Suis Je Responsable D Autrui

au propriétaire d’un esclave ou d’un animal tout deux assimilés la réparation des dommages causés par ces derniers. De même, une action pouvait être exercée contre le propriétaire d’un bâtiment en ruine dont l’effondrement avait causé un dommage à autrui. En dehors de ces cas, la réparation des dommages causés par une chose était soumise au droit commun. Cet état de droit positif s’est trouvé modifiée par un arrêt fondamental de la Cour de Cassation {Arrêt TEFFAINE, 16 juin 1896). Suite au développement

autres ? Notions : autrui, le devoir, la matière et l’esprit et le vivant 1) Problématiques 2) Définitions Altérité : c’est un concept constitutif de notre façon de penser le monde et de nous penser nous même. Qui dit altérité, dit rejet et étrangeté. Autrui : Le mot est invariable et sans article. Il vient du latin alter qui signifie différent et de hic qui signifie proximité/relation. Une double tendance, une lié à la différence, l’autre à l’étrangeté. Autrui est un paradoxe, c’est

un avantage d’autrui dans des conditions qui rendent cet avantage illégitime ( Obligation légale de restituer la chose reçue. ( Catégorie des quasi-contrats. - On peut être obligé parce qu’un dommage a été causé à autrui ( Loi désigne un responsable qui sera obligé de réparer le dommage causé. o Dommage causé volontairement : Délit civil. o Dommage causé involontairement : Quasi-délit. ( Délits et quasi-délits donnent lieu à la responsabilité délictuelle

sur un être différent de moi qui me guiderait dans mes actions, qui me montrerait le chemin? Dans cette seconde conception autrui me permettrait donc alors de révéler ma liberté. Si autrui est un révélateur de ma liberté, dois-je me laisser guider par lui ou cette passivité est une entrave à mes propres choix, à ma liberté. Il conviendrait tout d’abord de savoir si autrui est une condition ou une limite de ma liberté ? Nous envisagerons tout d’abord de montrer dans une première partie qu’autrui

articles 1382 et 1384 sont le socle du développement du droit de la responsabilité La responsabilité civile Le principe général de la responsabilité civile est exposé par l’article 1382 du Code Civil : « Tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. » La responsabilité civile vise donc à réparer le dommage causé à la victime. Pour que la responsabilité délictuelle d’une personne soit mise en œuvre il faut réunir trois conditions

ainsi pas responsable pénalement, les conditions de la complicité ne sont pas réunies puisqu'il n'y a pas de fait principal punissable. Ces causes objectives d'irresponsabilité pénale sont la légitime défense (1), l'état de nécessité (2) et l'autorisation de la loi et ses variantes (3) 1. La légitime défense L'article 122-5 du Code pénal donne deux cas de légitime défense « N'est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit

faute Suppose la réunion de deux éléments : un élément objectif et un élément subjectif. Elément objectif : il est composé d’un élément légal, violation d’une norme de conduite. En l’espèce, la norme violée est le devoir général de ne pas nuire à autrui. La faute peut être un fait positif ou un fait négatif (abstention ou omission). En l’espèce, il s’agit d’un fait positif, une faute de commission. Le comportement s’apprécie in abstracto, c’est à dire par rapport à l’homme normalement prudent et

est de ne voir que ce qu'il veut voir, et de n'entendre que ce qu'il veut entendre, mais il arrive ce moment où la vérité le frappe, et là se réalise le phénomène de prise de conscience, il deviens alors capable d’avoir un regard conscient et responsable sur ce qu'il est aujourd’hui, et cela peut ainsi l'amener à devenir celui qu'il souhaite devenir demain. Elle passe par la remise en question de nos fondements, une remise en question de soi, mais également par la perception des autre de soi, afin

deux définitions possibles à cela. La première, il s’agit d’une personne ne faisant pas la différence entre le bien et le mal. Nous avons donc affaire à un mal involontaire. Par exemple, le fou ou le schizophrène qui tue n’est pas juridiquement responsable de ses actions. Mais Aristote propose un autre point de vue : un méchant est conscient, c'est-à-dire qu’il a une volonté. Il fait bien la différence entre le bien et le mal. Mais son désir du mal est plus fort que sa raison. Prenons exemple sur

le cas. Bien que Milgram n'ait pas poursuivi plus avant son enquête, on est en droit de penser que le caractère « scientifique » de l'expérience suffisait à assurer son bon déroulement, quelle que soit la nature privée ou publique de l'organisme responsable. Ce sur quoi se fonde la légitimité de l'autorité -ici celle de la science- l'emporte en importance sur le cadre dans lequel elle s'exerce et le statut légal qui est le sien. D'autres facteurs pouvaient expliquer les comportements de docilité des