Synonymie

utopiques à différents contextes, dans lesquels ces projets peuvent révéler leurs défauts et contradictions25. Certains auteurs donnent aux termes qui désignent l’utopie, respectivement positive et négative, des nuances qui les font sortir de la synonymie et les individualisent. Se penchant sur l’alternance « ou / eu » du jeu de mots de Thomas More, Louis Marin voit dans l’utopie un terme moyen, le « neutre » d’une dialectique entre négativité et positivité. Le pays d’Utopie n’est ni l’Angleterre

départir de la résonance du lexème « rue » dans son esprit. Pour Khatibi, en parler revient à parler des brutalités subies par le corps dans le passé. La violence du coup d’œil jeté sur la ville tributaire d’une écriture fébrile se traduit dans la synonymie par l’émergence du mot « barbarie » qui à son tour convoque en un jeu de mots « figuier de barbarie » tandis que le glissement métonymique de la ville à la rue s’efforce de voiler la rupture établie dans le récit par l’intrusion pernicieuse

métriques tenant compte de la spécificité du domaine. La première métrique mesure une similarité avancée entre les mots du titre et les mots de la phrase. Elle permet de pallier les éventuelles erreurs de pré-traitement et une partie de celles dues à la synonymie. La seconde métrique proposée utilise une des particularités des documents en Chimie Organique qui est le nombre de noms de substances dans les phrases. Ainsi les phrases ne contenant pas de noms de substances et celles en contenant une grande quantité

mots et expressions qui renvoient à une même idée ou à une même réalité ou à un même domaine de pensée. Cet ensemble peut être constitué - Des mots synonymes (détruire, saccager, dévaster, piller…) Mais il faut remarquer qu’il n’y a pas de synonymie parfaite car chaque mot porte toujours un sens plus grand ou plus petit qu’un autre qui est considéré comme son synonyme. Voilà pourquoi on parlera de gradation ascendante ou descendante. EX1 : penchant, amour, passion, flamme. EX 2 : fatigué

est toujours aussi un signe (qui aura lui aussi son interprétant). On pourrait illustrer ce processus de conversion entre le signe et l'interprétant par les rapports qu'entretient un mot avec les termes, qui dans le dictionnaire, le définissent : synonymie ou périphrase, tous les termes dont on peut à nouveau chercher la définition, qui ne sera jamais composée que de mots. Le signe est un signe à moins qu'il ne puisse se traduire en un autre signe dans lequel il est pleinement développé. Peirce est

exprimer formellement une pensée. Deux internautes n’emploieront pas forcément le même vocabulaire pour qualifier une même ressource et le système n’a d’intérêt que lorsque les tags sont employés massivement pour gommer les éventuels problèmes de synonymie et d’homographie. Le fait de faire une recherche sur le mot peut en effet me donner des résultats sur , et le problème devient d’autant plus complexe dans le cadre d’un système recouvrant plusieurs langues différentes. Plusieurs solutions sont à

consentement des administrés. Ces actes sont aussi appelés des décisions exécutoires. * Les décisions exécutoires se définissent comme des actes qui font grief. Et l’acte qui fait grief est un acte qui modifie les situations de droit. Il y a une synonymie entre les notions d’acte administratif, la décision exécutoire et l’acte qui fait grief. La modification de situation juridique peut recouvrir 3 situations différentes: ( L’acte administratif fait grief lorsqu’il ajoute ou retire des droits

domaines sont concernés ? "Veille" a certes un caractère un peu passif en lui-même mais il est de loin le terme le plus utilisé en France y compris par les partisans de "Intelligence Economique" qui l'emploient souvent en sous-entendant sa synonymie. En outre il présente de nombreux avantages. On peut parler de veilleur pour désigner l'individu qui pratique l'activité de veille ce qui est moins facile avec "surveillance" ou "Intelligence". Il est souvent employé par commodité (il ne comprend

chat… Comment savoir laquelle de ces interprétations est la bonne ? L’enfant suit des principes, et l’un d’eux est le principe de totalité : si on lui montre un objet, l’enfant considère l’objet tout entier. Ils suivent aussi le principe de non synonymie : je ne peux pas avoir 2 mots pour le même référent. Ce principe pose un problème chez les enfants bilingues. Ils vont par exemple désigner un poisson par /poisson/ et /fish/ pour le poisson pané, dans les premiers temps. 3. Forme des mots normés

exprimer formellement une pensée. Deux internautes n’emploieront pas forcément le même vocabulaire pour qualifier une même ressource et le système n’a d’intérêt que lorsque les tags sont employés massivement pour gommer les éventuels problèmes de synonymie et d’homographie. Le fait de faire une recherche sur le mot peut en effet me donner des résultats sur , et le problème devient d’autant plus complexe dans le cadre d’un système recouvrant plusieurs langues différentes. Plusieurs solutions sont à