Sénèque Questions Naturelles

conseils et qu’il parlait à tous avec beaucoup de liberté et de franchise malgré son rend social. Epictète n'a rien écrit lui-même. C’est son disciple, Arrien qui a rédigé et résumé les leçons du grand stoïcien. Le stoïcisme fait du bonheur la fin naturelle de l’existence humaine par la sagesse. Mais la sagesse ne peut nous apporter que du contentement, jamais de grandes joies et par la même jamais de grande souffrance. Le manuel est il le secret du bonheur ? Que nous dit-il donc ? Est-il applicable

de traductions disponibles, avec les liens, sur http://www.weblettres.net/languesanc/ ; ou surtout sur http://bcs.fltr.ucl.ac.be/SLInf4.html. Manuels généraux ou par période d’histoire des institutions Il est indispensable de bien connaître les questions institutionnelles, l’environnement dans lequel se développent les idées politiques, particulièrement pour l’Antiquité, où il est parfois difficile de distinguer pratiques et idées, les sources permettant de les connaître étant souvent les mêmes.

voire le refuser. A un désir on peut toujours opposer une leçon de morale. Un besoin est objectif et universel parce qu'il est naturel, tous les hommes ont à peu près les mêmes besoins. Au contraire, les désirs varient beaucoup parce qu'ils naissent par imitation d'abord de nos proches puis des hommes avec lesquels ont partage les mêmes valeurs. Si les besoins sont naturels les désirs sont culturels. Enfin, nos besoins sont peu nombreux et facilement satisfaisables. Ils sont tellement élémentaires

noble prêt à tout, qui représente la ruse et l’appât du gain. Acte II Scène 3 : Les maîtres de philosophie se présentent comme des sages, mais sont des pédants, des arrogants qui se sentent supérieur à tous. Lorsque leur pensée est remise en question, ils peuvent se mettre en colère et se battre. Ce qu’il enseignent est ridicule. 3. Comédie de caractère (dans l'Acte I, le caractère de M. Jourdain) : liste d'adjectifs et de noms pour décrire le caractère des personnages du « Bourgeois

mêmes d’une chose ou d’une situation. L’œuvre de l’avocat passionné par l’antiquité gréco-romaine aborde dans son ouvrage « Ils avaient tout compris: le développement personnel sellons les penseurs antiques » tel que Aristote, Épicure, Marc Aurèle, Sénèque ou Socrate, ces philosophes reconnus ayant tous traité les grandes problématiques de l’être humain. Malgré le temps et l’espace qui nous séparent, leurs écrits nous prouvent qu’ils faisaient face aux mêmes questionnements que les nôtres. Nicolas Lisimachio

fait que la totalité du monde est divine et non pas un être extérieur (panthéisme = pan (tout), theos : dieu). [c'est donc un panthéisme, et pas une conception transcendante de Dieu] La theoria stoïcienne est donc que malgré les catastrophes naturelles qui ne sont que des défauts temporaires, le monde est harmonieux, la nature tout entière l'est et doit servir de modèle de conduite aux hommes. Cet ordre harmonieux ne peut être que juste et bon (ex : Marc Aurèle dans « Les pensées » : il rend

méchant quand il le voudra. Quant à obéir à plusieurs maîtres, c'est être autant de fois extrêmement malheureux. Je ne veux pas débattre ici la question tant de fois agitée,  à savoir Plusieurs d'entre elles meurent aussitôt prises. Tel le  poisson qui perd la vie sitôt tiré de l'eau, elles se laissent  mourir pour ne point survivre à leur liberté naturelle. Si  les animaux avaient entre eux des prééminences, ils feraient  de cette liberté leur noblesse. D'autres bêtes, des plus grandes  aux plus

la structure n’en reste pas moins similaire au latin par l’abondance des subordonnées. C’est pourquoi le chapitre commence par une longue période qui coure sur dix lignes, sans doute pour imiter le style oratoire de ceux dont il est immédiatement question. Cela lui permet d’opposer deux visions de l’âme humaine : celle qui condamne les hommes « d’aller toujours béant après les choses futures » et celle qui comprend et analyse les raisons de cette « commune erreur ». Notons la formulation toute latine

Acte III Burrhus informe Néron de l’exil de Pallas, lui fait comprendre que ce coup porté à sa mère n'aura de poids que s'il cesse de la craindre, lui conseille aussi d'oublier son amour pour Junie, se lamente de voir que son naturel, malgré ses soins et ceux de Sénèque, son autre «gouverneur», va bientôt apparaître au grand jour. Dans un monologue, Burrhus exprime son découragement et ses craintes. Inquiet des outrances de Néron, il s’en ouvre à Agrippine, mais relativise la signification de

yeux pour découvrir dans la lecture tout le jeu du théâtre (Molière “Au lecteur” L’Amour Médecin) Il y a bien de la différence entre peindre à mon imagination et mettre en action sous mes yeux (Dorval, porte-parole de Diderot Entretiens sur le fils naturel) Le roman et le théâtre sont deux genres irréductibles. I Le système dramatique Le théâtre est un art de la mimêsis, Platon mimêsis = le poète fait parler ses perso. diégésis = “ parle en son nom. I.A Le dialogue