Syllepse

Il ya métanalyse lorsque le destinataire comprend autre chose que ce que le locuteur a voulu dire parce qu’il y ambigüité phonique, ex : « …Veux-tu toute ta vie offenser la grammaire ?/ Qui parle d’offenser grand-mère ni grand-père ? », Molière Syllepse : quand un accord ne se fait pas selon les règles grammaticales, mais selon la logique du sens. III. FIGURES DE CONSTRUCTION Sont celles qui concernent l’agencement du discours ; elles ont pour objet la structure de la phrase, voire celle du discours

Greenpeace en Amazonie, Anthropologie et Sociétés, vol.29, numéro 1, 2005, p. 103-120 * Le grand atlas du Canada et du monde, troisième édition, Erpi de boeck, 201 pages * Alternative Sud,  Déforestation : causes, acteurs et enjeux, Paris, Syllepse, 2008, 213 pages * EGLIN, Jean et Hervé THÉRY, Le pillage de l’Amazonie, Pars, Petite Collection Maspero, 1982, 201 pages -------------------------------------------- [ 1 ]. Déforestation : Action de couper les arbres d’une forêt sur d’immenses

mots. * logique de l'absurde : tout ce qui est contraire à la raison. * allitération : répétition de consonnes. * rime et rythme : intérieur et extérieur. * aphorismes de fantaisie : maximes et proverbes de son imagination. * La syllepse est la figure de style qu'il utilise avec prédilection : elle consiste à opérer des glissements entre le sens propre et le sens figuré des mots. Par exemple, dans un texte de Paroles, intitulé « La Lessive », Prévert joue avec une expression populaire

BIBLIOGRAPHIE Ouvrages : · OIP, Observatoire Internationale des Prisons, 2003, les conditions de détention en France, Edition La Découverte. · LHUILIER Dominique, BELLECHOMBRE Patrick, CANINO Rémi, FRIZE Nicolas, 2009, Le travail incarcéré, Edition Syllepse · La cour des comptes, Le service public pénitentiaire: prévenir la récidive, gérer la vie carcérale, 2010, La documentation Française · CERE Jean-Paul, LA PRISON, 2007, Edition Dalloz · PEDRON Pierre, La prison et les droits de l’Homme

terrain de la santé psychique), le « witz », le « sanglot », une façon masquée d’évoquer sa souffrance… II « l’humeur bataillarde » a. Les insultes : apostrophes, ironie par antiphrase, leur place dans le vers ; le chiasme « lettres/esprit », la syllepse de sens/équivoque ; b.    Les menaces : irréel du passé, avertissement ; formule controuvée… c.    Les métaphores du duel : une scène proleptique, le service du jeu de paume (vocation première du lieu scénique plus en rapport avec la joute)

l'équivalent de Dieu face au monde. Puissance du poètes face aux mots qu'il peut travailler comme une matière a redondance (« à sa disposition » = « sous la main »), intéressante parce que la deuxième expression peut se prendre dans deux sens différents  (syllepse): sens figuré: à disposition sens propre parlant sous la main, lorsqu’on pose la main sur le pain « les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes »: surface du pain = reliefs terrestres pain = une planète en plus petit des noms propres

générale) « est », le GN générique comprenant l’article indéfini « Un » pour y proposer une définition dont la portée est universelle (absence de déterminations spatio-temporelles qui restreindrait le jugement). LB utilise la figure de la syllepse dans laquelle, à travers une occurrence et sa reprise pronominale (« en »), il fait jouer deux significations du terme polysémique « caractère » . Focus Si l’on laisse de côté la première acception,

l’impératif du v1 « Rappelez-vous »  Le poète appelle d’abord l’évocation du passé , puis appelle à la fin l’évocation du futur v 37 : « et pourtant vous serez » V 46 « qui vous mangera » = futur de certitude V46 : qui vous mangera de baisers = syllepse = le mot baiser rerésente à la fois l’amour et la mort , eros et thanatos B parvient à faire la synthèse entre l’amour et la mort. V 46 « vermine » = ensemble des insectes parasites de l’homme = la vermine qui vous mangera de baisers => ironie

Bernard Saladin d’Anglure, « Le troisième sexe », La Recherche (23) 245,1992, pp. 837-844. Céline Bodard, Professeur certifiée de lettres modernes Page !11 Christine Delphy, « Penser la guerre », L’Ennemi principal, T. II : Penser le genre, Syllepse, 2001, p. 260.
 Céline Bodard, Professeur certifiée de lettres modernes Page !12 Réfléchir sur la notion de préjugé. Elargir la notion de sexisme. Comprendre ce qu’est la réfutation. Etudier l’opposition et la concession. 1) Définir un préjugé

Dorante poursuit. On le sent proche de l’aveu : « si tu savais » (l.53). Mais l’emploi du système conditionnel montre qu’il n’est pas tout à fait prêt. Le cœur n’a pas complètement triomphé de la raison. La suite de la phrase peut être sentie comme une syllepse « l’état où je me trouve » (l.53). Soit le plan des émotions Soit le plan de la situation matérielle et sociale. Silvia ne le laisse pas terminer sa déclaration et fait-elle aussi un demi aveu en utilisant l’adjectif « curieux »