Taylorisme Et Gains De Productivité

Progression du revenu national (PIB) et des revenus distribués Consommation (effet demande) Investissement (effet offre) Emploi et Croissance (PiB)… Q 6 : En quoi les décisions des entreprises contribuent-elles à la croissance de leur productivité ? [doc. 4 / 2 points] La productivité (travail et capital) permet de mesurer l’efficacité du processus de production alors que les dépenses de R&D mesure l’ensemble des activités de recherche fondamentale [fournit les lois scientifiques et des connaissances de base]

L’ENTREPRISE I) Une unité Economique 1° Une unité productive de richesses Toutes entreprise est appelée à créer 2 formes de richesses: 1 - Valeur Ajouté 2 - Gain de productivité 1- Pour produire un bien, une entreprise doit se préoccuper des consommations intermédiaires qui se présentent sous la forme de ressources productives: * Ressources humaines * Ressources financières * Ressources naturelles + capital technique L’entreprise combinera ces 3 facteurs

par l’aval » et le « juste-à-temps » Nous allons nous demander quelles sont les conséquences sur la productivité et le PIB, puis sur les conditions de travail. I. Les conséquences économiques A. Un facteur de hausse de la productivité Face à la concurrence, les entreprises cherchent à être plus réactives (doc. 1). Une nouvelle organisation du travail favorise la hausse de la productivité (doc. 2). Cela se vérifie aux États-Unis, moins en Europe (doc. 3). On peut expliquer cette difficulté

Exposé sur la productivité (script) Définition : (selon l’INSEE et le Dictionnaire d’économie et de Sciences Sociales Nathan), Rapport entre une quantité produite (tonnes d’acier, automobiles, production nationale) et les moyens mis en œuvre pour l’obtenir (travail et capital). A productivité mesure l’efficacité des facteurs de production et l’efficacité de leur combinaison. On mesure l’efficacité de la combinaison productive d’une entreprise par l’évolution de sa productivité d’année en année

social. Phase B, c’est l’OST. Mécanisation marque la baisse de l’autonomie ouvrière ; les productions se mécanisent, la division du travail apparait et avec elle la place moindre du travailleur. C’est l’époque du fordisme et du taylorisme. B. L’introduction du taylorisme Taylor nait 1856 et meurt en 1915, c’est un quaker (secte protestante), le jeune Taylor tout en préparant ces concours d’accès aux écoles du secondaire, travaille. Il est ouvrier et comme il n’est pas trop mauvais on lui confie

production en fonction de la demande attendue, tout en minimisant l’utilisation des ressources rares, donc les coûts ? 15 II.1.2. COMBINAISON PRODUCTIVE ET PROFIT Cependant ces deux ressources ne sont pas statiques : le progrès technique accroît la productivité des machines, comme la formation augmente la qualité du travail. Ces deux facteurs sont donc à la fois complémentaires (il n’y a pas de machines ou d’usines, sans hommes) et jusqu’à un certain point substituables (le progrès technique permet de

routine et l’abrutissement qui engendrent surmenage et accidents de travail, l’absentéisme qui se développe, les taux de rotation du personnel qui s’élèvent et l’augmentation des revendications et conflits. Tout cela entraîne une baisse des gains de productivité. Cette crise est dûe au refus de la routine et à l’abrutissement de la part des salariés qui souhaitent un enrichissement du contenu de leur travail. Cette crise est sociale. Note : Marx considère que le travail devient aliénant. L’aliénation

s’effectuent majoritairement en fonction des coûts du travail et du capital ainsi que de l’efficacité de la combinaison par apport à la productivité, mais aussi du type de produits qu’il fabrique ou encore de l’environnement locale… Donc si la combinaison productive d’une entreprise est efficace celle-ci verra ses profits augmenter par la hausse des gains de productivités. Elle crée alors plus de richesses ce qui entraine donc une croissance économique. 2. Progrès techniques ou innovations Le progrès

appelle la productivité , l’efficacité des facteurs de production : - Productivité horaire du travail : quantité de produit / nombre d’heure - Productivité horaire

standardisation de la production (avec le fordisme et le taylorisme). C’est une croissance autoentretenue et reposant sur des gains de productivité importants : on parle de croissance intensive (contrairement aux autres pays). Ces gains de productivité profitent aux salaires, qui augmentent, ce qui permet le développement d’une consommation de masse tournée vers les produits standardisés (la Ford T par exemple). Cette hausse de la productivité permet également une baisse de la durée de travail. De