Sénèque Questions Naturelles

affirment qu’au contraire nos impulsions sont dues à notre nature humaine. Ainsi, un enfant qui s’exerce à marcher et qui ne cesse de chuter, de se faire mal, n’est pas guidé par la satisfaction mais par le besoin d’être comme ceux qui l’entoure. Sénèque affirme par ailleurs qu’il est impossible de confondre bonheur et plaisir, le premier étant un état durable, le second un sentiment éphémère : « le plaisir arrivé à son plus haut point s’évanouit ». Le plaisir n’est donc pas nécessaire au bonheur

Causes de la paresse IV- Conséquences de la paresse V- Approches de solutions Conclusion INTRODUCTION L’homme est un être imparfait. Il a des qualités mais également des défauts qui le caractérisent. S’il est un défaut qui récurrent dans les questions de société, la paresse en est un. De tous temps, elle a cristallisé questionnements et débats passionnés quant à son danger ou son intérêt. La paresse est-ce innée chez l’homme ? Ou bien une habitude à laquelle on s’accoutume ? Quelles sont ses

comme art de vivre. Chez tous les philosophes anciens, le bonheur, fin de l’action, apparaît comme un accord entre l’homme et les choses, entre l'homme et la Nature. "Vivre heureux et vivre conformément à la Nature sont une seule même chose" écrit Sénèque. Cela suppose une qualité : la vertu. "La vertu est l’habitude du bien", dit simplement Aristote. La disposition au bien, à faire le bien, voire à bien-faire les choses. La vertu peut s’appliquer à toute action bonne et pas seulement aux “bonnes actions”

Acte III Burrhus informe Néron de l’exil de Pallas, lui fait comprendre que ce coup porté à sa mère n'aura de poids que s'il cesse de la craindre, lui conseille aussi d'oublier son amour pour Junie, se lamente de voir que son naturel, malgré ses soins et ceux de Sénèque, son autre «gouverneur», va bientôt apparaître au grand jour. Dans un monologue, Burrhus exprime son découragement et ses craintes. Inquiet des outrances de Néron, il s’en ouvre à Agrippine, mais relativise la signification de

sujet se transmet à travers les différentes époques : après l’Hyppolite d’Euripide (Vème siècle av. J.-C.), le philosophe Sénèque, précepteur de l’empereur Néron, reprend le sujet et le genre dans la Rome du 1er siècle ap. J.-C. (Phèdre). Cet auteur a écrit de nombreuses tragédies dont les sujets sont empruntés aux Grecs. Le français Robert Garnier, via la lecture de Sénèque écrit Hyppolite en 1573 et enfin Racine écrit sa Phèdre en 1677. 7. Ont été évoqués, durant l’exposé, les codes qui régissaient

jugements trop rapides qui se fient aux préjugés et non à la raison. D'autre part, Montaigne fait appel à deux philosophes grecs de l’antiquité, Platon et Aristote. Platon est le plus évoqué : Montaigne fait référence à son ouvrage dans lequel il est question de la célèbre Atlantide, qui est un "témoignage de l'Antiquité, auquel on veut rapporter cette découverte" (c'est-à-dire la découverte de l'Amérique). Par la suite, il le cite plusieurs fois ("Toutes choses, dit Platon, sont produites par la nature

–contre Descartes- mais dans une obscurité qui n’est pas elle-même manifeste. Voilà bien les contradictions où nous sommes, le malheur de notre pensée. De cette dimension tragique de l’existence, de la contradiction et du malheur humain, il est question dans les pensées qui nous occupent. Tout le texte est bien construit sur cette dimension de la contradiction mettant clairement en évidence la duplicité, la dualité de l’existence humaine. Cherchant à établir ce qui fait la spécificité humaine

STAPS, le prenant comme objet d'étude. Après avoir effectué une revue de questions multidisciplinaire, sont exposées les tentatives mises en oeuvre pour identifier les observables du plaisir lors de la pratique des sports d'eau-vive. Haut de page Entrées d'index Mots-clés : plaisir, éthologie, outil ludo-sportif Keywords : pleasure, ethology Haut de page Plan Approche multiréférencée du plaisir – Revue de questions Philosophie et histoire Psychanalyse et psychologie Psychologie et biologie

qui donne du sens à la vie ». Parce que notre durée de vie est limitée et parce que pour cette raison, nos possibilités d'actions sont finies, nos choix ont un sens. La fin donne la valeur à nos choix qui, sinon, se trouveraient sans cesse remis en question sans jamais avoir de conséquences véritables puisqu'ils seraient amenés à se diluer dans l'éternité. "L’existence de Dieu" au sens où Michel Henry conçoit le terme de Dieu s’adapte même assez bien à cette conception du bien et du mal. Elle a le

philosophe grec et visée morale du poète latin. Débat sur le meilleur style, l’optimus stylus : certain veulent une phrase brève et dense (tiré de Sénèque et Tacite), d’autres l’ampleur et l’ornement (ds la tradition cicéronienne des rhétoriques jésuites) => reprise de ces débats ds le cadre d’une littérature française en plein essor, où la question de la langue est première (comme l’atteste la création de l’Académie Française en 1635). La literatura désigne chez les Latins la grammaire, et cela