Temperance Gorgias

Ils accusent les philosophes d’être des pervers inutiles, ce dont Socrate convient. 3) [489 e – 490 c] Pourquoi les bons philosophes sont inutiles et pervers ? Il faut revenir à l’énumération de leurs qualités. 4 La thèse de Calliclès dans le Gorgias, 485 c, est similaire : un homme qui s’adonne à la philosophie au-delà de sa jeunesse mérite d’être fouetté. 2 [490 a] La première était l’attachement à la vérité. Or cette idée rentre en complète opposition avec ce qu’on pense communément

il faut « s’infliger les plus dures peines ». L’erreur fondamentale de Calliclès est de confondre l’agréable et le bon, de confondre la démesure des désirs déréglés et irrationnels avec l’équilibre de la satisfaction véritable. C’est pourquoi le Gorgias expose le paradoxe socratique : « Nul n’est méchant volontairement ». L’injustice est un vice, une maladie de l’âme, c’est pourquoi, nul ne peut vraiment la vouloir (on ne peut vouloir être malade), et la punition, qui est comparable à la médecine

se distingue du bien certes, mais il n’est pas pour autant en contradiction avec lui. Il peut survenir en complément. Aristote diffère en cela de la condamnation des plaisirs que fait Platon dans le Gorgias. En effet, pour Platon le bien de l’âme consiste à mener une vie vertueuse faite de tempérance et non pas des désordres des passions. Celui qui cherche prioritairement à satisfaire ses désirs est condamné à une insatisfaction infinie car un désir satisfait s’estompe immédiatement pour laisser

riche le fait svr. Mais le rich est dans l'impuissance, est malheureux. Contre le sens commun. Ni enviable, ni heureux. Donc richesse n'est pas vertu. Gorgias → celui qui ne cherche qu'à s'enrichir pr se gorger. Pluvier = oiseau chez lequel il n'y a pas de différence entre ingestion et caca. Abs de limite. Ce qui est vertueux = souci de mesure. Tempérance pas pr elle mm. La justice impose d'avr sa part et pas plus, ce qui n'est pas compatible avec le part de s'enrichir indéfiniment ; on ne le fait que

here Is pleasure the same as happiness? I. Distinction between intemperance and incontinence: weakness of will a) background discussion: pleasure and pain in ancient greek ethics b) pleasures of touch and taste c) intemperance pleasures temperance choice to carry out a pleasurable action without knowing it is harmful rational deliberation what do I need to do to get that cream pie; this is harmful is not on the radar versus fully conscious rational decision that it is bad for oneself (continence):

Désirer se distingue de « vouloir » : vouloir renvoie à une décision prise rationnellement, tandis que le désir renvoie au corps, aux affects, aux sentiments, aux passions, à la sexualité – sans autre justification que soi-même ( > référence au Gorgias ). 2. La psychanalyse parle de « désir inconscient » relevant de la vie pulsionnelle ou d’un inconscient acquis ( le « surmoi » ). > Cours sur l’inconscient, II, 2. 3. Désir et morale : l’éthique intègre l’ensemble de nos désir réfléchis ; la morale

dimension ardente du désir - l'épithumia : la sensualité Ces deux dimension du désir doivent être dominer par un principe directeur, la tempérance (la maîtrise du désir) Le désir est plutôt une force désorganisatrice pour les ancien,nécessitée de le tempéré (le phedre) Platon compare le désir à un tonneau percer qu'il faudrait remplir à l'infini (gorgias). Est ce qu'il y a une satisfaction possible au désir? Arthur schopenhauer : le désir,quand il s'accomplit symbolisé la mort! (Le monde

domestique ou familial que la vertu est enseignée. Pour lui, vertu et tradition, usages reçus forment une unité. Aussi, ne peut-il tolérer de la part de Socrate la critique du conformisme sociale. Ménon en convient, finalement avec son maître Gorgias : la vertu ne peut s’enseigner. Elle n’est pas un don de la nature telle que la beauté et la force. Socrate pense qu’on pourrait admettre qu’elle est « opinion juste »[5] c'est-à-dire, l’équivalent d’une croyance ou une conviction aveugle mais

soi ? L’objectif consistera donc à faire la part de ce qui relève d’une liberté réelle, repérable, de ce qui relève d’un désir infondé de liberté, dans un souci de lucidité et de vérité. D) Mobiliser des références utilisables : - Platon, dans le Gorgias, dénonce la confusion commune entre la liberté du sage et la réalisation impulsive de tous ses désirs. - Descartes, dans La Méditation quatrième, donne une définition du libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu. - Spinoza, dans L’Ethique,  montre

Antisthène et Diogène de Sinope, puis nous en verrons l’évolution à l’époque impériale, pour toujours tenter de définir ce qu’aurait été la culture pour les cyniques. A. Antisthène et la théorie du plaisir. Antisthène fut un des disciples de Gorgias, puis l’un de Socrate, qui d’une certaine manière le « corrigea » comme il aime le dire. C’est pourquoi il adopte très largement la vision socratique selon laquelle l’homme doit développer sa sagesse et son intelligence. Dès lors, il est intéressant