Syllogisme Socrate

Exemples : Deux droites perpendiculaires à une même droite sont parallèles. La transitivité : si A=B et B=C Alors A=C. En français, on utilise le syllogisme : c’est un argument contenant trois propositions : la majeure, la mineure et la conclusion qui se déduit des deux autres. Exemple : Tous les hommes sont mortels. Socrate est un homme donc Socrate est mortel. L'argumentation indirecte, au contraire, déploie un ensemble de procédés rationnels et oratoires que l'on doit mettre en oeuvre pour

raisonnement qu’il met en oeuvre, c.a.d le syllogisme. ! Syllogisme ! Tous les hommes sont mortels, Socrate est mortel donc Socrate est un homme  », «  raisonnement connu d’ARISTOTE. Le syllogisme qui est un raisonnement déductif composé en trois temps. Tout d’abord d’une majeure qui est la règle de droit (1), ensuite la conséquence juridique (2) et la conclusion c.a.d la conclusion que le droit en tire appliqué au fait concret (3). 
 Le syllogisme se rencontre essentiellement dans les arrêts

Il utilise de nombreux néologismes, et par l’intermédiaire de discussions sans fin, il fait passer des jeux de mots et se plaît à jouer entre le sens propre et le sens figuré des mots. Outres cela, l’incompréhension est également nourrie par les syllogismes très présents, chez Ionesco, la logique n’est plus logique. De cette ambiguïté du langage qui confine au burlesque, ce décalage entre grandeur et petitesse, entre comique et tragique, entre lyrique et pathétique, s’ensuit irrémédiablement mécompréhension

principale générale à un cas particulier. Le raisonnement déductif part d’une proposition communément établie pour dérouler ses conséquences. Le cas particulier du syllogisme : Une majeure (proposition d’ordre général) : Tous les hommes sont mortels Une mineure (proposition plus précise) : Socrate est un homme Une conclusion : Socrate est mortel B. Inductif On tire un principe général d’un cas particulier. Le raisonnement par induction s’appuie sur des constats concordants pour en tirer une idée

Judéo Chrétienne. Dans la religion judéo-chrétienne, le mal est la réédition du péché originel. Litote : figure de rhétorique consistant à dire moins pour faire entendre plus (ex : Va, je ne te hais point.) Maïeutique : méthode dialectique dont Socrate usait pour « accoucher » les esprits, c’est-à-dire pour amener ses interlocuteurs à découvrir les vérités qu’ils portaient en eux sans le savoir B

d’être vraies ou fausses. Tout jugement, selon Aristote, peut ainsi s’analyser comme l’attribution d’un prédicat à un sujet. Une proposition se compose d’un prédicat (qui est affirmé ou nié), d’un sujet, et d’une copule qui relie les deux. Exemple : Socrate (sujet) est (copule) mortel (prédicat). Une proposition peut être une affirmation ou une négation (c’est la qualité de la proposition). L’opposition entre une affirmation et sa négation est appelée une contradiction. Le principe de contradiction

être remises en question « Je pense donc je suis » Cogito ergo sum → La certitude que le sujet a de sa propre existance se fonde sur la csce qu'il a de penser. Syllogisme → Raisonnement de 3 propositions 1ère prop: (majeure) Tous les hommes / sont mortels 2ème prop: (mineure) Socrate / est un homme 3ème prop: (conclusion) Socrate /est mortel → déduction logique -/> intuition Cogito ergo sum → cette évidence est telle que rien ni personne ne peut la remettre en question, pas même les

connaissance, et pour lui toute notre connaissance fonctionne par SYLLOGISMES ( = suite de propositions comme par ex : Socrate est mortel ). (Proposition simple : mise en commun d’un sujet et d’un prédicat (caractéristique, attribut) ; Syllogisme : deux propositions sont mises l’une après l’autre ce qui produit une conclusion). Ex : Tous les hommes sont mortels (Majeur) Socrate est un homme (Mineur) Donc Socrate est mortel (si les deux prémisses sont vraies + si le sujet du de

tel que le sérieux est réduit à néant et les choses grandes (la logique , l'intelligence) sont réduites à des choses petites. Ionesco ajoute au comique de situation un comique de mots, plus subtil. La conclusion particulièrement absurde du syllogisme "donc Socrate est un chat" consiste en un détournement inattendu et saugrenu même, de la logique. On peut relever aussi des formulations qui relèvent du paralogisme, autre forme de déviation de la logique, aboutissant à une tautologie, telle que le raisonnement

2. 3. Il ne s'agit ni plus ni moins que d'un syllogisme qui se décompose en Majeure, Mineure et Conclusion. Exemple classique : démontrer que Socrate est un mortel : - Majeure (le principe -juridiqueà partir duquel on va construire le raisonnement) : tous hommes sont mortels - Mineure (le cas particulier que l'on se propose d'étudier) : or Socrate est un homme, - Conclusion (conséquence du principe dans notre cas particulier) : donc Socrate est mortel Une solution erronée amenée par un raisonnement