Taylorisme Et Gains De Productivité

profonde : il s'agit du taylorisme, de la fin du XIXe siècle à la crise de 1929, et du fordisme, de 1930 à la crise des années 70. (...) Ce qui se joue actuellement, c'est la mise en place d'une nouvelle forme dominante d'organisation du travail, remplaçant le taylorisme et le fordisme. L'informatisation constitue ainsi une tentative de rationalisation parmi d'autres. Tentative plus prometteuse, car l'informatisation permet à la fois une relance des gains de productivité et la mise en place d'une

une main d’oeuvre mieux organisée contribuent à augmenter la productivité des facteurs de production. Le progrès technique explique donc en grande partie la croissance. Mais d'où vient le progrès technique ? Quel est exactement son rôle ? A. Qu’est ce que le progrès technique ? Le progrès technique désigne l’ensemble des éléments qui permettent d’améliorer la production en accroissant ainsi la productivité (voir la fiche sur la productivité et ses - l’innovation de produit = produit nouveau : c’est

+ emplois), de remplacement (remplacer machines obsolètes), de productivité (machines plus performantes, - emplois) Innovation : application réussie d’une invention à des fins productives (commerciales ou industrielles. 3 formes d’innovations selon Schumpeter : * de procédé : nouveau k fixe plus performant (machine à vapeur) * organisationnelle : organisation du travail et des activités de l’entreprise (taylorisme, fordisme) * de produit : nouveau produit vendu (télé, ordinateur)

l’offre : Progrès technique Atout pour la productivité et la compétitivité prix et hors prix puisqu’il permet aux entreprises d’augmenter la quantité de biens et de services en limitant la quantité de biens et de services entrants dans la production. Innovations organisationnelles jouent un rôle important et les gains de productivité ont été rendus possibles par une intensification de la division du travail à partir de la généralisation du taylorisme et du fordisme. L’organisation scientifique

celles-ci étant effectuées par des ouvriers spécialisés. C’est donc Smith qui introduit la division du travail dans sa manufacture d’épingles, ceci dans le but d’accroître la productivité. Nous pouvons nous demander si la division du travail n’a que des effets positifs et si elle permet réellement d’accroître la productivité comme le suggère Smith. Pour répondre à cette question nous commencerons par présenter les effets positifs des différentes formes de division du travail puis nous envisagerons

Ainsi, le taylorisme vise à accroître la productivité en séparant les taches élémentaires de production. C'est le travail à la chaîne qui est expérimenté par Henry Ford dans ses usines automobiles. C'est l'un des premier à s'inspirer très largement des travaux de Taylor. Grâce au fordisme, il réduit le temps de fabrication d’une voiture. Bouleversant le travail ouvrier dont les tâches sont décomposées et chronométrées, le travail à la chaîne permet d'importants progrès de la productivité. De plus

le développement du secteur tertiaire où les emplois d'ouvriers sont possibles mais moins fréquents que dans l'industrie, cette part dans la population active totale ne cesse de décroître. La tertiarisation s'explique par les plus faibles gains de productivité de ce secteur et par l'augmentation de la demande, ces deux phénomènes conjugués conduisant à une hausse de l'emploi dans les services. Depuis 1970, la baisse de l'emploi industriel lié à la mécanisation (l'industrie produit plus mais avec

profonde : il s'agit du taylorisme, de la fin du XIXe siècle à la crise de 1929, et du fordisme, de 1930 à la crise des années 70. (...) Ce qui se joue actuellement, c'est la mise en place d'une nouvelle forme dominante d'organisation du travail, remplaçant le taylorisme et le fordisme. L'informatisation constitue ainsi une tentative de rationalisation parmi d'autres. Tentative plus prometteuse, car l'informatisation permet à la fois une relance des gains de productivité et la mise en place

savoir-faire (= « qualification individuelle ») ou compétences exigées par un poste de travail (= « qualification de l’emploi ») Taylorisme Les objectifs de Taylor sont de trois ordres : lutter contre la flânerie systématique des ouvriers dans l’atelier, proposer une méthode de fabrication optimale, mettre en place une rémunération au mérite (en fonction de la productivité des travailleurs). Pour réaliser ces objectifs, l’organisation du travail repose sur : è une division du travail horizontale

entre la croissance et les gains de productivité dans les PDEM? Introduction: Au XIXième siècle, la Révolution Industrielle et l'arrivée d'innovations vont entraîner des gains de productivité importants et ainsi accélérer la production jusqu'au XXième siècle. Après les années 30, la croissance va revenir avec les Trente Glorieuses puis ralentir à partir des années 80 pour se stabiliser au taux de croissance standard en France autour de 2% par an. Le gain de productivité est l'ensemble des économies