Sur Quoi Ma Conscience Morale Fonde T Elle Sa Légitimité

connaitre soi-même, en effet la philosophie est un travail qui consiste à prendre conscience de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Philosopher, c’est prendre conscience de tout afin de se rendre maître de soi. Cependant le caractère privilégié de la conscience ne peut pas être retenu : elle ne nous donne pas un accès immédiat à nous-mêmes. N’étant plus qu’une qualité contingente du psychisme, l’effort de la conscience pour atteindre la vérité du sujet est vain. N’est-ce pas là une bonne raison d’admettre

toujours à un système de règles appliqué à l'ensemble d'une société, que celle-ci rassemble des individus, des collectivités ou des États. Le droit se distingue à la fois des mœurs (les habitudes collectives) et de la morale, qui, en dernier ressort, renvoie chacun à sa propre conscience. (cf. le Devoir). On distinguera diverses formes de droit : le droit civile qui règle les relations entre les membres d'une collectivité ; les droits civiques qui garantissent l'exercice de la citoyenneté; le droit

de l'inconscient et cherche a démontrer la légitimité de la psychanalyse en tant que science. On peux se demander comment il est possible d'accéder à l'inconscient afin d'en certifier l'existence alors que celui-ci est, par définition, inaccessible a la conscience. Cela parait impossible. L'objectif de Freud dans ce texte est de montrer que l'hypothèse de l'inconscient est une hypothèse scientifique. Les enjeux de ce texte son principalement d'ordre moraux, sociaux et théoriques : L'accès a l'inconscient

la responsabilité humaine. Son principe est communément admis. Elle définit une capacité morale, une obligation et un état juridiquement institué. Or cette présomption de responsabilité est-elle légitime ? Sur quoi se fonde-t-elle ? N’est-il pas possible d’en ébranler les assises ? Par exemple, si l’on admet avec Freud que « le moi n’est pas maître dans sa propre maison », que la souveraineté de la conscience est une illusion, y a-t-il sens à demander à un sujet de répondre de ses actes ? (Thèse :

d'autrui queje n'ai pas à enfreindre, je reconnais donc la loi. Je considère autrui comme un sujet de la loi d'égal à égal. Je m'interdis de faire d'autrui un objet. Je m' élève à la dimension de la personne càd qu'autrui est pour moi une dignité, une conscience libre et autonome que je n'ai pas le droit de détruire. Le respect implique la distance. Il y a de l'interdit de l'impossible, il y a de la loi. Pour Kant « l'amitié est une synthèse entre le respect et l'amour » . La loi reconnaît la différence

Pourquoi est-ce qu’aujourd’hui elle s’incarne presque exclusivement dans l’Etat ? Comment en est-on arrivé à cette situation ? - Quels sont les rapports entre autorité & violence ? - Pourquoi ce soumet-on à l’autorité de l’Etat ? La notion de légitimité - L’obéissance est-elle un bien ? Une pathologie ? Une menace ? – est-ce que l’on doit différencier en fonction du régime ? Eléments de correction exposé 1 + texte : * Un exposé qui demande des bonnes définitions d’Etat et de politique,

d’abord, il est important de définir les termes du sujet. Qu’est-ce qu’être juste ? C’est respecter des valeurs qui peuvent être de type morales (que l’on reconnaît en sa conscience) ou encore sociales. De plus, être juste c’est faire ce qui est raisonnable, c'est-à-dire ce qui est mesuré, réfléchi, choisi par la raison, ce qui est sage. Être juste est une qualité morale, une vertu. Ensuite, l’utilisation du verbe «suffit-il» permet de bien marquer la différence entre la condition nécessaire (il faut)

Auctoritas et potestas. Quel type de légitimation pour le pouvoir ? Pour une grande partie des populations occidentales, la démocratie traverse une crise, et la légitimité même de l’action politique semble remise en cause (au profit d’un économisme hypertrophié) ; c’est un aspect de cette fragilisation que nous allons essayer d’éclairer à partir du couple de concepts « auctoritas-potestas » mis en exergue par Maurice Sachot dans un livre( « Quand le christianisme a changé le monde » Odile

athénienne était l’expérience du primat du citoyen grec athénien sur les autres identités (femmes, métèques, esclaves). La polis, selon Aristote, c’est la communauté des citoyens organisés politiquement. Cette abstraction est une utopie créatrice, fondée sur l’idée d’égalité de tous les citoyens en tant que citoyens, quelles que soient, par ailleurs, leurs différences et les inégalités qui les séparent. C’est la Cité grecque qui a inventé le « citoyen » comme membre de la communauté des citoyens libres

28.01 _ La philosophie morale s'adresse à la conscience des individus, et a comme problématique d'orienter cette conscience vers des idées de biens et de justice, ou comme l'appelle Kant, vers l'autonomie du jugement. Mais comment s'exerce cette orientation vers le bien ou la justice ? _ Dans l’œuvre de Kant Qu'est ce que s'orienter vers la pensée ?, l'acquisition de l' autonomie du jugement est symbolisée par le courant des lumières. Les lumières, c' est un courant qui traverse l'Europe au 18ème