Terreur Et Pitié Dans Antigone

* Unité de temps * Intrigue complexe * Perso : petite noblesse, bourgeois * Style courant * Se moque des défauts de l’homme | * Sujet mythique ou historique * Personnage de la très haute noblesse * Style élevé * But moral * Terreur et pitié * Principe de catharsis * Fatalité du destin | 4°) Marivaux : Homme solitaire et discret à la personnalité susceptible, longtemps mal compris1, il fut un journaliste, un romancier, mais surtout un auteur dramatique fécond qui, amoureux

de le convaincre en parlant des biens matériel dérisoire qu’il obtiendra comme pouvoir manger de l’andouille ou rouler en carrosse. Mais le théâtre, ce n’est pas seulement cela. Le théâtre, c’est aussi d’expression des pleures, de la pitié, de la terreur à travers la tragédie. L’accumulation de coïncidences malheureuses provoque la compassion propre au registre pathétique qu’on trouve fréquemment dans ce registre. Dans Ruy blas, par exemple, de Victor Hugo, nous assistons a un dénouement tragique

histoires légendaires des héros de l’Antiquité inspirent les dramaturges depuis des siècles. C’est vrai que l’histoire des Atrides, pleine de parricides, d’infanticides et d’incestes, marquée par la malédiction des dieux, est propre à susciter la terreur et la pitié chez le spectateur. Racine, dans cette

symbolique, c'était hyper important) 2° Fonction cathartique du théâtre, qui doit provoquer terreur et pitié, c'est pour ça qu'il y avait 3jours de tragédies sur 4 B - Aspect cérémonial 1° A hérité cet aspect du théâtre grec mais a évolué : les 3coups pour prévenir le public, la censure (genre on ne représente pas la mort sur scène : exemple on annonce seulement la bataille et la mort du frère d'Antigone dans Antigone de Sophocle) 2° (petite partie) La comedia del Arte : qui se basait sur le caractère

et expliquer la tragédie qu'il qualifie dans le sixième chapitre de La Poétique de "Représentation d'une action noble, menée jusqu'à son terme et ayant une certaine étendue dans un langage relevé d'assaisonnements variés...en représentant la terreur et la pitié, elle opère une purgation des émotions de ce genre". A travers les expressions: "menée jusqu'à son terme" Aristote entend que la tragédie présente automatiquement un dénouement. Ce dénouement est le plus souvent une catastrophe; il est tragique

celui qu'elle aime : Achille. Dans sa préface, Racine affirme que Phèdre n'est «ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente». Cela est vrai. En effet, selon La Poétique d'Aristote, le genre dramatique cherche à inspirer la crainte et la pitié; c'est pourquoi le héros tragique ne peut être ni bon, ni complétement méchant. Celui-ci, chez les Grecs, n'apparaît pas comme un individu autonome et responsable mais plutôt comme un être déroutant, contradictoire et incompréhensible: il participe

sont mis en scène. Aristote, dans La Poétique, détermine les six parties qui composent la tragédie : "la fable, les caractères, l’élocution, la pensée, le spectacle et le chant" (chap. 6). Il montre que la tragédie a pour but de susciter la terreur et la pitié afin d’opérer une purgation des passions qu’il nomme catharsis. C’est au Ve siècle av. J.-C. que la tragédie antique connaît son apogée avec Eschyle, Sophocle et Euripide. - Au début du XVIIe siècle, un genre nouveau apparaît : la tragi-comédie

et Athalie pour les pensionnaires de Saint-Cyr, l’institution de jeunes filles de Mme de Maintenon). Les héros tragiques font souvent des choix qui les honorent, même s’ils sont difficiles : Rodrigue sacrifie son amour à l’honneur de sa famille ; Antigone enterre son frère parce qu’elle le doit et est mise à mort pour cette raison. C Pour changer le monde Un personnage de théâtre dit souvent tout haut ce que d’autres pensent tout bas. Ce sont des porte-parole : - Figaro se révolte contre

ANTIGONE de Jean Anouilh personnages : Antigone : fille d'Œdipe, sœur d'Étéocle, Polynice et Ismène, Créon : frère de Jocaste , légitime roi de Thèbes après la mort des deux princes ennemis Ismène : sœur d'Antigone qu'elle aime Hémon : fils de Créon et d'Eurydice, fiancé d'Antigone à laquelle il est très résumé: Antigone avoue à sa sœur Ismène qu'elle a été recouvrir le corps de son frère Polynice afin qu'il puisse se réincarner ( le roi Créon a privé Polynice de sépulture car il avait trahi

personnages qui sont comme entrainés par une force supérieure. Le lecteur est pris de terreur et de pitié en constatant le destin fatal de ces personnages souvent nobles. Pour reconnaître le registre tragique, on peut relever la présence d'un champ lexical de l'impuissance et d'un niveau de langue soutenu. Dans Antigone (1944) de Jean Anouilh, le prologue énonce ce qu'il va advenir des personnages durant la pièce. Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas et qui ne dit rien. […] Elle pense