jamais au temps présent ». Le verbe « tenir » doit s’entendre en plusieurs sens et ce sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici. -« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite dans l’imaginaire et le divertissement ou l’oubli.

L’immoraliste. André Gide L’étude d’un passage de roman peut toujours paraître un parcellaire. Cette appréhension peut être d’autant plus justifiée que l’objet du roman consiste à affranchir l’homme, en lui montrant qu’il n’y a pas d’autre règle que l’amour de la vie. Or, il n’en est rien. Cet extrait de L’immoraliste d’André Gide écrit en 1902 ne pouvait mieux être choisi pour illustrer le projet de l’auteur. Ce roman laisse l’histoire se dérouler d’elle-même comme s’il ne fallait pas offusquer

doctrine pour qui le Bien suprême est constitué par le bonheur. On peut y voir une conséquence de la conception (antique) de la philosophie comme sagesse, comme art de vivre. Chez tous les philosophes anciens, le bonheur, fin de l’action, apparaît comme un accord entre l’homme et les choses, entre l'homme et la Nature. "Vivre heureux et vivre conformément à la Nature sont une seule même chose" écrit Sénèque. Cela suppose une qualité : la vertu. "La vertu est l’habitude du bien", dit simplement Aristote

trouve isolé. Cependant, dans un contexte social, quelles nuisances peut générer son usage ? Nous tenterons de mettre en évidence le paradoxe de cet outil : à visée communicationnelle, il s’avère être aussi un instrument gênant et par voie de conséquence un provocateur d’isolement. Gêne et savoir-vivre en société Qui dit social dit « sociétal », c’est-à-dire communautaire, groupal. L'apparition de la téléphonie mobile a engendré une rapide banalisation des conversations téléphoniques dans