Swissair

qui a bouleversé le secteur aérien. La rationalisation de son organisation sur de nombreux points a été la solution afin de parer la hausse du prix. Egalement, la surcapacité sur le marché aérien a mené à la disparition de nombreuses compagnies (Swissair, TWA…). La reprise économique plus récente a permis d’améliorer la stabilité et l’évolution du secteur aérien, celui-ci n’ayant plus fait de bénéfices depuis les années 2000. Les facteurs extérieurs ont une influence certaine sur le secteur aérien

risque. Les appréhensions de Hirschman sont confirmés par les résultats de recherche de Probst et Raisch (2004, 2005). Ces chercheurs ont essayé de comprendre pourquoi cent grandes entreprises très connues (Arthur Andersen, Marks et Spencer, Vivendi, Swissair, World Com, Enron, Daimler Benz, etc.) ont disparu ou vu leur valeur boursière s’effondrer alors qu’elles étaient au sommet de leur gloire. Selon eux, ces entreprises peuvent se classer en deux catégories. Les unes ont eu une croissance démesurée

de la moitié de son trafic. Enfin sur la route Genève – Amsterdam, elle crée une La révolution "low cost" 1800000 1600000 1400000 1200000 1000000 800000 600000 400000 200000 0 Nombre de passagers EasyJet (LGW) EasyJet (LTN + STN) Crossair Swissair British Airways (LGW) British Airways (LHR) 1997 1998 1999 Source :1996 Passenger Statistics Janvier 2002 CAA 2000 2001 Figure 10 – L’induction d’EasyJet sur le Genève - Londres Une menace pour les compagnies traditionnelles européennes

décision que doivent prendre un producteur d'engrais et un fabricant d'arômes alimentaires lorsque des considérations respectivement d'écologie et de santé l'amènent à revoir sa gamme. Dans le même ordre d'idées, un transporteur de fret aérien (tel que Swissair) ou un fabricant de produits alimentaires destinés à la restauration (tel que Nestlé Foodservice) doivent approcher leur problème de segmentation de la même manière. S'agissant de la mise en oeuvre, quels que soient le secteur d'activité, la taille

billet vendu : Afriqiyah, Air Burkina, Air France, Air Inter-Congo, Air Mali, American Airlines, Asky, Brussels Airlines, British Airways, Cathay Pacific, Emirates, Gabon Airlines, Indian Airways, Jet Airways, KLM, Lufthansa, South African Airways, Swissair, Tunis Air, Virgin Nigeria; Et avoir des partenaires spécialisés dans les Nouvelles Technologies de l’Informatique et de la Communication comme Amadeus et Galileo qui font parti des logiciels aéronautiques qu’utilisent les plus grandes agences de

financière des compagnies aériennes perturbent le cycle traditionnel de l'industrie aéronautique. La croissance attendue du marché des avions civils est aujourd'hui remise en question et les faillites de compagnies aériennes conventionnelles se succédent (Swissair, Sabena...). Enfin, l'irruption sur le marché des transporteurs à bas prix et à bas coûts, clients providentiels mais encore plus "volatiles", renforce l'incertitude sur l'avenir du marché des transporteurs civils. Les accords de réduction du temps

sont en effet aussi bien producteurs qu’exportateurs de NTIC. « L’Inde est devenue la capitale mondiale de la sous-traitance d’activités TIC » . L’inde bénéficie en effet d’une importante main d’œuvre, qualifiée et anglophone. British Airways et Swissair ont délocalisé leur activité de réservation en Inde. En 2010 la Chine est le plus gros exportateur de nouvelles technologies vers les pays de l’OCDE, tandis que l’Inde se classe en première place pour les exportations de services informatiques

née de la montée en puissance du catholicisme et du socialisme. Or, les nouveaux clivages sont plutôt linguistiques et régionaux. La crise économique ne fait d'ailleurs qu'aviver ce genre de clivages - comme on vient de le voir avec la décision de Swissair d'abandonner - du moins partiellement - l'aéroport de Genève. De plus, les entreprises semblent de moins en moins intéressées à leur insertion sociale et de plus en plus préoccupées uniquement de leurs actionnaires et de leur capitalisation boursière

ayant affecté l’élection présidentielle américaine, les attentats du 11 septembre et la campagne d’Afghanistan - a trouvé son apogée dans les crises graves qui ont touché des entreprises telles que Enron, Worldcom, KirchMedia, France Telecom et autre Swissair ! Même si la situation macroéconomique actuelle permettra, n’en doutons pas, bien des escamotages, ces cas illustrent une crise majeure d’accountability au niveau le plus élevé du pouvoir économique et du pouvoir politique. Le terme « accountability

garantie de prêt. Ces garanties ne sont pas très attrayantes, car le bénéficiaire doit accorder à l’État des options sur ses actions. 9. Par exemple, la France a accordé 55 millions d’euros. Des financements ont été mis en place pour le sauvetage de Swissair et Sabena, compagnies en faillite. 10. Le 31 octobre 2001, le GAFI a adopté un ensemble de recommandations spéciales sur le financement du terrorisme, qui engagent les membres à : prendre des mesures immédiates pour ratifier et mettre en œuvre les