Sur Quoi La Légitimité De L état Fonde T Elle

organes provisoires st créés dont l'objet est de créer les conditions de création de l'OI in fine. C'est en cours de ratification par les Etats & les processus de ratification peuvent être longs (1-2 ans). Dc on crée 1 organisation provisoire & chaque Etat a délégué 1 certain nb de représentants qui vont commencer à établir des conditions de création de l'OI càd 1 administation provisoire qui établit les conditions de fonctionnement pr demain càd un peu comme si elle rédigeait la «constitution» de l'OI

l’Etat 51-65 Pierre la grosse folle (fait) 65-85 Lena (fait) (I) Chapitre 2 : la Constitution La norme dénommée constitution 87-103 Nathan Le texte intitulé Constitution 103-124 Charly (fait) Célia (fait)124-132 (II) Chapitre 1 : Les fondements de la légitimité La limitation du pouvoir des gouvernants 132-146 Anouk (fait) 147-160 Almu (fait) La participation au pouvoir des gouvernés 160-185 Nils(fait) 185-206 Anaël (fait) (II) Chapitre 2 : Les formes de gouvernement Les modalités de la limitation du pouvoir

VICTOR HUGO EN 1848 : LA LÉGITIMITÉ DU DISCOURS En mars 1870, Hugo écrivait en regard du dossier de Choses vues pour l'année 1848 : J'ai écrit ces notes, très consciencieuses du reste, dans les premiers mois de 1848. [...] J'observais cela dans un étrange état d'esprit, comprenant peu cette révolution et craignant qu'elle ne tuât la liberté. Plus tard, la révolution s'est faite en moi-même ; les hommes ont cessé de me masquer les principes. 1 Cette lecture rétrospective indique assez l'évolution

Pourtant l’expression de césarisme démocratique peut paraitre ambigu voire contradictoire. Il convient donc de se demander en quoi c’est un régime politique fondamentalement ambigu. Si le césarisme parait dans un premier temps comme un régime politique en apparence démocratique, il est

entre la légitimité de la puissance publique à voir sa responsabilité engagée de plus en plus largement, et l’intérêt qu’elle y trouve. Nous allons répondre à cette question en suivant cette évolution de la responsabilité de la puissance publique, depuis l’affirmation par la jurisprudence d’une responsabilité pour faute de la puissance publique dans une logique de réparation (I); jusqu’à l’évolution vers une responsabilité de la puissance publique intéressée outrepassant parfois la légitimité (II)

discours doit se soumettre à ces références qu’il dénonce, pourtant, comme étrangère et qu’il ne peut qu’accepter pour trancher le conflit qui l’oppose au gouvernant pour espérer, un jour, détenir les moyens politiques d’imposer cette peau de chagrin par quoi il entend tout changer : la morale sexuelle (par exemple Ismaïl 2000). En fait, deux questions se posent, dont la première est une question d’épistémologie et la seconde une question de sociologie. La question d’épistémologie est celle de l’origine

distinguer légitime et juste : · Juste est ce qui est conforme à la justice, à l’équité, mesuré et proportionné, lié à la morale. Juste renvoie à une conception morale de la justice et à l’idée de conformité aux règles· Légitime est ce qui est fondé en droit juridiquement, consacré par le droit. Contexte  : un monde qui se veut de plus en plus pacifique mais un monde occidentale qui se voit de plus en plus confronté à une guerre plus ou moins visible contre les ennemis de la démocratie

volonté de donner le pouvoir à tout citoyen, sans aucune distinction hormis une condition d’âge, de participer à la politique. Mais qu’entend-on par « la politique » ? Il s’agit communément de l’art de diriger les affaires publiques, de gouverner un Etat. Le droit de vote des citoyens constitue la base de toute participation à la vie politique. Les citoyens en votant participent à la politique, mais ne font pas la politique : ils élisent des représentants qu’ils jugent les plus aptes à gouverner

l’universitaire nous rappelle que la philosophie libérale est fondée sur le concept moral de justice. Il corrobore ainsi l’économiste Francisco Vergara qui pense que cette philosophie “se réfère (…) à des règles morales très précises qui doivent être respectées dans le processus marchand lui-même (…)”. Eric MULOT poursuit en affirmant leur respect et leur existence impliquent la création de lois (règles internationales) et donc d’un Etat de droit (organisations internationales). Dans une telle perspective

sociétés sans écriture le pouvoir politique est bien existant ce sont des rapports oraux. Ces sociétés expriment le pouvoir politique par des fables des mythes. Les écrits constitutionnels ne serait-il pas la forme moderne des récits, des mythes, qui ont fondé nos sociétés. La première phase de la bible « au commencement était le verbe » or le verbe ne suffit pas car il devient écrit dans la bible pour fixer dans le chaos de l’univers quelque point de repère. Ce passage de l’oral à l’écrit ne se fait pas