Syllogisme

observables du réel. Exemple : 2+2=4 1ère définition : 1er prémice : 2= 1+1 ; 3=2+1 ; 4=2+2 2ème définition : 2ème prémice : principe logique d'identité = : addition, a+(b+1)=(a+b)+1 Déduction : 2+2=2+(1+1)=(2+1)+1=3+1= 4 C'est comme un syllogisme mais en mathématiques, on déduit une conclusion déjà implicitement du réel, indépendant du réel contingent. Il faut maîtriser la définition des concepts, tout dépend de ce qu'il y a dans le concept. L'induction est prisonnière du réel, la validité

Et qu’il n’y a donc nul besoin de supposer une révélation extérieure pour voir surgir un monde rationnel et le système des lois civiles (tout moral). 2. Raisonnement : il est déductif & explicatif. Il est d’abord construit dans la forme d’un syllogisme : en trois moments. Ensuite, on voit ce qui résulterait de l’hypothèse inverse. A. Le mouvement syllogistique : 1. Les deux prémisses : • MAJEURE : Tout homme est animé d’un antagonisme naturel et fondamental. Kant insiste sur l’aspect contradictoire

dans les esprits, comme une infection latente; elle ne se manifeste que par des actes isolés, sans lien entre eux, elle ne fonde pas un système. Mais lorsque cela se produit, lorsque le dogme informulé est promu au rang de prémisse majeure d'un syllogisme, alors, au bout de la chaîne logique, il y a le Lager1; c'est-à-dire le produit d'une conception du monde poussée à ses plus extrêmes conséquences avec une cohérence rigoureuse; tant que la conception a cours, les conséquences nous menacent. Puisse

d’un litige dont le juge est saisi). On verra au contraire qu’en Europe, les Cours constitutionnelles qui peuvent parfois intervenir a priori (avant que la loi soit en vigueur) pratique un contrôle concentré et abstrait. b- le raisonnement (le syllogisme judiciaire) 1- la prémisse mineure du raisonnement est ici la loi qu’il s’agisse de la loi fédérale (la loi du Congrès) ou des lois des Etats, les arrêts des cours des Etats pouvant faire l’objet d’un appel devant la Cour suprême. 2- la prémisse

juridiquement) et une méthode. Ex : accident de voiture à analyser juridiquement pour utiliser la loi appropriée à la situation d’où la nécessité de la qualification juridique. Cet exercice de qualif qui permet le passage du droit au fait repose sur le syllogisme juridique. Ce raisonnement de type déductif s’appuie sur deux propositions : une majeure (règle de droit applicable à la situation) et une mineure (situation de fait à analyser) d’où on tire une conclusion (l’application de la règle à la situation

la parole à la nation française (l.39 à 41) : la superficialité du raisonnement déductif (sorte de faux syllogisme) et, là encore, le contraste entre le futile "perruquiers, cuisiniers, tailleurs") et le sérieux "les lois". Jusqu'à la faiblesse lexicale de la phrase ""donc, nos lois sont bonnes". Le raisonnement ici est caricatural et rappelle certaines pages de Candide (chap 1) et les syllogismes absurdes de Pangloss. Cette phrase fait suite immédiate à un passage au ton de réquisitoire et presque

qui consiste à partir d’une idée générale pour en tirer un principe particulier. Ex : L’école est un lieu éducatif (idée générale)  Les élèves doivent donc la fréquenter régulièrement pour s’instruire (idée plus précise). - Le syllogisme : raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel »

vertu » (réciprocité) Raisonnement qui, posant une relation entre A et B, postule une relation symétrique entre B et A. « La politique sociale du gouvernement est bonne parce qu’elle s’inspire de principes et de valeurs généreuses » (Causal) Le syllogisme est un raisonnement logique à deux propositions (également appelées prémisses) conduisant à une conclusion, qu'Aristote a été le premier à formaliser. Prémisse (majeure) Prémisse (mineure) conclusion Socrate est un homme Or tous les hommes sont

raisonnement • Le raisonnement déductif va du général au particulier. On part d’une loi, d’un axiome, d’une vérité donnée comme indiscutable, et on l’applique pour résoudre un cas particulier. C’est le raisonnement utilisé en mathématiques. • Le syllogisme relève du raisonnement déductif, mais au lieu de partir d’une vérité, on en utilise deux (ou prémisses) : « Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel. » • Le raisonnement inductif va du particulier au général

D. La logique Le droit n’est pas étranger à toute logique. Il suite une certaine logique. Le raisonnement juridique permet d’aboutir à une solution. Cette logique n’est pas aussi inflexible que dans les sciences dures. Cette logique c’est le syllogisme juridique : un terme qui renvoie au raisonnement juridique. Il est composé de 3 éléments : - d’une mineure qui désigne les faits matériels. C’est l’histoire des faits. - la majeure renvoie à la règle de droit CAD à la règle qui a vocation à s’appliquer