Taylorisme Et Gains De Productivité

I. – L'innovation est un moyen d’améliorer la compétitivité-prix A) Les innovations de procédés permettent de réduire les coûts grâce aux gains de productivité 1. La mise en œuvre de nouvelles techniques de production, grâce à l’utilisation de machines nouvelles ou de nouveaux équipements, permet en général aux entreprises d’accroître leur productivité, c’est-à-dire le rapport entre les quantités produites et les quantités de travail ou de capital utilisées. Chaque unité produite revient ainsi

qualification) plus ou moins grand, puis une production de biens ou services particuliers. Le progrès technique est multidimensionnel : il peut en effet porter sur les processus, les produits eux-mêmes, l’ organisation du travail (division du travail, taylorisme, fordisme...), les matières premières (souligner le rôle du charbon, de l’ électricité, puis du pétrole)... Invention / innovation On distingue traditionnellement ces deux concepts en soulignant qu’ une innovation est la rencontre d’ une invention

rationnelle. Il inclut dans sa réflexion le management qui de dilettante (amateur) doit devenir scientifiquement efficace. C'est historiquement la première approche du juste nécessaire: TAYLOR Frédéric donne un acquis définitif à l'industrie. La productivité est multipliée par trois et les salaires grimpent. Mais ce système rigide crée une césure entre l'homme qui pense et celui qui agit de ses mains et exclut le travail en équipe. FAYOL Henri (1841-1925) FRANCE, première théorie du management et

entreprises vont bénéficier d’un monopole temporaire leur permettant de vendre plus et à des prix relativement élevés, les clients étant sensibles à la nouveauté. Quand il s’agit d’un nouveau procédé de fabrication, l’entreprise va obtenir des gains de productivité, lui permettant de réduire ses coûts de production et donc ses prix à terme. Il est donc important pour les entreprises de s’informer sur les concurrents pour détecter les moindres signes de changements. Cette veille technologique comporte

fiche I - Notions de base II - Problèmes économiques et sociaux III - Théories et auteurs IV - Repères historiques Le marché du travail suit l’évolution économique et sociale de nos sociétés industrielles. A l’emploi stable et peu qualifié du taylorisme et du fordisme a succédé de nos jours le besoin d’un travail plus flexible et plus qualifié. I - Notions de base La qualification désigne l’ensemble du savoir-faire et des compétences du salarié. La qualification de l’emploi définit les qualités

fordisme Qu’est ce le fordisme? « Le fordisme » fait référence au mode d’organisation du travail et à la politique salariale appliqué par Henry Ford dans ses usines automobiles dans les années 1900. Autrement dit il s’agit d’un approfondissement du taylorisme*… Il peut aussi faire référence à un mode de régulation de l’économie entre 1950 et 1975(terme utilisé par les théoriciens de l’école de la régulation*). Dans les pages qui suivront nous allons analyser « le fordisme »comme mode d’organisation

doivent être acceptables pour le client. L’organisation du travail Désigne les différents systèmes mis en place dans les entreprises pour accroître la productivité, grâce à une utilisation plus rationnelle du travail. Le Taylorisme (ou Organisation Scientifique du Travail) a pour objectif d’obtenir la meilleure productivité possible des agents de travail et une moindre fatigue. L’OST repose schématiquement sur la double division du travail : - La division horizontale, qui consiste

fordisme a provoqué des révoltes ouvrières car les salariés considéraient le travail à la chaîne aliénant et répétitif. Pourtant cette innovation de procédé a engendré d'énormes gains de productivité. Le progrès technique est l'ensemble des éléments qui permettent d'améliorer les méthodes de production et d'accroître la productivité. Cependant quels effets le progrès technique a t-il sur l’emploi ? Est-il destructeur d’emplois ? Modifie t-il la qualification de la population active ? Dans un premier temps

utilisation plus efficace des forces productives. • La principale source de la croissance réside dans la hausse durable de la productivité du travail, c'est-à-dire dans la mise en œuvre de facteurs susceptibles d'améliorer l'efficacité du travail (37 heures de travail étaient nécessaires, en 1865, pour produire une tonne de ciment ; seulement 4 heures en 1948). • La productivité du travail augmente sous l'effet de trois phénomènes : – l'accumulation du capital productif, c'est-à-dire l'accroissement

individuels versus maximalisation d’intérêts concentrés, affrontement des égoïsmes versus valorisation des égoïsmes et tout le reste. Le modèle de l’organisation scientifique est apparu vers le début du xxeme siècle, soit 1913 communément appelé le taylorisme, Taylor, d’où l’organisation scientifique du travail (OST), principalement « basée sur des normes loyales de rendement » (manuel management à l’ère de la société du savoir, 2011 chénélière éducation, p.35). Ce modèle d’organisation perçoit une