Tétrarque

confrontée à des invasions barbares. Si l'Empire parvint, dans un premier temps, à repousser les envahisseurs, la crise du iiie siècle vit les frontières céder une première fois. Le Ive siècle fut l'époque des guerres civiles entre les successeurs des tétrarques, et il fut dominé par la personnalité de Constantin Ier, qui rénova profondément l'État romain, en lui donnant ses caractéristiques définitives. À cette époque, le pouvoir était devenu un régime absolu, avec une cour et un protocole de type oriental

tétrarchie, chercha à se renforcer : les centres de décision politique et militaire fut multipliés, l'administration développée et militarisée, et la taille de l'armée augmentée. Le ive siècle fut l'époque des guerres civiles entre les successeurs des tétrarques, et il fut dominé par la personnalité de Constantin Ier, qui rénova profondément l'État romain, en lui donnant ses caractéristiques définitives. À cette époque, l'Empire était devenu un État extrêmement autoritaire, parfois qualifié de « dictature

représentent les 2 guerres par Trajan contre les Daces. Les romains excellents au niveau des sculptures buste, il y en a une multitude notamment les bustes des empereurs romains tels que le buste d’Octave, de Néron… Ou encore la statue des quatre tétrarques. C-Les mosaïques. La mosaïque est un art des romain utilisés pour décorés les maisons ou les temples. Les mosaïques sont réalisées à l’aide de fragments de pierre et de marbre assemblés à l’aide d’enduits pour former des motifs ou des figures

de la tête doit susciter l’angoisse : celle de Salomé, celle de Jean Des Esseintes, celle du lecteur. La description va de l’arrière-plan vers le deuxième plan (bourreau) puis le premier plan (tête et danseuse), enfin retourne au deuxième plan (tétrarque et Hérodias). Elle se consacre essentiellement au face-à-face entre Salomé et Jean-Baptiste, non seulement pour rendre compte de l’effroi que produit l’« apparition » sur la princesse, mais aussi à cause de la fascination que la peinture exerce sur

scène du dentiste. p.135 : spectacle L’aquarelle exacerbe l’onirisme, le fantastique et met en avant l’hallucination du personnage peint et la fascination que DE, spectateur de cette toile ressent. Représentation du désir, du rut, il est pour Tétrarque un simple client de cette grande catin et demeure impuissant Image de la femme énigmatique tel que la véhicule les mythes fondateurs de l’humanité. Il y a des leitmotivs qui s’entrecroisent Dimension anti humaniste qui traverse AR : écarté

de mieux s'opposer aux Barbares. Peu après Constantin réunifie l'Empire et en déplace la capitale à Constantinople en 330. En 337 l'Empire est à nouveau divisé en deux. Le IVe siècle fut l'époque des guerres civiles entre les successeurs des tétrarques, et il fut dominé par la personnalité de Constantin Ier, qui rénova profondément l'État romain, en lui donnant ses caractéristiques définitives. À cette époque, l'Empire était devenu un État extrêmement autoritaire, parfois qualifié de « dictature

Jean, il annoncera la venue proche du règne de Dieu, il prêchera la conversion et dira qu'une croyance non vérifiée par les actes reste vide. Le respect que Jésus lui voue ne faiblira pas, et le Nazaréen attendra l'exécution du Baptiseur par le tétrarque Hérode Antipas pour s'émanciper et se mettre à prêcher. "Tu es mon fils bien aimé" Toutefois le baptême dans le Jourdain a été pour lui l'occasion d'un événement bouleversant, qu'il a raconté à ses disciples. Il a vu les cieux se déchirer, l'Esprit

des saints Pères), il écrit : « Jacques, fils de Zébédée et frère de Jean [...] prêcha l'Évangile en Hispanie, dans les régions occidentales, et diffusa la lumière de sa prédication aux confins de la Terre. Il succomba sous le coup de l'épée du tétrarque Hérode. Il fut enseveli à Achaia Marmarica… » Il reprend dans cet ouvrage les affirmations du De Sanctis Prophetis, parvenu à Isidore de Séville vraisemblablement à l'époque de la présence byzantine dans le voisinage des provinces wisigothes voisines

celui-ci « d’une voix que des sanglots de volupté entrecoupaient » lui disait : « Viens ! viens ! ». Elle continue sa danse indifférente « Elle tournait Toujours » , « elle tourna autour de la table d’Antipas frénétiquement » au point que le Tétrarque entre dans une sorte de délire comme le montre très bien l’expression il « criait plus fort : « Viens ! viens ! » et « l’énumération « Tu auras Capharnaüm ! la plaine de Tibérias ! mes citadelles ! la moitié de mon royaume ! ». C’est alors

décide de le flanquer de deux autres nouvelles que seront d'une part Un cœur simple, dans le plus pur style flaubertien de l'étude de caractères de ses contemporains, et d'autre part Hérodias narrant la décapitation de saint Jean le Baptiste par le tétrarque Antipas durant la période antique[1]. Flaubert commence alors immédiatement l'écriture d'Un cœur simple dans lequel il réinvesti nombre de ses souvenirs d'enfance et personnes qu'il a connues alors. Il prend pour modèle « Mademoiselle Julie », la