Te Deum

de Catherine et Henri, les acclamations de la foule semble être plutôt dues au bonheur de voir la paix : le bourgeois de Paris dit « Jamais princes ne furent reçus à plus grande joie […] ils encontraient par toutes les rues processions chantant : Te Deum Laudamus ou Benedictus te venit ; et ce faisoit […] le commun […] pour complaire aux dits seigneurs […] car si, on avoit très grant povreté de faim la plus grant partie, spécialement le menu peuple... », car, qui plus est, la guerre civile a mis sur

roi éternellement» et en criant par trois fois «Nous approuvons, nous voulons! Qu'il en soit ainsi!», cette acclamation est ensuite reprise par l'assemblée au son des trompettes, le peuple est alors introduit dans la cathédrale pour chanter un Te Deum laudamus (Dieu nous te louons) puis des oiseaux sont lâchés et l'on jette des pièces et des médailles. Enfin après le sacre un banquet est célébré payé par la ville. Ainsi nous venons de voir qu'au yeux du peuple le roi devient roi par la cérémonie

tremblait comme un philosophe » : un intellectuel incapable d’agir face à la guerre - Boucherie héroïque : oxymore => dévalorisation de l’héroïsme II/ La réalité de la guerre a) Dénonciation des institutions (la religion => philosophie) - Le Te deum [Té déoum] : ironie mordante à la religion fautive -> On remercie Dieu pour justifier un massacre > guerre sainte |-> Ce champs est chanté dans les deux camps ! LA LOI DU TALION La religion est complice dans les deux camps, complice

car considéré comme un déserteur→est sauvé par roi des Bulgares. Chap 3: Candide se sauve des Bulgares La guerre Belle desc : une fanfare hormonieuse. Nb de morts et Candide tremble comme un philo, se cache. « boucherie héroïque » Chants « Te Deum » Csqc de la guerre puis il s'enfuit en Hollande. Demande aumône à orateur qui refuse et l'interroge sa religion. Rencontre Jacques (anabaptiste) qui le recueille. Fanatisme religieux Chap 4: Candide retrouve Plangloss. La guerre Donne à un

quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp, il prit le parti d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d’abord un village voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient

jambes coupés» → à cela dans l'autre village → L26 «des membres palpitants qui viennent d'être coupés» Il n'y a pas que le crime des soldats qui sont mis en parallèle : -L12 «les deux rois faisaient chanter des Te Deum» → attitude mise en parallèle , Un Te Deum = prière d'action de grâce , prière dans laquelle on remercie Dieu → Le narrateur s'en prend à la religion , cautionné le pouvoir des princes et le fait que des deux côtés on remercie Dieu → religion qui n'est pas fiable

Louis-Napoléon Bonaparte (2 décembre). Massacre sur les boulevards (4 décembre). Hugo résiste au coup d'Etat et part à Bruxelles (11 décembre). 1951 (suite) Plébiscite pour faire ratifier le coup d'Etat par le suffrage universel (20 décembre). 1852 : Te Deum à Notre-Dame en l'honneur des résultats du plébiscite. Après un nouveau plébiscite, Bonaparte se fait proclamer empereur de Français, sous le nom de Napoléon III. Hugo et les siens quittent Bruxelles pour Jersey (1er août). 1853 : Publication

et charité. L'élément le plus spectaculaire de l'ensemble, seront des constructions sous forme de nuages qui monteront par les quatre clochers en suivant les lanternes et qui auront une mention écrite en grands caractères du Credo "Credo in unum Deum Patrem Omnipotentem, creatorem coeli et terrae". Ces nuages entoureront une image de Dieu. Gaudí voulait que l'ensemble de cette façade soit vu dés la mer. Le porche présentera à basse hauteur une frise avec des images du Purgatoire et à différentes

mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins toujours vert, Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges Passent, comme un soupir étouffé de Weber ; Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes, Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum, Sont un écho redit par mille labyrinthes ; C’est  pour  les  cœurs  mortels  un  divin  opium ! C’est  un  cri  répété  par  mille  sentinelles, Un ordre renvoyé par mille porte-voix ; C’est  un  phare allumé sur mille citadelles, Un appel de

fanatique lorsqu’il décrit, par exemple, le régime de l’Inquisition au Portugal et de l’auto-da-fé (Chapitre Sixième). Il y a pareillement la mise en cause de l’alibi religieux pour faire la guerre : « Enfin tandis que les rois faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp.. » Maintes fois également, il évoque des faits mettant en scène ces bons hommes dans des situations controversées. La relation qu’entreprends monseigneur l’Inquisiteur avec la belle Cunégonde, qui la partage alors avec un israélite