Texte Platon Les Lois

Cette valeur concerne aussi bien ce qui rend un homme bon que ce qui rend la cité bonne. Voilà pourquoi on a tendance à confondre la politique et la morale. Cette confusion est par exemple celle de Platon ou d'Aristote. Les Anciens ne distinguent pas la morale et la politique. La République de Platon est aussi bien un traité de morale qu'un traité de politique. La cité est conçue par analogie avec l'âme. Elles sont toutes les deux tripartites, et la justice, qu'il s'agisse de la vertu morale ou de

compilation sous le règne de Justinien 530 avant J-C) au IIIème siècle de notre ère. «Le droit public est ce qui concerne l’administration du gouvernement romain et le droit privé est en relation avec les intérêts des individus » // « Le Prince est délié des lois » (maxime romaine). · Droit public è cultes, sacerdoces (fonction de celui qui a le privilège du sacre), magistrature (celui qui détient le pouvoir politique, judiciaire ou administratif). · Droit privé è préceptes de la loi naturelle, droit des

laquelle le peuple assemblé décrète ce qu’on doit faire de bien ou non ; ce que le pouvoir qui commande dans un État ordonne, après en avoir délibéré ». D’après les Définitions du pseudo-Platon, la loi est « décision politique du grand nombre, qui vaut sans limitation dans le temps ». Au Livre Premier des Lois de Platon, la définition donnée pour une loi est « jugement de la raison qui est la décision commune de l'État »2. Selon Aristote, la loi est « un discours déterminé par le consentement unanime

a le sens de peser ; la justice était représentée avec une balance. Il n’y a pas de différence entre le droit en tant que système des lois et la justice en tant qu’institution juridique, dont la mission est d’appliquer les lois. Ce qui est juste est ici ce qui est permis par la loi. Mais il existe une différence entre le droit en tant que système des lois (légalité) et la justice au sens moral et intime de la conduite souveraine de l’homme juste (légitimité). Kant nous dit que le juste, l’homme

par un pouvoir; c'est-à-dire une autorité conférée par la loi ou la constitution comme par exemple le pouvoir législatif. Les conséquences d'une loi sont-elles toujours formuler d'injustes ? Dans un premier temps, nous parlerons des conséquences des lois justes et injustes. Dans un second temps, nous parlerons de la loi et du droit du plus fort et enfin, nous parlerons de la justice et l'injustice au coeur des régimes politiques. Comme nous avons pu le voir dans l'introduction par l'exemple sur

statut: 81 7PH00CTPA0614 Exemple de traitement possible du sujet proposé Remarque importante Ce traitement possible du sujet proposé doit être considéré comme une véritable leçon de philosophie venant compléter celles du cours. Explication du texte de Rousseau (a) Jean-Marie Frey « Toute action libre a deux causes qui concourent à la produire, l'une morale, savoir la volonté qui détermine l'acte, l'autre physique, savoir la puissance qui l'exécute. Quand je marche vers un objet, il faut premièrement

« aux grands » de la Démocratie (Ilan) Un gouvernement qui posséderait à la fois le pouvoir exécutif et législatif n'est pas le meilleur système qui soit. Rousseau parle de la royauté : Le Prince, ou celui qui exécute les lois, et le Souverain, celui qui dicte les lois (Dieu?), ne forment qu'une seule unité. Ainsi ce gouvernement monarchique ne peut distinguer les besoins de ceux qu'il gouverne. Ensuite Rousseau parle de l'influence des intérêts privés dans les affaires publiques. il n'y a rien

dénominateur commun pour toute l’Europe. Le christianisme est une religion révélé !! II) Bibliographie Histoire des idées politiques, Dalloz Les grandes œuvres politiques, Jean Jacques Chevalier, chez Armand colin + acheter la République de Platon chez folio 1ère PARTIE : LA GRECE ANTIQUE Introduction Pour notre société occidentale, l’histoire des idées politiques prend son départ avec la Grèce antique. Donc on a tout un héritage apparent, qui remonte à ce legs de l’antiquité grecque

de pierre où sont gravés 300 arrêts en langue akkadienne. Hammourabi a voulu écrire ce code car il est un conquérant et son objectif est de consolider ses conquêtes militaires en les appuyant sur un socle juridique, pour consolider sa société. Ces lois sont dites comme venant de la volonté des dieux, du plus grand des dieux et en l’occurrence du dieu du soleil : Sammas, présenté comme le grand juge des cieux et de la terre. Hammourabi se considère comme étant le transcripteur de Sammas. *Nature

Code mésopotamien : Code de Lipit Istar. Entre 1930 av. JC et 1880 av. JC. Série de règles (50aine) et un épilogue qui commémore l’action justicière du Roi et qui menace de tous les mots ceux qui transgresseront les règles.  3e Code mésopotamien : Lois d’Esnunna  -> connues par des tablettes qui rassemblent une soixantaine de règles traitant du droit matrimonial, des affaires, des obligations…  4e Code : Code d’Hammourabi. Certains fixent son règne entre les années 1790/1750 avant JC et d’autres