Testament Philosophique En Franc Maconnerie

passage dans la franc-maçonnerie L’ethnologue Arnold Van Gennep a étudié au début du XXe siècle les rites de passage. Il existe selon lui trois temps qui découpent les rites de passages : la séparation, où l’individu est isolé du groupe, la marge, moment où s’effectue l’efficacité du rituel, et l’agrégation qui est le retour au sein du groupe. Il y a trois rites de passages dans la franc-maçonnerie. Le premier est la cérémonie d’initiation : le passage du profane, celui qui n’est pas franc-maçon, au

m'était prescrit dans l'isolement de ce cabinet de réflexion de prendre conscience que l'on est rien dans sa solitude, que la vie n'est que passagère. Dans la logique de cette initiation, il m'était prescrit ensuite de rédiger mon testament philosophique. Le testament symbolise un terme, une fin, une disparition. Mais comme il est dit dans l'évangile de Saint Thomas, « là où est le commencement, là aussi sera la fin » ; ce commencement conforme au postulat de Saint Thomas s'annonçait en effet par

Dossier sur les Franc-maçon Problématique : La Franc-maçonnerie est-elle un danger pour la République ? I. Qu’est-ce que la Franc Maçonnerie ? a) Son concept Au début du dix-huitième siècle, en Angleterre et en Ecosse, des hommes se sont rassemblés pour créer la franc-maçonnerie, une société de pensée présente aujourd’hui sur les cinq continents. Venus d’horizons philosophiques divers (protestants, catholiques, juifs, musulmans, quelques athées), ils voulaient se réunir, dans des

Je me souviens surtout qu’il y faisait froid. Le frère expert me demande de rédiger un testament philosophique en répondant à 3 questions. Il viendra le chercher en temps utile. Je reste alors seul dans un silence de mort confronté à des symboles que je vais tenter de comprendre. Cette pièce d’apparence morbide aux allures de crypte prend son sens de cabinet de réflexion quand il s’agit de rédiger ce testament. Mais avant de le remplir, j’explore le lieu dans ses moindres détails ! Chacun de nous

du l Inspiré du livre de l’Apocalypse, il paraît s’intercaler de manière un peu anachronique pour faire le passage(comme une sorte de pont, de sas, d’interface) entre l’Ancien dont les grades précédents s’inspiraient très largement, et le Nouveau Testament. On peut le considérer comme un grade charnière entre les deux grades de l’exil et celui de Rose-Croix lui-même. En fait c’est le chevalier d’Orient et d’Occident qui ouvre le temple noir, en effectuant la marche sur l’heptagone et fait la jonction

lui tout ce qui, dans la vie courante, est signe de distinction et d’insertion sociale, ou signe de « respectabilité » : la vertu n’a pas besoin d’ornement. En maçonnerie, de dépouillement a purement une valeur symbolique. Il ne s’agit pas d’extraire le néophyte au monde profane dans le sens direct du terme. En effet, la Franc-maçonnerie n’exige pas la renonciation au monde temporel, mais prétend seulement enseigner à ses membres comment s’abstraire de ses contraintes. Elle indique la direction à

Ténèbres, il faut donc les abandonner pour pouvoir entreprendre la quête vers la Lumière. Débarrassé de ses métaux, le récipiendaire doit rédiger son testament philosophique. Ce premier essai de libération de soi, ce bilan, l’interroge sur sa vie intérieure le préparant ainsi à renaître. Sa vie nouvelle sera plus riche et plus féconde. Le testament philosophique rappelle que nous n’emportons rien dans la mort et qu’après nous être dépouillé de nos métaux il ne reste plus rien à léguer… sauf nous-même. Le

reflète l’état d’ignorance. La Lumière en Franc-Maçonnerie : La Lumière en franc-maçonnerie se définit par rapport aux Ténèbres. C’est le symbole que chaque S. perçoit le jour de son Initiation et qui l’incitera à approfondir ses réflexions. La Symbolique de la Lumière dans l’Initiation se traduit par la Transmission de pensées, de connaissances, de fraternité et de liberté d’une S. Initiée à une Néophyte. La quête de la Lumière en franc-maçonnerie est un état d’esprit permanent qui se développe

sérénité. J’ai ressenti un profond désir de changement et pour cela je suis devenu « un chercheur itinérant », animé par un but de reconstruction, et de perfectionnement. Je considère la franc- maçonnerie comme un embarquement sur un imposant navire, pour un long voyage, vers un très vaste itinéraire. La maçonnerie en est le contenant et le cheminement en est l’autre partie du contenu. Voyager suppose le choix d’une destination, ainsi que celui d’un trajet. Sans destination ce serait la dérive permanente

financièrement il est difficile à moins d’être rentière, de les éviter mais fort heureusement, outre ces engagements que je qualifierais de subis, il existe l’engagement volontaire .Cette forme d’engagement c’est celle qui m’a amenée sur le chemin de la Franc Maçonnerie car si j’avais une certitude c’était bien qu’il s’agissait de ma part d’une action issue de ma seule volonté et basée essentiellement sur la totale confiance que j’avais en l’amie qui me proposait de rejoindre cette obédience.Car ne dit t’on